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Stages de survie CEETS

Auteur Sujet: Vers une définition du Couteau de Survie  (Lu 18707 fois)

20 octobre 2006 à 14:36:03
Réponse #25

Kilbith


Si je devais ne choisir qu'un outil....je pencherais vers un CS SRK ou bien, vers mon LG camp si l'option était carrèment "Wilderness" (sa taille le rend vraiment utilisable pour une mise à mort...).

David,

La solution du couteau unique me semble vraiment un mauvais choix. Mais, dans cette hypothèse théorique : je suis d'accord qu'un gros couteau serait ce qu'il y a de moins pire... pour plus de quelques jours

Le CS SRK : C'est un peu une barre à mine mais justement c'est solide du fait de l'émouture sabre, facile à aiguiser et l'étui est très sûr...
Le grand couteau genre le LG : c'est assez solide en XC65 (un petit doute sur la résistance de la soie), c'est facile à aiguiser. Et la taille est bonne pour le batonnage. C'est une excellente arme d'estoc ce qui n'est pas négligeable pour achever du gibier ou se défendre (lame de plus de 18 cm réel). En revanche, c'est encombrant pour le petit travail.

Did ;)

20 octobre 2006 à 14:50:02
Réponse #26

kazar



20 octobre 2006 à 15:12:30
Réponse #27

emmuel


Cet été, j'ai (re)visité le Fram à Oslo.

Un peu HS : C'est quoi ?
Mince je vais devoir yretourner !! ;D

20 octobre 2006 à 15:24:09
Réponse #28

Kilbith


bonjour,

Le Fram, c'est le navire utilisé par Nansen pour ses explorations polaires. On le visite sur l'île en face d'Oslo. Il est particulièrement résistant à la glace...
un lien en français : http://www.transpolair.com/explorateurs/nansen/derive_navire.htm

Did

20 octobre 2006 à 15:26:59
Réponse #29

Kilbith


Gaffe à la trempe des Cold-Steel :



http://www.bladeforums.com/forums/showthread.php?t=328256

Stéphen.

bonjour Stephen,

Ce n'est pas obligatoirement un problème de trempe sur cette série. Cela peut être soit un problème de finition (angles non meulés) soit un problème de résistance au froid du carbone V.

did

20 octobre 2006 à 15:35:55
Réponse #30

kazar


Bonjour Kilbith,

Je sais, ce n'est pas facile de déterminer la cause.
J'ai eu un Cold Steel Trail Master en Carbon V, et en action de taille, son tranchant se fracturait à chaque fois un petit peu. Symptôme que je n'ai jamais rencontré avec un XC75 bien trempé. Je n'ai pas poussé davantage mon Trail Master, j'ai remit à neuf son tranchant et je l'ai revendu. Je ne le "sentais" pas.

Stéphen.

20 octobre 2006 à 16:06:25
Réponse #31

Kilbith


Merci pour ces précisions Stephen,

c'est l'avantage des couteaux nordiques : leur conception prend le plus souvent en compte les problèmes consécutifs au froid...

did


20 octobre 2006 à 18:13:45
Réponse #32

Diesel


Petite question subsidiaire suite à l'interventin du manitou.
Dans les bois, vous avez combien de couteau avec vous ?

Pour ma part, je m'apperçois que j'en ai à peu près toujours 3

1 dans mon kit survie/first aid (un couteau suisse 2 lames)
1 SAK avec scie
1 mora /Fallkniven H1 ou mon RAT-7  :love:

De plus il y a une scie fiskars 1 fois sur 2
Et vous ?  ;D


20 octobre 2006 à 18:28:36
Réponse #33

Patrick


Je vais faire une réponse idiote mais, un bon couteau de survie c'est selon moi :

1. un couteau qui a des propriétés mécaniques intrinsèques adaptées aux situations de survies (taille, profil de lame, résistance à la torsion, propriétés de coupe, etc...
2. un couteau dont on sait se servir dans ces situations ;
3. un couteau qu'on aura sur soi au cas où ces situations puissent survenir.

Parce que si c'est un super couteau mais qu'on ne sait pas quoi faire avec ou qu'on sait mais qu'on a pas quand la c*u!lle arrive, ben c'est mal barré.

