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Auteur Sujet: Chance de survie et personnalité...  (Lu 9816 fois)

02 avril 2011 à 21:28:04
Lu 9816 fois

Le Barbu'


Bonsoir a tous,



Petite question qui me trotte a l'esprit, d'après vous : si l'on place des individus de personnalité bien différente avec le même bagage technique (savoir faire pas hyper étendu) et matériel (assez réduit) dans la nature avec un objectif précis, est ce que ces individus ont des chances de survie comparable ou non ? concrètement, qu'est ce qui va alors faire que Dupont va s'en tirer a bon compte alors que Marc restera dans la mouise ?
On peut toujours se consoler en se disant qu'on ne saura même pas nous mêmes qu'on est mort.


La vie est une comédie italienne : tu pleure tu ris, tu ris tu pleurs...

02 avril 2011 à 21:37:10
Réponse #1

Loriot


La chance  ;D
La curiosité,
L'aptitude a anticiper, a fabriquer, a se déplacer et se repérer.
Le physique, la santé, la vitesse du vent, l'humidité, la phase de la lune, etc...
Quand Pourine veut la lune tu lui baises les pieds

02 avril 2011 à 22:33:57
Réponse #2

Leif


c'est le principe de tout les huis clos.

les expériences de toutes sortes.

l’éducation et l'histoire personnelle des gens.

maintenant rien n'est gravé dans la pierre et tous sont capable de se transfigurer sous un stress énorme.

29 avril 2011 à 14:47:19
Réponse #3

Jacques



(En éliminant les cas extrêmes de dysfonctionnements sérieux voire majeurs)

La personnalité va jouer un rôle :

- à titre individuel : le mec craque ou pas, et craque pour telle ou telle chose. Ou pas. Il y a des gens très résistants pour telles circonstances et de façon surprenante très fragiles pour telle autre circonstance. Un peu comme l'éléphant et la souris paraît-il.

- à titre inter-individuel : pour trouver une place dans le groupe. Le groupe peut être un facteur de survie. Comme ce peut être une bande de cons. Qui en général, comme l'individu, ne se reconnaît jamais comme telle. Et je suppose que 5 cons, moyennement cons, auront dans nombre de cas plus de chances de survivre qu'un mec intelligent isolé. Les cons graves ... leur sort est souvent joué et il n'y a qu'eux qui ne le voient pas arriver.

Le monde économique en fournit d'abondants exemples.


On peut aussi envisager la question sous l'angle de la capacité à orienter sa vie, à "penser hors de la boîte" comme diraient les saxons-anguleux. Concrètement : mouton n-ième connaît globalement le sort du groupe, et saute en même temps que les autres au bord de la falaise. Tandis que le mec qui assume son orientation survie et agit en conséquence aura probablement plus de chances du fait de l'originalité de sa personnalité.


Un trait de personnalité qui passe souvent très mal dans les groupes : les personnalités distantes, la distance. C'est dommage. Car c'est souvent celles qui évitent au groupe le phénomène "la tête dans le guidon". Leur acceptation me semble être un signe de la bonne santé du groupe : cela va souvent de pair avec la capacité du groupe à avoir un bon sens critique vis à vis de lui-même.

Donc :
Personnalité : cela va jouer dans l'orientation de vie et dans la façon de s'associer ou non à d'autres, deux choses qui sont des facteurs sérieux dans la survie.

29 avril 2011 à 16:20:49
Réponse #4

macagnaman


certaines personnalités se revèlent dans les épreuves.
La responsabilité est la conséquence logique de notre liberté.
(J.P Sartre).

29 avril 2011 à 23:08:06
Réponse #5

remden


Bonsoir a tous,



Petite question  concrètement, qu'est ce qui va alors faire que Dupont va s'en tirer a bon compte alors que Marc restera dans la mouise ?

dans un de ses livres (1), J.-F. Deniau cite le cas du naufrage du navire-école allemand Pamir :

(...) "[ici, citation d'alain bombard :]  les naufragés meurent asphyxiés, noyés, de faim et de soif. Mais aussi de désespoir".

