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Auteur Sujet: Mon premier 3000 m : au bout de la fatigue....  (Lu 5984 fois)

18 juillet 2014 à 09:24:33
Lu 5984 fois

raphael


http://pyrando.free.fr/rando_petit_vignemale.php

Voilà a se lancer des défis à la con, on progresse  ;#
J'ai voulu gravir mon premier 3000 m, j'ai profité des premiers jours de beau temps pour me décider. Préparation du sac et go.

Sachant la difficulté de la montée, je souhaitais partir le plus léger possible. La météo est au beau fixe voir très chaude. La nuit cela ne doit pas descendre en dessous de 8°C en altitude. Je décide donc de prendre un sac de couchage léger et de compléter avec des couches de vêtements. L'abri est aussi symbolique : de quoi se protéger du vent et de la rosée.

Sac d4 : 40 l
Couchage :
sac de couchage  S15 ul D4
sursac respirant
sac a viande coton
matelas mousse

Abri:
http://www.arklight-design.com/ultimate-survival-technologies-base-tarp-all-weather-c2x13571562
tapis de sol : couverture de survie épaisse
sardine alu
bâton de marche

Vêtements (nuit) :
T shirt ML mérinos
polaire fine
pull laine ul 200
chaussette laine
gant
bonnet

Vêtement sur moi :
chapeau
T shirt mc merinos
pantalon transformable en short
chaussette
chaussure montante

accessoire:
filtre Sawyer - MINI filtre
popote/quart alu
réchaud P3RS

pochette ventrale:
mini edc

Le récit : bientôt..




« Modifié: 18 juillet 2014 à 12:32:12 par raphael »
Se connaitre et s'accepter


18 juillet 2014 à 09:25:05
Réponse #1

raphael


« Modifié: 18 juillet 2014 à 10:46:31 par raphael »
Se connaitre et s'accepter


18 juillet 2014 à 10:48:16
Réponse #2

raphael


Se connaitre et s'accepter


18 juillet 2014 à 10:49:34
Réponse #3

raphael


Se connaitre et s'accepter


18 juillet 2014 à 11:27:40
Réponse #4

Merlin06


Tu nous donnes du rêve en barre camarade! Vivement le récit.  :up:
L'âme sûre ruse mal.
Le matin du grand soir il y aura de la confiture de bisounours au petit déjeuner.
Nous avons deux souverains, Dame Physique et Sire Temps.

18 juillet 2014 à 15:13:19
Réponse #5

Tompouss


Ce paysage  :love:vivement le récit  :up:

Par contre je suis étonné que tu fasses bouillir de l'eau dans ton quart alu, j'ai le même de chez DKT et j'ai jamais osé de peur des tranferts d'ions Al qui seraient ensuite ingérés, mais si ça se trouve je psychote pour rien en fait  :huh:
Everybody swears that they are solid, but ice is solid too... until you put some heat on it.

18 juillet 2014 à 15:23:17
Réponse #6

Loriot


3000 c'est bien! Bravo!

Édit: perso moi en dessus des troupeaux je fais plus bouillir l'eau... C'est vilain! Je sait que le bouquetin est un vilain. Mais je ne peux m'empêcher de prendre ce risque incroyable... Quant au récipient alu... Le risque d'avoir un accident en dessus de 2500 m me semble déjà bien supérieur au risque de toxicité hypothétique pour quelques sorties par ans...
Et quel bonheur de boire l'eau d'une source de montagne ::)
La fraîcheur et le bien être procuré me font même oublié une certaine radioactivité naturel particulièrement élevée dans ma montagne de prédilection. Radioactivité encore bien en dessous des valeurs limites...

Tous aux sommets!

« Modifié: 18 juillet 2014 à 15:38:26 par Loriot »
Quand Pourine veut la lune tu lui baises les pieds

18 juillet 2014 à 16:39:24
Réponse #7

piero


Hum! Le risque majeur de la radioactivité naturelle est lié à la radioactivité du radon. Les seuils en France c'est 200 Bq dans les bâtiments neufs et 400 Bq dans les bâtiments anciens. L’OMS recommande 100 Bq. Dans certaines endroits de France on peut monter très très largement au-dessus de ces seuils.  :)

Sinon jolis paysages  :)

18 juillet 2014 à 17:02:21
Réponse #8

Tompouss


Quant au récipient alu... Le risque d'avoir un accident en dessus de 2500 m me semble déjà bien supérieur au risque de toxicité hypothétique pour quelques sorties par ans...

