J'te connais pas et j'ai peut-être rien compris, mais j'ai l'impression que passer autant d'énergie à vouloir examiner de près les applications qu'on garde dans son téléphone, c'est déjà donner de l'énergie à ce qui t'emmerde, en fait. Et donc ça va rien aider à résoudre.
Salut,
D’accord avec toi Karto la question de la vision (nécessaire, et qui met parfois du temps à se dessiner) mais pas pour ce qui est des applis du téléphone (je comprends ton point, ceci dit).
Faire le tri des apps revient à faire le tri d’un placard virtuel. Et ça a probablement plus de retombées positives que le placard sous l’escalier où on va une fois par mois : le téléphone est un objet du quotidien, qui nous bouffe beaucoup d’énergie. Bref, je trouve que c’est un très bon endroit où commencer la démarche, et ça libère de l’énergie pour la suite.
La seule raison qui me ferait retourner à un vieux Nokia c’est la question de la vie privée. Après longue réflexion, pour mon usage, le smartphone est un outil fabuleux ... MAIS il faut que ça reste un outil et le considerer / gérer comme ça. J’ai une politique stricte pour les notifications (pas grand chose qui sonne, filtre des emails de travail en dehors des heures ...)
Globalement, dans mon monde, il fait office de téléphone, appareil photo, lecteur de musique, bloc note, calculatrice, webcam, journal et presse, outil de suivi sport et santé, stock de carte ... et j’en passe. Ça remplace plusieurs outils électroniques et des tonnes de carnets papier, que je n’aurais jamais avec moi sinon.
Bref, le problème du smartphone, en mon sens, c’est que c’est potentiellement un outil fabuleux mais avec lequel le glissement est facile (en devenir esclave) ... ça demande un effort conscient et d’organisation pour le garder dans sa fonction positive éviter le côté “poison”.
Pour le reste des efforts “en ville”, à défaut d’un jardin il y a les graines germées et microgreens qui se font facilement dedans. Et épurer, progressivement et un peu partout. On dirait que c’est le début, et qu’ensuite les idées et changements (petits ou gros) s’enchaînent plus facilement