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Auteur Sujet: STONEY CREEK Sambar Jacket - www.stoneycreek.net.nz [compte rendu de testing]  (Lu 18643 fois)

31 mars 2010 à 11:00:25
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Kilbith


STONEY CREEK SAMBAR JACKET
Realtree Harwoods Green HD






DESCRIPTIF

La veste STONEY CREEK Sambar Jacket est une veste longue en molleton synthétique polyester destinée à l’approche de la faune sauvage (reportage photo, chasse, observation animale...). Le tissu de la veste ressemble à une polaire synthétique mais tissée extrêmement serré dans le but de couper le vent. La veste se présente en une couche de tissu unique avec une légère doublure sur le torse. Le vêtement fait partie de la série « Windproof Silent » de cette marque dont voici la traduction du descriptif :

« Soyez plus proche de la faune sauvage avec cette couche externe silencieuse et solide. Le confort sans le refroidissement occasionné par le vent ; elle bloque jusqu’à 90% du vent tout en étant 4 fois plus respirante que les autres polaires trois couches. »

La veste STONEY CREEK Sambar Jacket est longue (mi-cuisse), possède une capuche détachable et plusieurs poches. Elle dispose de deux poches basses externes, d’une grande poche de poitrine accessible de l’extérieur à gauche et d’une grande poche interne à droite. Derrière les poches basses on trouve des emplacements pour reposer ou réchauffer les mains, ce qui est très bien pour l’hiver. Une toute petite poche se trouve dans la doublure de la poche de poitrine et peut servir à ranger un petit briquet, un petit couteau suisse ou bien une petite boussole tout en permettant un accès aisé.
La veste STONEY CREEK Sambar Jacket s’ouvre sur le devant par un énorme zip de marque YKK n°10. Habituellement ce type de fermeture ne se retrouve que sur les portes de tentes militaires. C’est très bien pour la solidité, moins bien pour le poids.

Le poids du vêtement à sec est de 1415 gr. C’est donc un poids conséquent mais justifié par la grande surface de protection qu’elle procure ainsi que les nombreuses poches présentes. Le modèle testé est réalisé dans le camouflage « Realtree Hardwoods Green HD » de Bill Jordan’s. À mon avis le camouflage ne doit pas être un critère de choix important pour un vêtement destiné à l’approche de la faune. On gagne peut être un peu en discrétion mais c’est au détriment de « l’acceptabilité sociale » dans nos contrés. Mais, je dois dire que j’ai trouvé que le camouflage était plutôt visuellement efficace pour le Piémont Pyrénéen en hiver (autour de 800m d’altitude).

Website Stoney Creek
: http://www.stoneycreek.net.nz
Fiche Fournisseur : http://www.stoneycreekshop.co.nz/stoney-creek-sambar-jacket-realtree-5.html

TESTING

Période de test initiale de Janvier à Février 2010.

Le testeur à 46 ans, mesure 1.82m et pèse 90kg pour un tour de poitrine de 112cm. Il exerce une activité professionnelle sédentaire mais a une pratique régulière de la randonnée et de la chasse en montagne (Pyrénées centrales). Il possède son permis de chasse depuis 30 ans et a exercé cette activité dans de nombreux biotopes.




 



TEST STATIQUE

La veste STONEY CREEK Sambar Jacket devra être utilisée pour la chasse, elle a donc été lavée en machine le jour de sa réception avec une lessive simple (savon en paillette). Ceci dans le but d’éliminer les odeurs et les éventuelles traces d’agents azurants que l’on trouve parfois sur les vêtements neufs synthétiques.
Après un bref essorage à 400tr/mn le poids était de 2380gr. Ce type d’essorage est à peu prés équivalent à ce que l’on pourrait obtenir en essorant le vêtement à la main, normalement une machine essore les tissus synthétiques et la laine à 800 tr/mn et les tissus coton jusqu’à 1400 tr/mn. À la sortie de la machine, le vêtement était légèrement humide à l’intérieur - qui est un peu pelucheux - mais sec au touché à l’extérieur. La veste était portable directement. On trouve ici l’efficacité du polyester qui absorbe moins de 1% de son poids en humidité et reste isolant même si le tissu est humide. Le tissu était toujours déperlant après ce premier lavage. Ce type de veste peut être facilement traité au nikwax pour la garder déperlante au cours du temps.