Bah je parlais pas forcément d'un usage ponctuel, je suis à bien plus de quelques sorties par an... Puis j'ingère suffisamment de merdes comme ça malgré moi (pollution atmosphérique, pesticides et perturbateurs endocriniens dans la flotte et la bouffe) donc autant essayer de minimiser  :huh:
Everybody swears that they are solid, but ice is solid too... until you put some heat on it.

18 juillet 2014 à 17:23:30
Réponse #9

Karto


A 3000 tu commences à te prendre pas mal d'UV dans la tronche, assez pour que la radioactivité des roches soit une blague à côté même si tu marchais sur un gisement d'uranium.

Par contre ne pas purifier l'eau, c'est un choix qu'on peut faire en connaissance de cause (et qu'on fait tous à certains endroits), mais qu'on peut difficilement encourager chez un lecteur anonyme. Y'a des saletés biologiques bien agressives (salmonelles...) qui tombent parfois dans la neige. Y'a des sources karstiques qui donnent une eau merdique et ça se voit pas. Y'a des eaux potables pour m'sieur Roger qu'a grandi là, mais qui portent des trucs que mon système immunitaire à moi ne connaît pas et qui me fileront au mieux une bonne chiasse.
Bref faut pas être trop général avec ces trucs là. :)

18 juillet 2014 à 18:01:43
Réponse #10

raphael


A 3000 tu commences à te prendre pas mal d'UV dans la tronche, assez pour que la radioactivité des roches soit une blague à côté même si tu marchais sur un gisement d'uranium.

Par contre ne pas purifier l'eau, c'est un choix qu'on peut faire en connaissance de cause (et qu'on fait tous à certains endroits), mais qu'on peut difficilement encourager chez un lecteur anonyme. Y'a des saletés biologiques bien agressives (salmonelles...) qui tombent parfois dans la neige. Y'a des sources karstiques qui donnent une eau merdique et ça se voit pas. Y'a des eaux potables pour m'sieur Roger qu'a grandi là, mais qui portent des trucs que mon système immunitaire à moi ne connaît pas et qui me fileront au mieux une bonne chiasse.
Bref faut pas être trop général avec ces trucs là. :)


Mon nez et mon front confirment pour les UV  :-[
Quant a mon quart alu, il présente une bonne couche d'alumine en surface au vu de son aspect.
Je voulais tester le filtre pour savoir quel débit et avec quelle facilité on pouvait traiter de l'eau. Le poids de l'eau dans la poche suffit en grande partie.
J'ai quand même complété avec du micropur.
Se connaitre et s'accepter


18 juillet 2014 à 21:14:26
Réponse #11

piero



Notre exposition à la radioactivité naturelle est majoritairement due au gaz Radon, qui provient de la désintégration d'Uranium. C'est une radioactivité de l'air (voire de l'eau) qui est différente de la radioactivité des roches.
Pour la radioactivité, les effets dépendent de la dose absorbée et du débit de dose (dose par unité de temps), ils dépendent donc beaucoup du temps d'exposition. De négligeable dans le cas d'une rando, les effets peuvent être important pour les habitants. Je ne parlais pas ici de'impacts pour la rando de Raphael, je rebondissais sur la phrase de Loriot, pour préciser que la radioactivité naturelle n'est pas si négligeable que cela.  :)

Selon certaines études elle serait même le deuxième facteur de cancer du poumon après la clope.

21 juillet 2014 à 13:33:35
Réponse #12

raphael


Départ du parking du Pont d’Espagne en fin de matinée après 2 h30 de route. C’est la pleine saison touristique, il y a donc du monde pour emprunter le parcours principalement jusqu’au Lac de Gaube. C’est le coin idéal pour une sortie en famille. J’y fais une pause repas (sandwich et part de gâteau acheté sur l’autoroute), il fait déjà chaud et le soleil est éclatant. Je m’y attarde pas plus longtemps et je continue vers le refuge des Oulettes. C’est pas la super forme : j’ai des crampes d’estomac et suis rapidement essoufflé. Je dégaze aussi bien par le haut que par le bas. Trop vite mangé ? L‘altitude ? En fait pas que ça ; j’ai trop serré aussi bien ma ceinture de pantalon , que celle du sac et celle de la pochette ventrale.