Le point un est facile à obtenir de par l'expérience de nombreux membres qualifiés sur ce forum, le point deux est accessible grâce à des experts et pédagogues de talent toujouts disponibles en magasin ici et pour le point trois de la détermination et de l'organisation.
« Modifié: 20 octobre 2006 à 18:31:53 par Patrick »

20 octobre 2006 à 19:22:29
Réponse #34

kazar



2. un couteau dont on sait se servir dans ces situations ;
Parce que si c'est un super couteau mais qu'on ne sait pas quoi faire avec ou qu'on sait mais qu'on a pas quand la c*u!lle arrive, ben c'est mal barré.

Le point un est facile à obtenir de par l'expérience de nombreux membres qualifiés sur ce forum, le point deux est accessible grâce à des experts et pédagogues de talent toujouts disponibles en magasin ici et pour le point trois de la détermination et de l'organisation.

Si je te comprend bien Patrick, un couteau de survie ce n'est pas uniquement tel instrument avec telles et telles qualités/fonctions/caractéristiques, mais également l'INTERACTION avec son utilisateur par l'intermédiaire des savoirs-faire, connaissances et habitudes que celui-ci à développé au cours de son expérience avec ce couteau en particulier, et les couteaux et le domaine de la survie en général. Oui. Bien vu.  :)

Stéphen.
« Modifié: 20 octobre 2006 à 19:24:54 par kazar »

20 octobre 2006 à 22:58:53
Réponse #35

riketz


Pour moi, c'est SAK Camper a la ceinture, et gros coutal mili dans le sac. Et maintenant, j'ai un joli ptit Mora ( :love:) en plus quand l'un est trop grand et l'autre trop petit.
Et puis bien sur, la bahco qui a pour moi fait ses preuves et remplace la hachette sans problèmes!


21 octobre 2006 à 00:51:33
Réponse #36

kazar


"Il y a toujours trois solutions : la bonne, la mauvaise, la notre" (devise de l'ACDS)

...

"Il y a toujours trois types de couteau de survie : le bon, le mauvais, le "mon mien à moi" (devise de l'ACDS : l'Adepte des Couteaux De Survie).

Bon weekend à tous  :),
Stéphen.

21 octobre 2006 à 07:19:40
Réponse #37

Corin


Tafdak avec Pat.
Le couteau de survie est celui qui te convient (donc tu l'auras emporter avec toi parce qu'il n'est ni lourd ni encombrant pour toi) et que tu sais utiliser à bon escient dans une situation qui relève de la survie.

C'est à dire que dans une situation de survie, il n'est pas forcément nécessaire d'avoir un gros couteau pour débiter des bûches en allumettes mais probablement plus utile de disposer d'une lame trapue qui permet de couper de la corde, des branches ou autres pour faire un abri sans se blesser.

Ce qui a fait le succès du Spyderco auprès de nombreux utilisateurs, c'était, entre autres, qu'avec son agraffe, on pouvait le fixer presque partout sur sa tenue ou son équipement, ce qui permettait à chacun de le mettre là où il lui convenait le mieux pour l'oublier. Le jour où on en avait besoin, il était là.
En ce qui me concerne, c'était la poche cargo plaquée sur la jambe. Pour d'autres, c'était la poche poitrine. Un autre encore l'avait fixé à l'intérieur de ses vêtements, sur ses bretelles. Les tailles et type de lame variaient mais tout le monde avait le sien en permanence sur lui. Et chacun avait réfléchi à l'endroit adapté pour ne pas le perdre.

J'avais un pote qui avait adopté un couteau suisse, modèle de base, attaché par un cordon très fin qui était cousu au fond de sa poche.

A+

21 octobre 2006 à 11:33:39
Réponse #38

LeBaron


salut à tous
Ce que je vais dire va surement vous sembler HS mais je ne me suis jamais trouver en situation de survie. Je pratique beaucoup la randonnée au cours desquelles j'emmene toujours deux couteaux, un petit genre opinel, douk-douk, laguiole et un plus gros. J'ai meme essayer pas mal d'objets types tanto, aikuchi, kabar, machete et pour l'instant je m'en tiens à un couteau type Spyderco french military F. Perrin.
Bien sur je me suis fait déjà peur au cours de rando mais en france il y a beaucoup de ressources et l'on est rarement à plus de 4 heures d'une zone habitée ( je ne parle pas de la haute montagne, c'est autre chose)

Quant à la survie proprement dite (ex: crash d'avion) si je suis vivant je ferai avec ce que je peux degotter ou fabriquer.