Le tissu ressemble à une polaire tissée extrêmement serré semblable à du velours ou à ce que les britanniques appellent « moleskin ». Il est peu élastique et très dense - plus encore que les polaires Windpro de chez Malden Mills. Il n’est pas brillant et a un aspect très légèrement pelucheux. J’ai vérifié avec une lampe ultra violet, il ne « brille » pas sous cet éclairage qui correspond à la vision de certains ongulés. Le seul détail clairement visible est le logo de la marque ; il suffit de le découdre.

Le tissu de bonne main est relativement souple. Il est très silencieux, autant que de la laine. C’est très important pour approcher la faune. À mon avis, plus important que le camouflage visuel.

La coupe de la STONEY CREEK Sambar Jacket est semblable à celle des vêtements en laine Swanndri, particulièrement le modèle possédant un zip et une capuche (Mosgiel). Dans l’esprit cette veste est une Mosgiel mais réalisée en tissu synthétique. Le poids est certainement comparable.

La coupe est excellente. Les tests classiques (lever les bras à l’horizontale devant soi, à la verticale au dessus de soi, se pencher pour toucher le sol et faire se toucher les coudes) sont passés avec succès : la veste ne remonte pas, n’engonce pas, et les manches ne remontent pas aux coudes. Sur le plan pratique cela veux dire que lors d’un épaulé, on soulève juste l'arme, pas la veste.

Les poignets sont réglables avec une large patte velcro (la seule partie du vêtement possédant un velcro, ce qui est bien). La coupe des manches est en fait très sophistiquée et ce détail pourrait passer inaperçu. En effet, une découpe de la manche permet d’éviter qu’une couture puisse s’user ou faire du bruit lors de la marche, mais surtout, quand on serre la patte en velcro le tissu se retrouve collé à l’avant bras. C’est un point important pour ceux qui sont amenés à utiliser un arc par exemple : les manches ne « flottent » pas et ne risquent pas d'accrocher la corde par exemple.



La capuche est réglable par un cordon, et possède aussi un réglage en profondeur. Elle n’est pas très profonde tout en assurant une protection suffisante. C’est un avantage pour l’observation animalière : l’angle de vision latéral est préservé. En revanche, ce choix entraine une protection moindre contre la pluie latérale, mais c'est cohérent au regard de l'utilisation de la veste.

Les poches de la STONEY CREEK Sambar Jacket et le rabat de la fermeture centrale se ferment par des pressions de bonne qualité et non bruyantes. La fermeture centrale (énorme zip YKK 10) s’ouvre en bas et en haut, ce qui est indispensable pour une veste longue. Un cordon est présent à l’intérieur du vêtement au niveau de la ceinture et permet de limiter les pertes de chaleur par convection. Il remplit parfaitement son rôle.

Les poches inférieures, bien protégées par un rabat large, sont placées de telle sorte que lorsqu’on porte un sac à dos la ceinture ventrale de celui-ci passe au dessus des poches. Leur contenu reste accessible, c’est un point remarquable. Idéalement la base des poches serait arrondie pour éviter d’accrocher la végétation dense. Mais c’est un détail superflu du fait de la solidité du tissu employé.
Le seul défaut que j’ai pu remarquer est dû au zip central : il est tellement gros que lorsqu’on le remonte complètement, il gène un peu au niveau du cou du fait du volume de la tirette (il y a néanmoins une patte de protection à ce niveau). C’est le prix à payer pour l’utilisation d’un zip aussi solide que l’on peut facilement manipuler avec des gants.