Ouff ca va mieux, je respire. J’arrive au refuge et me rafraîchit grâce à l’eau fraiche de l’espèce de delta  qui se forme par écoulement en contrebas du glacier. Je repars rapidement en direction des lacs de l’Araillé ou j’ai prévu de bivouaquer. Ce sentier de haute montagne étroit (GR 10) part à flanc et monte de façon soutenue et régulière, décrivant des lacets serrés. Les névés sont encore bien présents. A cette altitude plus grand monde, la végétation se fait rare et je croise les premières marmottes. Bon faut trouver ces lacs maintenant, ils sont d’après la carte un peu en contrebas du GR. Vite repérés et vite déçu, ce ne sont que d’immenses entonnoirs enneigés sur toute la périphérie : impossible de camper là.
Je décide donc de continuer en espérant trouver un coin d’herbe assez plat.
« Le sentier dépasse les lacs de l'Arraillé et continue plein sud en montant toujours régulièrement et de façon soutenue en direction de la Hourquette d'Ossoue.
Peu avant la Hourquette, le sentier devient moins marqué en traversant un grand pierrier relativement pentu. Ce champ d'éboulis finit par conduire à la crête de la Hourquette d'Ossoue, point culminant de cet itinéraire que l'on rejoint après 4h45 de marche. » D’après ce descriptif soit je trouve rapidement soit je dois aller jusqu’au niveau de la crête et m’approcher du refuge. Je croise un randonneur qui redescend et me conseille d’aller près du refuge car il y a des aires de bivouac.
Je fais une pause pour remplir mes bouteilles vides : avec l’effort et la chaleur j’ai bu énormément …. C’est là où je teste pour la première fois mon nouveau filtre : c’est simple et pratique mais la poche est un peu petite et oblige à répéter les opérations.

Je repars et commence à traverser les premiers névés en devers. Le chemin y est profond  et bien tracé par les nombreux passages. Mais il faut rester prudent et cela demande donc une progression assurée par les bâtons (dont un très court ) et forcement lente. J’ai dû en traverser pratiquement une dizaine. En cas de glisse, ceux-ci sont assez étroit et donc on « rattrape »  assez vite de la pierre mais c’est avec au moins une cheville en vrac je pense.

C’est maintenant que la fatigue me tombe dessus et je ne suis pas encore arrivé à la crête, il est 18h30. Le soleil baisse sur l’horizon mais j’ai encore deux bonnes heures de lumière. Le rythme de marche est ponctué par le fracas de la neige/glace qui tombe du glacier du petit Vignemale. C’est impressionnant et magnifique.

Je me laisse doubler par un randonneur qui suit son GPS, au moins il me fera la trace dans le champs d’éboulis qui est une horreur à gravir.

la suite arrive...
« Modifié: 21 juillet 2014 à 16:16:23 par raphael »
Se connaitre et s'accepter


22 juillet 2014 à 11:02:06
Réponse #13

raphael


J’arrive enfin à la crête de la Hourquette, je découvre derrière une immense cuvette où se situe  le refuge de Baysselance.
Le Gr descend en quelques lacets et je m’arrête dès que possible c’est a dire dès que je trouve un coin herbeux plat et un minimum protégé. Je pose mon sac et je reprends quelques forces mais il faut monter le bivouac. Ce sera assez vite fait, l’abri est simple a monter. Je me fais chauffer de l’eau et j’en profite pour me changer. Allez zou en slip et chaussette et les couches de laine sur le haut du corps. M’en fout je suis seul sur des centaines de mètres à la ronde. Je n’ai même pas faim, je mange que du liquide : compote, préparation protéinée diluée dans le reste de thé chaud.
Je n’arrive pas à replier mes jambes en étant assis : c’est direct des crampes douloureuses aux ischio. Je sors ma fiole d’huile d’arnica mélangée avec HE Gaulthérie et je me masse les jambes. Je fais ensuite des étirements et cela passe.