Donc pour moi le débat sur le couteau de survie me semble un peu tronqué.
Pour revenir à la rando, tout a fait du même avis que notre manitou: un couteau robuste , facile a aiguiser, un acier type xc 75 et taille moyenne (20 à 24 cm)

Juste pour rappel: avantage d'un couteau custom type xc75: vous l'abimez, vous rentrez chez vous, vous faites sauter les plaquettes, vous detrempez, vous reparez, vous retrempez , nouvelles plaquettes et c'est reparti pour un tour

21 octobre 2006 à 11:53:01
Réponse #39

DavidManise


Bien sur je me suis fait déjà peur au cours de rando mais en france il y a beaucoup de ressources et l'on est rarement à plus de 4 heures d'une zone habitée ( je ne parle pas de la haute montagne, c'est autre chose)

C'est pas faux, comme dirait Perceval.  Ceci dit, 4 heures à pinces, c'est déjà 6 dans la poudreuse, 8 à cloche-pied, 10 dans le brouillard opaque (si tu te prends pas un scialet) et 12 en rampant...  Et avec un oedème de quincke, même 1 heure de marche ça peut paraître long (sans parler du pote qui fait un choc anaphylactique et que tu dois trimballer sur ton dos alors qu'il dégueule et se chie dessus et tout).

Bref, je suis d'accord que l'éloignement en France n'est jamais vraiment extrême, et que tant qu'on conserve sa mobilité et sa capacité à s'orienter on peut normalement rejoindre les secours.  Et souvent le portable pourra nous permettre de parler aux secours...  Mais j'ai appris à ne pas trop me fier à tout ça. 

Finalement, juste un petit chiffre qui pourra pousser à la réflexion : les gens perdus sotn retrouvés en MOYENNE à 2,18km de leur "point last seen" (dernier endroit où on sait pour sûr qu'elles sont passées)...  et après environs 48 heures de recherches (donc en général 72 heures dehors).  La plupart n'ont pratiquement jamais cessé de marcher pendant ces 72 heures pour retrouver leur chemin, et sont généralement dans un état d'épuisement proche de l'ohio.

Bref, sans capacité à s'orienter, on parcourt en moyenne 2,18km en 72h...  et fort heureusement.  C'est cette lenteur qui permet aux secouristes de retrouver pas mal de monde vivants...  sinon la zone de recherche deviendrait vraiment, vraiment trop grande.

Ciao ;)

David
"Ici, on n'est pas (que) sur Internet."

Stages survie CEETS - Page de liens a moi que j'aimeu

21 octobre 2006 à 15:41:35
Réponse #40

kazar


Le jour ou lors d'une randonnée avec mon père celui-ci s'est retrouvé à terre avec son pied sur le devant de la cuisse (double fracture tibia/péronet) je n'étais pas trés loin d'une zone habitée (1/2 heure à tout casser d'une ferme). Ce devait être une petite balade tranquile de dimanche aprés midi.

Or, ce jour là, je n'avais en tout et pour tout qu'un couteau pliant et mon téléphone portable qui ne m'a été d'aucune utilité puisque lorsque j'ai voulu m'en servir la communication ne passait pas (nous nous trouvions en plein milieu d'un grande colline à forte déclivité parsemées de roches de tailles moyennes).
Je ne m'étais jamais trouvé dans une telle situation. Conscient de cela je me suis calmé. J'ai réfléchi de mon mieux (pas trop de philo), et j'ai prit ma décision : mon paternel avait déjà de lui même remit sa jambe à sa place, je lui ai donc rendu sa position un peu plus confortable, je lui ai mit un vêtement sous la tête, je l'ai couvert avec mon parka, j'ai ordonné au chien de se coucher prés de lui, j'ai prit mes repères, je suis grimpé en ligne droite en haut de la colline et j'ai marqué le sommet avec un sac et un vêtement voyant ainsi qu'une branche morte dirigée vers l'endroit où se trouvait mon père. Puis j'ai couru en direction de la ferme que nous avions croisé à l'allée (merci mes années de course à pieds!).
Aprés tout s'est bien passé, je vous passe les détails de l'évacuation en hélico.