Vous l’aurez compris, la coupe de la veste STONEY CREEK Sambar Jacket est excellente. Quasi parfaite au regard de son emploi projeté. Stoney Creek connait vraiment son métier.  :love:




 



TEST EN ACTIVITÉ

Cette veste a été testée plusieurs jours dans une large gamme d’activités (dynamiques et statiques) et dans des conditions climatiques variées allant de -4°C à 20°C. À chaque fois, l’habillement était adapté aux conditions rencontrées. L’apport thermique de la veste en l'absence de vent parait équivalent à une Bushshirt Swanndri (produit que j'utilise dans des conditions analogues).
La STONEY CREEK Sambar Jacket a été testée sous la neige, sous la pluie persistante en présence d’un vent allant jusqu’à 25 km/h (utilisation d’un anémomètre Skywatch Explorer donnant la température et le refroidissement éolien). Elle a donc été testée dans des conditions sévères pour nos régions. Elle a été utilisée en ballade urbaine, en randonnée et à la chasse.
Globalement elle s’est très bien comportée lors des activités, que ce soit pour la résistance à l’eau, l’évacuation de l’humidité, la solidité... Un peu moins pour la résistance au vent (voir plus bas).

Résistance à l’eau :
On peut rester sous une pluie fine mais constante durant trois heures par 4°C sans être mouillé. On peut rester exposé plusieurs heures sous la neige humide sans que la veste ne soit même imprégnée. La déperlance, même après un lavage, est correcte, mais surtout la matière très dense et par nature hydrophobe s’oppose au passage de l’humidité. Bien sûr, ce n’est pas un vêtement imperméable et il devra être complété par une couche supplémentaire en cas de grosse pluie.

Évacuation de la transpiration :
On peut réaliser 400 m de dénivelé en une heure avec une charge de 10 kilos sans totalement être trempé. Du fait des activités pratiquées, et à la différence de la randonnée, il est impossible d’employer facilement la « méthode de l’oignon », le plus souvent les couches thermiques utilisées au départ de l’activité devront être supportées tout au long de la journée que ce soit lors des déplacements ou des positions statiques. Dans cette situation, la capacité du vêtement à évacuer la transpiration est capitale. Cette veste « évacue l'humidité » très très bien.

Solidité :
Le tissu de la STONEY CREEK Sambar Jacket est extrêmement résistant à la ronce. Le fabricant le garantit 5 ans contre les accidents causés par les barbelés, les défenses de sanglier et les balles... Je dois dire que je n’ai pas testé. En revanche, je suis passé sans problème dans des ronciers épais en trainant une charge de plus de 100 kilos (je n'étais pas seul) et la veste m’a très bien protégé sans aucune égratignure. Elle est au moins aussi résistante qu’une veste de treillis US M65 de chez Alpha Industries pour donner un point de comparaison, tout en étant plus silencieuse et plus confortable.

Résistance au vent :
J’ai utilisé un anémomètre électronique pour tester la veste. Le fabricant annonce qu’elle coupe 90% du vent. Je pense qu’il est honnête. Comme comparaison on peut se souvenir que les polaires softshell à membrane de Polartec bloquent entre 96 et 99% du vent (source : site Polartec).
 
La veste laisse donc passer 10% du vent. C’est encore une grande source de refroidissement et on sent clairement le vent au-delà de 20km/h (quand les branches s’agitent). C’est très correct jusqu’à 10km/h de vent lors d’activités statiques, insuffisant au-delà si l'on ne bouge pas et que la température est basse. Cela permet à l'humidité de s'évacuer lors d'un effort. La veste est plus résistante au vent qu'une veste Swanndri Bushshirt.

Subjectivement on est en-dessous de la protection offerte par un vêtement en tissu polycoton comme le G1000 de Fjallraven ou une softshell à membrane de chez Polartec. Évidemment on est très en-dessous d’un vêtement similaire ayant une membrane (Windstopper ou Windbloc par exemple) qui  bloque 100% du vent. En revanche, c’est beaucoup plus performant que n’importe quel vêtement en polaire sans membrane que j’aie pu tester, y compris les vêtements en Polartec Windpro qui sont réputés 4 fois plus résistants au vent que des polaires standards (source : site Polartec). Compte tenu de ces informations, on peut donc considérer que le tissu employé est très performant et que le fabricant est honnête quand il annonce que 90% du vent est bloqué.
 