C'est vrai. lors d'un des plus célèbres drames de la mer, le naufrage du navire-école allemand Pamir, on retrouva dans  les canots de sauvetage les corps des cadets par dizaines. Ils n'étaient pas noyés, ils étaient dans les canots. Ils étaient morts de froid, de peur, de désespoir, sentiment naturel tant, dans la tempête, les vagues et le vent montent avec une sorte de haine comme s'ils avaient décidé de vous écraser et de vous dévorer.

les naufragés, au moment d'abandonner l'épave ou de tomber à l'eau, doivent savoir qu'un homme sans provisions, sans eau, sans compagnie, a survécu pendant un mois dans l'océan (2). Il faut qu'ils le sachent pour qu'ils aient la volonté d'espoir.(...)


reprenant cette histoire dans un autre bouquin, JFD ajoutera en commentaire que, lors de ce naufrage, les jeunes avaient "perdu les pédales" rapidement car n'ayant pas grand chose auquel se raccrocher mentalement alors que les hommes plus âgés avaient "tenu" (grâce à l'évocation du foyer familial, de l'épouse, des enfants, etc...)



(1) J.-F. Deniau, Mémoires de  7 vies, Plon, 1994.
(2) expérience réalisée par alain bombard (en 1952 ?)

05 mars 2013 à 23:53:47
Réponse #6

Vérole Yves


Bonjour,
J' ai  lu un roman sur la premiére guerre mondiale ( les croix de bois, ou orage d' acier ) ou l' auteur parlait de : " la jugeote des champs de bataille "
Il s' agissait en fait de l' aptitude de certains combattants a avoir un instinct de survie plus  dévellopé que d' autres ...
Olivier

06 mars 2013 à 14:13:52
Réponse #7

Jas


Salut à toutes et à tous.

Dans la plupart des livres, reportages (plus ou moins sensationnalistes), films, évènements récents, histoires et fait divers liés à la survie d’un individu.

Le seul dénominateur commun, et ca n’engage que moi, le seul réel facteur lié directement à leur survie était Le Moral et L’ Envie de s’en sortir. Que ce soit par rage de vivre, de voir ses gosses grandir ou simplement continuer  de voir le soleil se lever quelques années de plus.

En groupe, à moins d’être membre d’une même famille, d’un clan, d’une unité de combat etc..les chances de survie sont divisés par le nombre d’individus présents.

Enfin, je pense...

06 mars 2013 à 15:46:44
Réponse #8

mrfroggy


Les seuls qui peuvent répondre objectivement, sont ceux qui ont été confrontés directement a un cas de survie..
Pour les autres , ce n est que spéculation..moi meme , je ne sais pas vraiment comment je réagirais si ça devais m arriver..meme si je passe beaucoup d heure dehors, a faire du feu, a bouffer le minimum, a dormir dans un sac poubelle.... a chercher des solutions..
Mon pote, était dans les Paras, et il m a raconté que la grande Gueule de "l équipe", celui qui disait :
-"moi je vais sauter, et vous autres, allez vous faire dessus!"
celui la est le seul qui n a pas sauté lors de leur premier saut, et qui a fait sortir le groupe de la zone maxi de largage  ;)  ok , ce n est pas de la survie, mais le gars a été pris d une telle peur panique au moment de sauter.. mon pote aussi , a l arrivée ,a salit son slip,il m a dit qu il n a jamais tremblé autant de toute sa vie, mais il a sauté lui.
Les Hommes qui sont nés pour jouir véritablement de la vie font ce qui leur plaît, à l’heure où cela leur plaît, et ne perdent pas leur temps à prévoir l’avenir, à se garer de catastrophes imaginaires. (Alfred Capus)

06 mars 2013 à 17:30:39
Réponse #9

camoléon


"Pour vivre heureux (et vieux), marchons invisible et silencieux"

"Le courage est le juste milieu entre la peur et l'audace"

"Je marche au pas de Loup"

06 mars 2013 à 17:53:22
Réponse #10

camoléon


Dans ce genre de situation, je pense que son pire ennemie, c'est soi même.