J’enfile mon bonnet , mes gants et je me glisse dans mon cocon. J’admire le couché de soleil et les couleurs changeantes sur les versants. Je m’endors assez rapidement, évidemment je me réveille pour la pause pipi vers 3h. Le ciel est étoilé ; avec la pleine lune, pas besoin de la frontale. Il fait frais mais sans plus, une fois rentré dans le duvet je me rendors sans problème. Reveil vers 7h , les premiers randonneurs qui étaient au refuge passent pas loin pour l’ascension du Petit Vignemale. Il fait autour de 7°C. Je prends mon temps pour déjeuner. Thé chaud, biscuit céréale et pareil que la veille : poudre hyperprotéinée dans le reste de thé.
Je fais secher mes affaires au soleil (pas mal de condensation sur le sursac), je range tout dans mon sac et je le glisse sous le tarp en position tortue.
Je prends le minimum sur moi c'est a dire ma pochette ventrale avec sa gourde pleine direction le petit Vignemale.
"Depuis la hourquette, emprunter la sente qui monte le long de la crête du Petit Vignemale (sommet le plus à gauche quand on regarde vers le sud).
Cette sente se perd dans un grand pierrier en deux parties.
La première partie est assez bien marquée, sur la deuxième, les roches changent de couleur et la sente se perd dans le pierrier.
Garder le sommet en vue et ne pas s'approcher trop près du précipice de la face nord.
On rejoint la crête finale puis le sommet après 1h00 de marche depuis la hourquette "
Et bien oui il faut bien 1h pour le gravir et encore je le fais après une nuit de repos. Le faire dans la meme journée que le reste de l'ascencion , j'y pense meme pas ^-^.

C'est là où je decouvre mes limites : non je ne ferai pas d'alpinisme, le passage au precipice m'a vacciné  ;#
Je reste en haut faire quelques photos et discuter avec ceux qui arrivent. Le panorama est magnifique.
Maintenant va falloir redescendre et ce n'est pas forcément plus facile que de monter. Quelques glissades plus loin, je retrouve mes affaires. Je range la totalité de mon sac et je reste un peu la à apprecier l'endroit. Je grignote pour le repas de midi : melange caouette, saucisson et chocolat/gateau.

et c'est parti pour le retour par le meme chemin. Je fais une pause au refuge : biere fraiche et trempage des pieds (ca pique au début), remplissage des bouteilles avec de l'eau potable disponible au refuge.
Pratiquement 3 heures plus tard arrivée au parking ; je suis vidé. Quelques etirements et retour à la maison.

Les courbatures viennent juste de disparaitrent  :closedeyes:
« Modifié: 22 juillet 2014 à 13:40:14 par raphael »
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22 juillet 2014 à 11:10:22
Réponse #14

azur


C'est exactement le parcours de ma première grosse course en montagne, il y aura 14 ans en septembre... un sacré beau souvenir:
- 1er jour: pont d'Espagne - refuge des Oulettes
- 2e jour: refuge des Oulettes - Petit-Vignemale - refuge de Baysselance - grange de Holle
- 3e jour: grange de Holle - Port de Boucharo - brèche de Roland et retour à la grange de Holle
J'en ai chié mais ça m'a donné le gout de la montagne!
« Modifié: 22 juillet 2014 à 11:22:42 par azur »
Tout le monde savait que c'était impossible... est venu un idiot qui ne le savait pas, et qui l'a fait!
------------------------------------------
Boviner, c'est contourner par le centre...

22 juillet 2014 à 14:18:56
Réponse #15

musher


Belle balade  :love:

Et les photos ?
Elles sont restées la haut ? ;D

22 juillet 2014 à 16:32:35
Réponse #16

raphael


Belle balade  :love:

Et les photos ?
Elles sont restées la haut ? ;D

Tu ne les vois pas ? Il faut etre connecté je pense.
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22 juillet 2014 à 18:07:26
Réponse #17

