Sans vouloir raconter trop de conneries...

- du point de vue de sécurité de l'utilisateur:
si le pot est suffisament surélevé par rapport à la table/plancher, l'entrée d'air sera suffisante sous le pot pour permettre une combustion normale de la bougie et une production (normalement) minime de CO et une production "normale" de CO2, bref pas plus que quand on fait brûler une bougie chez soi. Bref pour l'usager, pas de danger particulier à utiliser ce dispositif dans une pièce ayant un minimum de ventilation.
- du point de vue de fonctionnement de la bougie: (c'est peut-être là le but de ta question en fait)
en supposant initialement que la bougie fonctionne en régime de combustion normale car ayant initialement suffisament d'air disponible, le CO2 va en effet etre produit, mais en tenant compte de ça:
* la température sous le pot est bien supérieure à celle de l'extérieur;
* il y'a production de gaz (CO2, trace de CO...);
* le CO2 est plus dense que l'air: 1.5-1.7 ( à la louche, de mémoire?)
On peut imaginer que:
* le volume sous le pot est en surpression "dynamique" légère constante par rapport à l'extérieur;
* le CO2 à tendance à "couler" vers le bas du volume du dispositif;
donc que ce CO2 ne va "demander" qu'une chose, c'est d'être évacuer par le bas du pot.
Mais cette évacuation veut dire qu'il va falloir compenser cette perte gazeuse par un apport d'air frais venant de l'extéeieur, afin de maintenir le système toujours en équilibre dynamique...
d'ou je pense pour aussi cette raison l'intérêt d'avoir un espace confortable entre le bord du pot et la table/sol ou est posé la bougie, histoire d'avoir une bonne circulation gazeuse dans les 2 sens...
Bref: peu de chance, dans ces conditions, de voir les gaz de combustion s'accumuler là dessous...
Modulo que je sois pas trop à côté de la plaque, hein?

à+,
Lambda