Qu'est-ce que j'ai appris de cet incident somme toute pas trop grave et qui n'était PAS UNE SITUATION DE SURVIE. Cette expérience à été pour moi instructive, surtout si je la transpose à une échelle plus sérieuse?

1°) Dans cet accident nous avons eut de la chance : pas d'hémoragie ou de choc à la tête. La blessure aurait pû être beaucoup plus sérieuse. De plus il ne faisait pas trop froid et nous n'étions pas loin d'une habitation.

2°) Être toujours plus prévoyant. Et aprendre, apprendre, apprendre. "Qui peut le plus peut le moins", car qui peut le moins ne peut parfois plus du tout. Et évidement qui sait le plus peut le plus. Toujours avoir de quoi se confectionner un abris si celui-ci est indispensable. Je connaissais "La règle des trois" de Ron Hood : trois minutes sans air, trois heures sans abri, et trois jours sans eau. Et franchement, avec l'équipement dont je disposais et le quelques chênes à moitié calcinés par la foudre qui se trouvaient à proximité, j'en aurais chié! J'aurais trouvé d'autre moyens de nous abriter, mais au niveau outil coupant j'étais sous-équipé. Comme un con quoi. Depuis, j'ai toujours dans mon sac au moins une hachette ou un couteau robuste (de préférence de type grand camp Knife qui puisse tailler du bois efficacement) et un grand poncho imperméable de l'armée pouvant servir de tente. J'ai bien écrit : "au moins".

Dans des circonstances climatiques et d'isolement plus sérieux mon Opinel N°8 (dont soit dit en passant j'ai encore pété la pointe hier) ne m'aurait pas été évidement inutile, avec du temps je peut peut être parvenir à abattre un séquoïa, mais bon... son champ d'efficacité est assez réduit.

Donc pour moi le débat sur le couteau de survie n'est pas si tronqué que cela. Certe, je peut me retrouver dans une situation où je devrais me fabriquer mon propre matos (et un outils tranchant ne sera peut-être pas la première des priorités immédiates). Mais, si un jour je me retrouve vraimment "dans le caca" (lors d'un voyage, d'un treck, ou... d'une autre "petite" randonnée par exemple...), si j'ai avec moi un équipement adapté et que je sais m'en servir efficacement, j'ai plus de chance de m'en sortir individuellement et/ou collectivement.


Pour revenir à la rando, tout a fait du même avis que notre manitou: un couteau robuste , facile a aiguiser, un acier type xc 75 et taille moyenne (20 à 24 cm)

TAFDAC avec toi LeBaron.

Juste pour rappel: avantage d'un couteau custom type xc75: vous l'abimez, vous rentrez chez vous, vous faites sauter les plaquettes, vous detrempez, vous reparez, vous retrempez , nouvelles plaquettes et c'est reparti pour un tour

Re-TAFDAC puissance 10. C'est un de mes objectifs. Et en plus, sait-on jamais, un savoir-faire en matière de forge peut toujours aider en situation de survie.
 

Bye, :)
Stéphen.
« Modifié: 21 octobre 2006 à 15:44:53 par kazar »

24 octobre 2006 à 17:56:35
Réponse #41

Kilbith


Salut, :)

J'ai été intrigué par l'information concernant le SRK et sa résistance au froid. Nous savons que l'acier est du Carbon V, mais il s'agit d'une dénomination propriétaire...la composition de l'acier est inconnue et peut changer au cours du temps.Il me semble avoir lu quelque part qu'il aurait une composition proche du 52100 (pas de nickel).


Ma référence : Pratique des Matériaux industriels, Propriétés-choix-utilisation référentiels Dunod. Septembre 1990

Conclusion sur les comportements au froid :
Parmi les matériaux métalliques utilisables à basses températures. La plus économique est celle des aciers au nickel qui sont utilisables pour des températures pas trop basse. Les nuances ferritiques à 3% de NI, les moins chères peuvent être choisies jusqu'à -100°C. Les aciers martensitiques à 9% de Ni sont employés jusqu'à  -170°C environ.