Buffalo


Sur tes photos je vois que tu utilises un mini filtre, est-ce celui-ci :http://www.arklight-design.com/sawyer-mini-filtre-c2x13628038 ? Peux-tu nous faire un petit retour? moi je serais intéressé pour avoir la possibilité de me ravitailler en eau lors de sorties de plusieurs jours.
Merci d'avance pour tes réponses
Christian
Je cause pas aux cons, ça les instruit "Audiard"

22 juillet 2014 à 18:21:42
Réponse #18

raphael


Sur tes photos je vois que tu utilises un mini filtre, est-ce celui-ci :http://www.arklight-design.com/sawyer-mini-filtre-c2x13628038 ? Peux-tu nous faire un petit retour? moi je serais intéressé pour avoir la possibilité de me ravitailler en eau lors de sorties de plusieurs jours.
Merci d'avance pour tes réponses
Christian

Oui c'est bien celui là et je l'ai d'ailleurs acheté sur ce site. c'est mon premier filtre. C'est léger et petit : je n'ai pris que le filtre et la poche. Je l'ai utilisé qu'avec de l'eau claire venant de la fonte de névés. J'ai rempli la poche , j'ai vissé le filtre dessus, je retourne le tout et op direction la bouteille a remplir. Le poids de l'eau dans la poche suffit  a amorcer l’écoulement, il suffit ensuite d'enrouler tout doucement la poche pour faire passer toute l'eau. Par contre il faut remplir au moins 4 fois la poche pour remplir une bouteille d'un litre.
Se connaitre et s'accepter


22 juillet 2014 à 21:55:30
Réponse #19

Merlin06


Beau récit, pas trop petit-petit l'abri par temps moche?
L'âme sûre ruse mal.
Le matin du grand soir il y aura de la confiture de bisounours au petit déjeuner.
Nous avons deux souverains, Dame Physique et Sire Temps.

22 juillet 2014 à 22:02:10
Réponse #20

raphael


Beau récit, pas trop petit-petit l'abri par temps moche?

Clairement réservé pour le beau temps, impossible de s'y abriter d'une pluie avec du vent
Se connaitre et s'accepter


22 juillet 2014 à 22:32:03
Réponse #21

Merlin06


Dis-moi, j'ai vu que tu utilisais une pochette ventrale, je pense essayer ce genre de truc pour le kit minimaliste toujours accessible et facile a porter.
Les Ribz me paraissent un peu grosses et complexes, d'un autre coté je ne suis pas certain de pouvoir faire en couture.
Qu'utilises-tu STP?
L'âme sûre ruse mal.
Le matin du grand soir il y aura de la confiture de bisounours au petit déjeuner.
Nous avons deux souverains, Dame Physique et Sire Temps.

23 juillet 2014 à 08:27:20
Réponse #22

raphael


Dis-moi, j'ai vu que tu utilisais une pochette ventrale, je pense essayer ce genre de truc pour le kit minimaliste toujours accessible et facile a porter.
Les Ribz me paraissent un peu grosses et complexes, d'un autre coté je ne suis pas certain de pouvoir faire en couture.
Qu'utilises-tu STP?

http://www.asmc.de/fr/Portage/Sacs/Sacs/Sacs-banane/Sacoche-Mil-Tec-Single-Pack-noir-p.html

 ;)
Se connaitre et s'accepter


23 juillet 2014 à 12:06:54
Réponse #23

Merlin06


L'âme sûre ruse mal.
Le matin du grand soir il y aura de la confiture de bisounours au petit déjeuner.
Nous avons deux souverains, Dame Physique et Sire Temps.

23 juillet 2014 à 17:33:51
Réponse #24

Nirgoule


C'est là où je découvre mes limites : non je ne ferai pas d'alpinisme, le passage au précipice m'a vacciné  ;#

Salut Raphael,
Il est normal de ressentir de l’appréhension, surtout une première fois comme cela semble être le cas. Et puis une rando alpine en solo est toujours plus engageante qu'en groupe. On se sent plus exposé face aux dangers.
il faut au contraire faire d'autres expériences du même type, au besoin une formation FFME ou CAF qui donnera qq conseils techniques.
En tout cas bravo car c'est un premier 3000 et en plus en solo, ce qui rajoute de la difficulté.  :up:
"Vous les français vous ne doutez jamais de rien."
"Je doute toujours mais je ne désespère jamais." Maigret

 


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