ça à l'air con et "bateau" dit comme ça, mais j'apprends à gérer ça au quotidien dans mon boulot et dans mes nouvelles responsabilités, dans le sens ou, j'ai pas mal de petites phobies et je dois faire y faire face et passer outre tous les jours.
C'est pas un crash d'avion mais un peu"mon monde qui tremble" et mes capteurs qui passent au rouge"

Gérer la "situation de crise" et gérer "sa crise", voilà ce que j'apprends au quotidien et ce que l'on devrait apprendre, à mon avis, pour survivre.
Gérer son stress, structurer sa réponse. A partir de là, sauf facteur biologique et malchance, je pense que tout le monde et à peu prés à égalité.
Pas jouer au Rambo mais y aller par petite touche tout les jours et se rendre compte que la peur ou l'appréhension a disparue et que l'on fait des choses que l'on aurait cru impossible la veille, le mois dernier, l'année dernière.
S'entrainer.
"Pour vivre heureux (et vieux), marchons invisible et silencieux"

"Le courage est le juste milieu entre la peur et l'audace"

"Je marche au pas de Loup"

09 mars 2013 à 10:59:54
Réponse #11

aurochs


A relire et à méditer : "ce que j'ai fait, je te le jure, aucune bête au monde ne l'aurait fait" Antoine de St Exupéry dans Terre des Hommes

09 mars 2013 à 11:34:30
Réponse #12

VieuxMora


A relire et à méditer : "ce que j'ai fait, je te le jure, aucune bête au monde ne l'aurait fait" Antoine de St Exupéry dans Terre des Hommes

En fait c'est Guillaumet qui a prononcé ces paroles après avoir traversé à pied plusieurs cols suite à son crash dans les Andes, lorsque St Ex est venu le récupérer  ;)
« Modifié: 09 mars 2013 à 11:53:06 par VieuxMora »

29 mai 2013 à 19:15:05
Réponse #13

mag


Oui la personnalité est importante ,pas la personnalité que tu peux afficher en société bien sur
Tu ne peux pas juger une personne sans l'avoir vu agir.
Tu ne peux pas dire (cette personne est une dure à cuire);sans savoir si elle l'est consciemment ou inconsciemment.   
Le fait d' être conscient peut limiter la prise de risques,je dis peut  limiter la prise de risque car à l'instar ,être dans une hyper conscience du danger peut limiter aussi ton taux de survie.
(tendance à être paralysé devant un danger par exemple),ou afflux de trop d'informations en même temps pour une réponse adéquate.
Le fait d être influençable,peut carrément te faire passer d'une vision de la situation à une autre .
Si ont a eu un contact direct avec la nature en étant gosse favorise aussi la survie,car légère habitude de faire toute sorte de conneries en étant enfant ne pardonne pas en milieu naturel et si ont s'en sort ,c 'est qu'il y a de grande chance qu'ont puisse s'en sortir plus tard.Maintenant notre personnalité est façonnée par les expériences
,Mais vu que les personnes sont en évolution perpétuelle ,Ont ne peut pas dire celui la peut agir comme ça,dans telle situation
.Donc ont peux pas avoir une vision objective de la personnalité des gens en général déjà,et encore moins quand il s'agit de savoir si cette personne pourra survivre ou non ,tout est relatif,et j'ai eu beaucoup de surprises

31 mai 2013 à 10:51:33
Réponse #14

Lockloc


Bien le bonjour,
outre les paramètres de personnalité/conditionnement/révélation de personnalité voir entrainement des différents individu, il rentre aussi dans ces situations un phénomène de blocage qui peut survenir à n'importe quel moment, une peur irraisonnée alors qu'on connait la situation pour l'avoir déjà vécue/gérée, l'hésitation qu'on avait pas avant, etc.

Il y a quelques fois un "j'le sens pas "qui apparait qui fait qu'on ne saura plus faire face et qu'on peut se laisser déborder parce qu'on aura hésité.

C'est un phénomène que j'ai déjà vécu plusieurs fois, sans pouvoir l'expliquer rationnellement, d'autant que les fois suivantes ça s'est bien passé (genre sport, boulot, ou simple trajet en voiture).

C'est une question complexe car, de mon point de vue, il est question d'humain, par essence imprévisible. Un entrainement poussé, faisant acquérir certains réflexes, peut diminuer le côté imprévisible, mais uniquement diminuer. Un "fort dans sa tête" peut très bien craquer sans qu'on sache pourquoi alors qu'un "tout mou d'habitude" peut se révèler...

