Bonjour,
J'arrive après la bataille.
Ayant un cas similaire, j'ai commencé avec une claie de portage (La moitié d'une civière UT2000 qui trainait dans la grange). Je me fatiguais beaucoup à la mettre sur le dos depuis le sol (ensuite j'ai rapporté 2 caisses pour pouvoir la charger en hauteur et pouvoir la mettre à dos sans me baisser).
Puis en regardant sur internet, j'ai transformé la claie en goelette à 2 roues (le chemin n'était pas trop cabossé et assez roulant). Je la tirai derrière moi à la montée avec une ceinture de pulka avec bretelles (qui se dégrafe en cas d'urgence pour pas être entrainer par la goelette en cas de chute) Ca permet une répartition de la traction entre les bras et le bassin.
J'avais aussi mal dans les cuisses et les bras mais je ne bousillais plus mon dos.
Naturellement, c'est possible que si le chemin est roulant et que la pente est acceptable (dans les vignes, ça doit être limite).
En plus en calant la roue, ça permet de reprendre son souffle sans fatigué. Avec la claie, le dos continuait à souffrir et les cuisses aussi car il était plus fatiguant de poser la claie et que la garder sur le dos pendant les arrêts. Il fallait aussi trouver un angle pour que la claie soit en équilibre pendant les poses pour soulager un peu le dos.