Les aciers de nos couteaux voient donc leur résistance largement amoindrie au froid. Dans certains cas il peut se produire une transformation en martensite de l'acier à basse température...cela annule les bénéfices du revenu et l'acier devient cassant.

ATTENTION ! JE NE SUIS PAS UN SPECIALISTE DU COMPORTEMENT DES ACIERS, J'ESPERE QU'UN SPECIALISTE CONFIRMERA ou INFIRMERA MES PROPOS !

En l'absence d'avis de spécialiste voilà mes conclusions : La résistance au froid est un élément à prendre en considération pour le choix d'un couteau de survie. Les nuances comportant du nickel se comportent mieux, et il semble intéressant de ne pas choisir un acier trop dur (tx martensite très important) car il y a un risque qu'il continue sa transformation en martensite et devienne trop cassant (l'effet d'une trempe cryogénique peut se passer à une température moins basse si l'expostion est très longue...)
Une autre solution, les aciers laminés de type Helle et Fallkniven...

Les aciers utilisés pour couteaux contenant du nickel :

REF http://spyderco.com/edge-u-cation/index.php?item=3

Le H1 (grande quantité).  Résistant au froid, effet renforcé par l'azote.
Le O1 (petite quantité, peut être insuffisant ?)
Le A2 (petite quantité, peut être insuffisant ?)
Le D2 (petite quantité, peut être insuffisant ?)
Le M2 (petite quantité, peut être insuffisant ?)
Le X 15 TN (petite quantité, présence d'azote ce qui serait bien, peut être insuffisant ?)
Les AUS 6, 8 et 10 (petite quantité mais un peu plus que les précédents, peut être insuffisant ?)

did

PS et HS : pour information l'alliage d'alu 7075 T651 (arceaux de tente) se comporterait pas trop mal au froid même si c'est le pire des alliages aviation dans ma référence sur ce point

« Modifié: 24 octobre 2006 à 18:08:18 par Kilbith »

24 octobre 2006 à 18:32:01
Réponse #42

kazar


Salut Did, :)

Les aciers de nos couteaux voient donc leur résistance largement amoindrie au froid. Dans certains cas il peut se produire une transformation en martensite de l'acier à basse température...cela annule les bénéfices du revenu et l'acier devient cassant.
En l'absence d'avis de spécialiste voilà mes conclusions : La résistance au froid est un élément à prendre en considération pour le choix d'un couteau de survie.

Bien vu. Dans la petite brochure accompagnant les haches Wetterlings il est conseillé de réchauffer son outil en acier avant de l'utiliser à basse température (en le gardant au chaud contre soi par exemple).

Dans "User Manual" > "Maintenance" : http://www.wetterlings.com/ :

WARMING YOUR AXE
At very low temperatures steel becomes brittle. If possible warm up your axe before using, but not over an open fire. Or, as written in our care instructions in 1947,
“ the axe should be warmed in the winter,
preferably with the woodcutter’s own body heat”.[/
b]


Le métal se refroidit vite, mais en cas et en attendant mieux, c'est ce que je fais maintenant avec mes couteaux.

Stéphen.
« Modifié: 24 octobre 2006 à 19:04:52 par kazar »

28 octobre 2006 à 11:02:09
Réponse #43

Irys


J'ai un aitor JK2 dans ma collection, il est énorme et il est beaucoup trop lourd pour l'emmener avec soi.
Donc, j'ai un Muela Storm, pour mes sorties. Il est très simple, léger, costaud et reste hyper tranchant très longtemps. Bref, tous ce qu'il faut pour etre un allié de "taille"  ;D
Voilà à mes yeux les caractéristiques d'un couteau "de survie".

 


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Bienveillance, n.f. : disposition affective d'une volonté qui vise le bien et le bonheur d'autrui. (Wikipedia).

« [...] ce qui devrait toujours nous éveiller quant à l'obligation de s'adresser à l'autre comme l'on voudrait que l'on s'adresse à nous :
avec bienveillance, curiosité et un appétit pour le dialogue et la réflexion que l'interlocuteur peut susciter. »


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