La souffrance...
C'est difficile, parce que ça "oblitère" l'esprit. Quand on souffre trop, on peut même en "vouloir" à la terre entière, parce que y'en a marre de s'en prendre plein la gueule. Alors on devient méfiant, mauvais, pour n'importe quoi : une place de parking n'importe quelle connerie. Tout ça parce qu'on est en détresse véritable... Pour se sauver, on ne sait pas trop quoi faire, on a trop peur de se faire enc**er encore une fois. C'est un véritable combat contre soi-même qu'il faut livrer. S'ouvrir aux autres c'est difficile, il faut prendre des risques. alors peut-être que la combine( c'est pas un conseil, ni même une recette hein) c'est de se dire : " que peut-il arriver de pire, je suis déjà au taquet !". Je crois que "ça", ça renforce. Quand j'ai "divorcé" un compagon d'arme m'a dit : " t'as le nez dans la gamelle, tu ne peux que remonter !"
On fait toujours la bonne rencontre qui va bien pour retrouver des forces, se relever. La confiance en soi, c'est dur à retrouver quand on est anéanti, je te dis pas la confiance en l'autre comment c'est dur !
Mais en commençant par se dire : " je ne suis pas une sous-m*rde, oui, je peux rendre quelqu'un heureux, oui le bonheur, finalement je n'ai que ça à conquérir, il n'y a que ça qui importe..."
Personne, je dis bien personne n'est condamné à vie. Je crois que c'est Diderot qui disait :" On a qu'un seul devoir, c'est celui d'être heureux !"
Faut juste trouver le levier, on s'en fout duquel...
Chui pas trop "hs" ?