Les traitements que vous racontez me font penser à la manière dont on préparait les poutres : quelques années en queue d'étang, puis des années de séchage. Tellement long à faire, mais aussi tellement increvable après, que les mêmes poutres servaient successivement sur plusieurs maisons.
Ce que j'en retiens, c'est que le plus pragmatique pour moi c'est peut-être de trouver vieux billot chez un papi dont les gamins sont partis vivre loin du bois. En parallèle je peux faire l'expérience de récupérer, donc, une partie noueuse, tête ou près de la souche, d'un charme, d'un orme, d'un chêne, d'un hêtre, d'un robinier, et de venir faire un retex dans une dizaine d'années après l'avoir rincé puis séché. Guillaume c'est gentil mais t'emmerde pas, je devrais pouvoir trouver ça dans la forêt de mon cousin ici.
Merci à vous !
Tu poses des pneus sur ton billot
1/ ça me donne pas l'air d'empêcher le fer de toucher le billot
2/ un pneu dans le jardin je trouve ça dégueulasse
3/ ça empêche les deux-tiers de mon travail où je fends plutôt par le côté
Si c'est pour un billot de cuisine ou de boucher cela va être dur
Si je mangeais assez de viande pour détruire deux ou trois bouts de tronc chaque année sous les coups de mon hachoir, je serais au paradis des carnivores.