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Auteur Sujet: Demain sur M6: The island, seuls au monde  (Lu 8409 fois)

28 mai 2015 à 22:08:19
Réponse #50

Christian


le but n'est pas que le gens regardent et en parlent, mais qu'ils restent devant leur téléviseur pendant la pub.

29 mai 2015 à 07:30:22
Réponse #51

Mezig


Pareil; plus de télé depuis 25 ans.
Plus de téléphone portable depuis 3 ans.
Plus de voiture depuis 6 mois.

Vive la liberté.
Les moyens sont la fin.

29 mai 2015 à 08:29:42
Réponse #52

Djeep


BJR En quoi est-ce la liberté ? Ne pas confondre l'outil et la façon de s'en servir intelligemment  ;) HN
Allumez le feu :-)
Donnez un titre honorifique à un clampin et il se sentira l'âme d'un petit chef !

29 mai 2015 à 08:38:02
Réponse #53

Christian


Pareil; plus de télé depuis 25 ans.
Plus de téléphone portable depuis 3 ans.
Plus de voiture depuis 6 mois.

Vive la liberté.

Prochaine étape : internet et les forums  ;)

29 mai 2015 à 08:39:33
Réponse #54

Enid


"Personne n'interdit à qui que ce soit de vivre sa vie comme un voyage ou comme autre chose qu'il se choisit. Y'a des contraintes, mais elles sont quand-même vachement larges. Faut juste pas avoir l'ambition de prouver à belle-maman qu'on est sain d'esprit." Karto

Ancien pseudo : lourse

29 mai 2015 à 09:40:10
Réponse #55

dysoner


Dans la dernière émission, j'ai aperçu deux bidons rempli de ce qui semblait être de l'eau claire pendant qu'un participant abattait un arbre. A ce moment ils n'avaient pas encore trouvé la "source". […]
Comment les batteries des caméras sont elles chargées?

- Il ont démarrés avec 5 de ces bidons remplis.
- Ils déposent les cassettes et batteries des caméras dans une boite tout les soirs et la prod les échange.

Je suis très étonné que le concept ait été poussé aussi loin sur les privations. Cela donne une idée des comportements en situation de survie, mais il ne faut pas oublier un détail, IL NE SONT PAS EN SITUATION DE SURVIE… puisqu'ils peuvent arrêter l'expérience/jeu à tout moment. Il n'est pas dit que dans une situation à 99% identique mais avec en plus la possibilité d'y rester les comportements seraient complètement différents.


« Modifié: 29 mai 2015 à 11:19:04 par dysoner »

29 mai 2015 à 11:08:24
Réponse #56

Mrod


Je pense que tu soulève un point important.
Il ne sont pas et ne peuvent pas être en situation de survie. Les renforts sont tout proches, sur l'île d'a coté, et à tout moment il peuvent appeler au secours ou rentrer chez eux. Psychologiquement ça change tout. Et on sait tous qu'en survie le mental fait toute la différence.

Nico
"faut JAMAIS décramponner ! Et s'accrocher à la vie comme un morpion sur un poil de cul !  Parce qu'il y a toujours un espoir, même mince" Anke *Master survivor*

29 mai 2015 à 11:35:02
Réponse #57

bloodyfrog


A contrario, faut un peu de mental pour continuer à se faire mal, sommeil rare, faim qui pique fort, puces des sables qui piquent encore plus fort, etc... sachant que le retour maison/douche/buffet à volonté/draps frais est possible et rapide, sur simple coup de fil...

Manu. :)

29 mai 2015 à 11:46:31
Réponse #58

dysoner


Je pense que c'est pas forcément le même mental. Tu peux avoir un mental de grand sportif, ne rien lâcher, endurer les épreuves, la douleur et completement perdre tes moyens face à la perspective de la mort.

29 mai 2015 à 14:58:14
Réponse #59

bloodyfrog


Tout arrive.

Ceci dit, celui qui a pour habitude de vie de "ne rien lâcher", dans les meilleurs moments comme dans les pires, aura sur mon échelle de mesure plus de chance de se sortir d'une situation de survie réelle que celui qui passe son temps à chouiner et ne peut "lutter contre" plus d'une minute.

Ce dernier pouvant certes se révéler dans une situation désespérée. Tout arrive. :)

Manu.

29 mai 2015 à 15:25:07
Réponse #60

Mrod


A contrario, faut un peu de mental pour continuer à se faire mal, sommeil rare, faim qui pique fort, puces des sables qui piquent encore plus fort, etc... sachant que le retour maison/douche/buffet à volonté/draps frais est possible et rapide, sur simple coup de fil...

Manu. :)

Là, à mon humble avis, difficile de faire la différence entre le "mental de survie" et la volonté de prouver qu'on en est capable (à soi où aux autres).

Nico
"faut JAMAIS décramponner ! Et s'accrocher à la vie comme un morpion sur un poil de cul !  Parce qu'il y a toujours un espoir, même mince" Anke *Master survivor*

29 mai 2015 à 15:27:45
Réponse #61

bloodyfrog


C'est juste. :)

Je propose alors un nouveau concept d'émission, pour rajouter le sentiment "on va tous y rester!"...

Un ile en milieu tropical, aménagée par avance avec un réseau de Gopro planquées dans les cocotiers et le cul des pélicans locaux.
Un avion aménagé pour résister un minimum à un atterrissage forcé.
Un pilote de la Lufthansa dépressif et volontaire.
Un groupe de vacanciers hétéroclite, à qui on aura rien dit bien sur.
Un prime time.

 ;D

Manu.


29 mai 2015 à 16:03:02
Réponse #62

Diesel


C'est juste. :)

Je propose alors un nouveau concept d'émission, pour rajouter le sentiment "on va tous y rester!"...

Un ile en milieu tropical, aménagée par avance avec un réseau de Gopro planquées dans les cocotiers et le cul des pélicans locaux.
Un avion aménagé pour résister un minimum à un atterrissage forcé.
Un pilote de la Lufthansa dépressif et volontaire.
Un groupe de vacanciers hétéroclite, à qui on aura rien dit bien sur.
Un prime time.
Il manque le co-pilote qui a des problèmes de vessie et une cargaison de couteaux Gerber sinon c'est pas crédible comme concept.  :closedeyes:
On peut avoir quelques bimbos aussi ? j'ai bien aimé le loft moi. Faudra beaucoup de Gopro dans l'eau aussi. Au cas ou .......... les requins bouffent tout le monde évidement, vous pensiez à autre chose ?  ;D

29 mai 2015 à 17:08:33
Réponse #63

Pit


C'était pas le concept de Lost??? ;)

29 mai 2015 à 18:24:21
Réponse #64

cassepied


en tout cas , le caïman avait l'air bien coincer dans une fosse de laquelle il etait

 


Keep in mind

Bienveillance, n.f. : disposition affective d'une volonté qui vise le bien et le bonheur d'autrui. (Wikipedia).

« [...] ce qui devrait toujours nous éveiller quant à l'obligation de s'adresser à l'autre comme l'on voudrait que l'on s'adresse à nous :
avec bienveillance, curiosité et un appétit pour le dialogue et la réflexion que l'interlocuteur peut susciter. »


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