... sauver un touriste de son imaginaire trop fertile.
Le professionnalisme de ces mecs là ...
Question de point de vu.
Au siècle dernier, quand les appels "18" étaient encore reçus par les communes, il était courant de demander du secours pour, exemple, un chat dans un arbre.
Dans un contexte de baisse des dotations et du recrutement, j'avais donné comme consigne aux stationnaires de répondre qu'on ne trouvait pas de cadavre de chat dans les arbres, ni à leur pied, et donc qu'ils se sauverait bien tout seul.

Les interventions pour "assistance à animal" ont disparu, celles pour "sauvetage" ont continué d'être honorées car le sous-officier de reconnaissance sortait plus souvent afin d'apprécier in situ les demandes litigieuses.
Après la Départementalisation, la démarche a été étendue aux ascenseurs en panne, aux inondations de cave ou à la destruction d'insectes, avec parfois l'excès inverse comme ne pas recevoir l'assistance légitime pour l'éradication de nuisibles nommément cités (frelons asiatiques). Certains règlements opérationnels départementaux sont certainement contestables, mais il faudrait beaucoup de temps et une vocation bien chevillée pour ester.

Pour revenir au cas cité, j'aimerais avoir la certitude que le COG a bien cerné la notion d'urgence et mis en œuvre les secours adaptés au juste nécessaire. La dotation d'heure de vol se doit probablement d'être consommée, tout comme l'usure, donc le remplacement, des tuyaux de 110 d'un CPI ...

Ceci dit, telle que présentée, la demande du "randonneur" est abusive, certes.
Chill.