Ceci dit, la protection au vent offerte par la veste STONEY CREEK Sambar Jacket est suffisante en terrain boisé, mais insuffisante en haute montagne par grand vent sauf si on pratique une activité dynamique bien sûr. C’est le prix à payer pour un vêtement très résistant, isolant et pouvant évacuer la transpiration lors d’une marche dynamique.

Dernier détail, à la différence de nombreux vêtements en laine, le tissu n’accroche pratiquement pas les chardons ou autres graines. C’est appréciable.





CONCLUSION

J’ai trouvé que la veste STONEY CREEK Sambar Jacket était remarquablement construite et très bien adaptée pour une activité en rapport avec la faune sauvage. Un pantalon réalisé dans cette matière devrait être intéressant pour l’approche hivernale silencieuse.
Par rapport à un vêtement possédant une enduction, la veste est moins résistante aux intempéries. Mais elle est beaucoup plus durable et beaucoup plus silencieuse. Deux défauts éliminant pratiquement pour l’approche de la faune l’utilisation usuelle des vêtements à membrane (ou enduction).
Par rapport aux vêtements en  polaire de type softshell à membrane en Windstopper ou Windbloc, elle est plus silencieuse et plus confortable lors des efforts car elle évacue très bien la transpiration. Mais, elle résiste moins au vent.
Par rapport aux vêtements en laine, elle est plus pratique à laver et s’alourdira moins sous une pluie intense, séchera plus vite tout en restant aussi isolante humide et plus solide à la déchirure et à l'abrasion. Si elle est aussi discrète au niveau du bruit, en revanche elle ne résistera pas au feu. Elle a aussi l'avantage de ne pas craindre les mites. Ceci-dit, sur le long terme les tissus synthétiques peuvent moins bien vieillir que la laine (influence des UV par exemple).

La veste STONEY CREEK Sambar Jacket, complétée par une veste coupe vent légère et résistante aux intempéries que l’on utilise en « sous-couche » en cas de besoin, constitue une combinaison très intéressante pour l’approche de la faune durant la saison froide d’octobre à avril.

Kilbith
« Modifié: 06 mai 2010 à 16:21:27 par Mathieu »
"Vim vi repellere omnia jura legesque permittunt"

31 mars 2010 à 11:10:43
Réponse #1

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31 mars 2010 à 11:19:41
Réponse #2

** Mathieu **


Super CR  :up:

Juste pour signaler que la STONEY CREEK Sambar Jacket est dispo en Realtree Hardwoods Green HD à 319 $ NZ soit 168.56 €

et disponible également en coloris vert - pour une utilisation plus passe-partout - à 300 $ NZ soit 158.52 €



__________________________________________

Sur le camo Realtree Hardwoods Green HD : http://www.realtree.fr/patterns/guide-green.tpl


« Modifié: 31 mars 2010 à 15:29:10 par Mathieu »

31 mars 2010 à 13:40:47
Réponse #3

French Kiss


Ya pas autre chose dans le meme genre sans avoir a se fournir en Nouvelle-Zelande?
« Modifié: 31 mars 2010 à 15:30:42 par Mathieu »
"En cas de morsure de vipère, sucez-vous le genou, ça fait marrer les écureuils." extrait de l'Almanach de Desproges

31 mars 2010 à 15:23:15
Réponse #4

** Mathieu **


Ya pas autre chose dans le même genre sans avoir a se fournir en Nouvelle-Zélande?

Bah c'est toujours la même histoire : on sait bien pourtant que la qualité néo-zélandaise est au top.

C'est comme la Bushshirt Swanndri : évidemment que tu pourras trouver des équivalents ici, mais ce ne sera pas la même qualité...