C'était mes 2 kopecks...

A+

Lockloc
"La chute n'est pas un échec, l'échec c'est de rester où l'on est tombé" - Socrate -

31 mai 2013 à 12:30:17
Réponse #15

Ulf


Bonsoir a tous,



Petite question qui me trotte a l'esprit, d'après vous : si l'on place des individus de personnalité bien différente avec le même bagage technique (savoir faire pas hyper étendu) et matériel (assez réduit) dans la nature avec un objectif précis, est ce que ces individus ont des chances de survie comparable ou non ? concrètement, qu'est ce qui va alors faire que Dupont va s'en tirer a bon compte alors que Marc restera dans la mouise ?

Oui, à état de santé, situation et matos égal, les différences psy vont énormément jouer.

Non, je ne sais pas précisément lesquelles.

A mon avis, c'est forcement étudié en long en large et en travers pour le recrutement dans les métiers où les situations d'autonomie sont très probables.

31 mai 2013 à 15:03:08
Réponse #16

Bison


Citer
A mon avis, c'est forcement étudié en long en large et en travers pour le recrutement dans les métiers où les situations d'autonomie sont très probables.
Pour ce que j'en connais, dans l'aviation civile et militaire, cela marche (marchait?) surtout par la voie d'un processus sélectif qui s'étendait parfois sur plusieurs années.

Ceux que j'ai connus, qui étaient "passé à travers" (environ 3% des "candidatures initiales), c'étaient des mecs de confiance ...
Un enfant qu'a pas une paire de bottes, une canne à pêche et un lance-pierre, c'est pas un vrai. (A. Gavalda)

01 juin 2013 à 01:45:13
Réponse #17

mag


Ont ne peut pas dire que quelqu'un est une personne de confiance,n'importe qui et parfois même les plus aguerris peuvent craquer pour quelque
chose d'anodin....
ont peut passer à travers deux guerre et morfler à la troisieme  par exemple.
Beaucoup de gens par manque de remise en question ne changent pas de façon de penser.Et beaucoup seraient perdus à la fin des missions, sans une autre mission pour les remettre d'aplomb

01 juin 2013 à 12:45:55
Réponse #18

Bison


Tu parles d'expérience ?
Ou c'est juste de la théorie ?
Un enfant qu'a pas une paire de bottes, une canne à pêche et un lance-pierre, c'est pas un vrai. (A. Gavalda)

01 juin 2013 à 13:32:45
Réponse #19

h


Ont ne peut pas dire que quelqu'un est une personne de confiance,n'importe qui et parfois même les plus aguerris peuvent craquer pour quelque
chose d'anodin....
Tu parles d'expérience ?

En fait je cherche à lui rendre hommage ici... J'avais un ami, mon binôme, extraordinaire, qui sied au titre ''personnalité". J'ai cinquante ans, je n'ai jamais revu un bonhomme comme lui...  J'aurai dis increvable si ce n'est cet accident de voiture....  il était partis pour le ''groupe'' et je cite cette définition, en la découvrant, j'ai de suite pensé à lui. C'est celle qui le défini le mieux:
'' de 100 hommes, 10 ne devraient même pas être là, 80 ne sont que des cibles, 9 sont de vrais soldats...
Nous sommes chanceux de les avoir.. ils définissent le champs de bataille.
Ah! mais lui, l'un d'eux est un guerrier ... et il raménera les autres.''

alors oui cela existe, y' a des mecs qui peuvent se sortir de toutes les situations !
« Modifié: 02 juin 2013 à 14:45:38 par hrk »

