Bonjour.
En triant des papiers, je retrouve une brève parue dans
Direct Marseille le jeudi 20 janvier 2011, qui donne à réfléchir :
À croire que les éléments étaient contre lui.
Antonio Christopher aurait dû mettre moins de 24h pour aller de Londres à St Kitts, une île paradisiaque des Caraïbes. Mais ce professeur de théologie anglais, invité à un mariage, a vécu un enfer en mettant plus d'une semaine pour arriver à destination. Son périple a commencé sous les flocons, le 20 décembre. Son premier vol Londres-NY est reporté le lendemain, il décide donc de passer la nuit sur le sol inconfortable de l'aéroport.
Las, le lendemain, son vol est encore une fois reporté. Et il n'est pas au bout de ses peines : il réussit à traverser l'Atlantique mais est contraint de passer trois nuits dans trois aéroports américains différents, avec pour seul réconfort les couvertures qu'on lui fournit (parfois).
Huit jours après son départ, Antonio arrive enfin à bon port et peut profiter de la chaleur des îles... mais il commence à s'en lasser : aux dernières nouvelles, il est toujours coincé là-bas, à cause de la neige.
Il semblerait qu'il ait aussi galéré au retour ! Le récit complet en anglais :
http://edition.cnn.com/2011/TRAVEL/01/27/stranded.traveler/index.htmlPour les anglophones, un truc à lire avant d'envisager de passer une nuit dans un aéroport:
http://www.sleepinginairports.net/tips.htm