Y'a bien des équivalents US, et en Europe tu as Deerhunter ou Camosport en France ; mais de ce que j'en ai vu, la STONEY CREEK Sambar Jacket est mieux coupée, le tissu a l'air plus costaud et je n'ai jamais vu une fermeture YKK 10 ailleurs  ;#

Après, en s'écartant des sentiers en forêt, rien de tel que des vêtements de chasse qui affrontent sans problème les branches, ronces, etc. et sont souvent plus confortables que le matos mili.

@+ :)

31 mars 2010 à 18:59:50
Réponse #5

Kilbith


Ya pas autre chose dans le meme genre sans avoir a se fournir en Nouvelle-Zelande?

A ma connaissance il n'y a pas d'équivalent en France et en Europe. Et j'ajouterai que je n'ai pas vu de produit équivalent chez Cabela's ou Bas Pro Shop que je connais assez bien.

C'est vraiment spécifique, il n'y a pas de membrane où bien alors elle est très "perforée" et hyper souple (inaudible). Rien de comparable avec les vêtements imper/respi à membrane ayant un aspect extérieur semblable à de la polaire. C'est aussi plus dense que la polaire à mocrofibre de type "coupe vent" sans membrane (Windpro). Plus proche des "soft  shell" de chez Polartec mais respirant mieux.

Donc sur ce coup, sous réserve de me tromper, les neo-zélandais sont incontournables. Au delà du tissu la coupe est vraiment adaptée à l'approche photographique, à la chasse ou au tir à l'arc.

Le rapport qualité prix est excellent.

"Vim vi repellere omnia jura legesque permittunt"

31 mars 2010 à 19:19:59
Réponse #6

Hatari


Sujet intéressant kilbith  ;)
J'aime beaucoup la Blaser :up:, à quand la version camo ? ;D ;)
La vraie trahison est de suivre le monde tel qu'il est et d'employer l'esprit à le justifier.

02 novembre 2012 à 16:13:48
Réponse #7

Kilbith


Salut,  :)

Un petit "up" sur ce sujet car il me semble intéressant d’évaluer les vêtements dans la durée (ici bientôt deux ans, même si je ne la porte pas quotidiennement). En ce qui concerne la Sambar Jacket je dois dire que je l'apprécie toujours. C'est vraiment une alternative à la Mosgiel de chez Swanndri en terme de fonctionnalité si la "résistance au feu" n'est pas prioritaire. On peut facilement entretenir la veste avec les produits nikwax et la veste déperle toujours très bien sous plusieurs heures de pluie.

Comme les produits de chez Swanndri, la Sambar jacket de chez Stoney Creek n'est pas un vêtement imperméable. Il faut donc être habillé chaudement dessous et prévoir une couche supplémentaire étanche si la pluie est forte (une raincut fait l'affaire). Les qualités sont toujours les mêmes : bonne coupe, silence, solidité, poches pratiques, bonne capuche, apport thermique intelligent.

J'ai récemment passé deux heures, en statique, sous la pluie continue et par une température proche de zéro. J'avais dessous un woolpower 200 et une polaire, un pantalon Fjall Raven à membrane hydratic (le même que celui qui est présenté par Mrod) pour le bas avec des guêtres. J'étais dans les bois à l'ombre plein nord, ce qui offre évidemment une certaine protection contre la pluie, mais comme il pleuvait depuis le matin cela n'empêchait pas la pluie et la neige fondue d'arriver jusqu'à moi. Je n'ai pas eu froid et la veste n'a pas été traversée par l'humidité

Photo en pj. prise à la fin de cet épisode :
Excusez moi pour la qualité médiocre mais il pleuvait toujours, il ne faisait pas chaud et ce n'était pas la grande lumière (Iph*ne). C'est le prix à payer pour les photos prises "dans l'instant" par les copains qui ont les mains tremblantes.
« Modifié: 02 novembre 2012 à 17:18:58 par Kilbith »
"Vim vi repellere omnia jura legesque permittunt"

 


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