01 juin 2013 à 18:22:35
Réponse #20

Zecrow


....... concrètement, qu'est ce qui va alors faire que Dupont va s'en tirer a bon compte alors que Marc restera dans la mouise ?
J'appellerais ce facteur "le niveau d'intelligence disponible dans un contexte dégradé ou de danger". Lequel va dépendre directement de l'histoire personnelle de chacun, résultant en névroses plus ou moins handicapantes selon les psys, en fragilités acquises.
(l'hypothèse étant bien pour un même niveau physique/matériel/connaissances/expérience/entrainement/préparation, tous ces critères ayant par ailleurs une importance cruciale naturellement)
Par intelligence, j'entends la capacité à analyser les situations et à prendre les meilleures décisions possibles (très variables selon le bagage disponible  ;#, mais voir l'hypothèse de travail). En équipe, l'intelligence relationnelle alliée à un certain altruisme peut s'avérer primordiale pour la survie du groupe.  :)
« Le secret du bonheur ne consiste pas à rechercher toujours plus, mais à développer la capacité d'apprécier avec moins. »
Dan Millman

J'y travaille ! :-)

09 juillet 2013 à 21:05:59
Réponse #21

mag


C'est de la théorie bien sur,Mais il en est de même dans la vie civile si ont regarde autour de soi

09 juillet 2013 à 21:28:36
Réponse #22

Ulf


Est ce que le trait de personnalité qui différencie les survivants des morts peut être rattaché à la résilience ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9silience_%28psychologie%29


09 juillet 2013 à 22:34:57
Réponse #23

DavidManise


La résilience fait pour moi partie d'un groupe de facteurs qui vont permettre l'émergence de personnalités hors du commun comme ça.

Je parle des "5%" dans mon dernier coup de blog.  On les retrouve partout.  Ils ont plein de qualités techniques et humaines différentes selon le secteur où ils sont employés...  mais ils ont tous un truc en commun.  Ce "truc", est complexe à cerner.  Je lis, je me documente, je travaille là-dessus depuis une bonne semaine, en pointillés...  Mais ce qui est sûr c'est qu'ils ne cadrent généralement pas dans les petites boîtes où on voudrait qu'ils soient bien rangés dans la vie de tous les jours ;#

- Ils n'en ont généralement strictement rien à branler des conventions, des lois, des règles, du "ça se fait pas"... 
- Ils cherchent du résultat concret, une solution qui fonctionne...  pas un beau discours pour vendre un truc de m*rde ;
- Ils ont une capacité de concentration et de travail soutenu importante... 
- Ils ont HORREUR de perdre... 
- Ils sont à la fois très sensibles, et capables de ne pas l'être du tout...  autrement dit ils ont une palette d'émotions très vaste et très riche, mais ils sont aussi capables de n'en avoir rien à foutre pour faire le boulot, pour prendre une décision, pour foncer quand c'est le moment... 
- Ils ne perdent pas de temps avec les choses superficielles et futiles, ils ont tendance à aller au fond de choses, et à être exigeants... 
- Ils sont chiants et généreux... 

Bref.  Insupportables en temps normal...  mais plus la m*rde devient dense et puante, plus ils se révèlent, plus ils deviennent efficaces... 

J'ai la chance d'en connaître une tripotée, de ces "5%" là.  Et même de ceux qui vont partie des 5% du 5% :love:

L'autre jour en stage, les moniteurs, comme d'habe, me charriaient et déconnaient...  j'ai dit en faisant semblant d'être à bout mais en rigolant "j'en ai marre de bosser avec des blaireaux".  Et là un des stagiaires, ils se reconnaîtra s'il passe par là, a dit "ouais mais c'est les meilleurs blaireaux du monde"... 

Et là j'ai souri.  Parce que c'est exactement ça :)

Ciao ;)

David
"Ici, on n'est pas (que) sur Internet."

Stages survie CEETS - Page de liens a moi que j'aimeu

10 juillet 2013 à 00:22:39
Réponse #24

Ulf


Une partie de ce que tu décris, une petite partie, c'est la capacité à penser hors de la boite.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Thinking_outside_the_box

Mais ça ne fait pas d'un individu un cheval de labour (justement, d'ailleurs).

 


Keep in mind

Bienveillance, n.f. : disposition affective d'une volonté qui vise le bien et le bonheur d'autrui. (Wikipedia).

« [...] ce qui devrait toujours nous éveiller quant à l'obligation de s'adresser à l'autre comme l'on voudrait que l'on s'adresse à nous :
avec bienveillance, curiosité et un appétit pour le dialogue et la réflexion que l'interlocuteur peut susciter. »


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