Pour les ronces, coupures et travaux rudes des gants de jardinier toile et cuir. Gants à tout faire qu'on ne craint pas d'abîmer
Pour la chaleur et une protection légère des gants Irlande du Nord, plus des sous-gants en soie. De même les gants de combat réglementaires de l'armée française ou de la Bundeswehr sont pratiques et d'un aspect passe partout.
Pour protéger la main en lui gardant sa mobilité et une grande partie du sens tactile, des gants de pilote-navigateur ou de largueur.
Enfin, pour pallier en urgence à des situations fraîches, des gants de laine. Ils craignent l'eau, sont fragiles, ne protègent pas des chocs, mais sont bon marché, relativement chaud, peu volumineux et légers : ils s'oublient facilement au fond d'un sac. À noter qu'ils peuvent être remplacés par des chaussettes pour la chaleur, mais pas pour la dextérité manuelle et digitale.
Voilà. Reste à trouver un compromis acceptable. Le gant comme l'outil universel ou la panacée sont encore à inventer.
Une fois que le choix est fait, il faut faire en sorte de ne pas les perdre, grandes poches à fermeture sécurisée, attaches. Outre les pertes par étourderie, maladresse, aggravées par le manque de visibilité diurne ou nocturne, une bourrasque de vent peut emporter le gant qu'on ôte pour lire l'heure ou saisir son couteau dans une poche étroite.
C'est avec le parapluie, l'accessoire vestimentaire le plus perdu dans la rue ou oublié dans les transports, les salles de spectacle, les restaurants. En ville, on à parfois la chance de les retrouver, dans la nature c'est moins évident.
À…