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Auteur Sujet: Aciers carbones et entretien dans la verte  (Lu 8662 fois)

11 juin 2017 à 09:54:17
Lu 8662 fois

Gulo


Bonjour à tous

Je ne vais pas détailler ce qui nous fait tant aimer les aciers riches en carbone pour nombre d'entre nous mais nous savons que ces aciers présentent l'inconvénient de s'oxyder facilement. En outre le fait qu'un couteau qui sert ne rouille pas, connaissez-vous un moyen naturel de protéger nos lames lors d'un séjour prolongé dans la verte ?
“Une mauvaise herbe est une plante dont on n'a pas encore trouvé les vertus.” (Ralph Waldo Emerson)

11 juin 2017 à 10:05:23
Réponse #1

Ghjallone


Oui, de l'huile. Ou du gras, de la cire... Pour les parties visibles en tout cas.
Sinon il y a ca:

C'est pas naturel, ca pue la vieille caisse à outil tant que ca n'est pas sec mais ca marche bien. C'est sensé laisser un film non toxique sur l'acier, mais le fabriquant ne promet rien, et précise qu'il vaut mieux nettoyer la lame avant de couper de la nourriture.
Je l'utilise sur les poignées des couteaux (ca rentre par capillarité) et les outils, ca marche bien.
j'ai toujours pardonné a ceux qui m'ont offensé.
mais j'ai la liste.

11 juin 2017 à 10:11:04
Réponse #2

bloodyfrog


En binôme avec toute lame carbone!



J'en connais même qui se sont fait des étuis kydex pour leur saucisse préférée...

Manu. :closedeyes:

Note: testé et utilisé par le Commando Hubert

11 juin 2017 à 11:13:33
Réponse #3

Gulo


Sinon il y a ca:

Pour mes outils ça peut être intéressant. Ca se trouve où ?

Je précise que je n'utilise l'acier au carbone que pour mes outils, mon couteau destiné à manger étant en acier inox, donc je recherche une protection efficace mais on oublie le contact avec la nourriture  ;)
“Une mauvaise herbe est une plante dont on n'a pas encore trouvé les vertus.” (Ralph Waldo Emerson)

11 juin 2017 à 14:52:16
Réponse #4

Ghjallone


Pour mes outils ça peut être intéressant. Ca se trouve où ?

Je précise que je n'utilise l'acier au carbone que pour mes outils, mon couteau destiné à manger étant en acier inox, donc je recherche une protection efficace mais on oublie le contact avec la nourriture  ;)
Alors ca devrait le faire, il faut juste penser à traiter l'outil avant de partir pour éviter l'odeur.
ca se trouve ici:
https://www.knivesandtools.fr/fr/pt/-sentry-solutions-marine-tuf-cloth.htm

En revanche ils n'ont pas le spray (Marine Tuf Glide), mais ca se trouve sur Ebay.
Le spray sert à recharger le chiffon, et surtout à noyer les pièces pour que le produit rentre par capillarité. Genre entre un manche et un fer.
Le chiffon a une bonne durée de vie, en général quand il est sec c'est le solvant qui s'est évaporé, un peu de white spirit et ca repart.
j'ai toujours pardonné a ceux qui m'ont offensé.
mais j'ai la liste.

12 juin 2017 à 06:18:27
Réponse #5

Gulo


“Une mauvaise herbe est une plante dont on n'a pas encore trouvé les vertus.” (Ralph Waldo Emerson)

12 juin 2017 à 08:13:57
Réponse #6

Claude Ponthieu


Contre la rouille, enduire les outils avec du suif — à faire soi-même.  ;)
Nous avons eu une culture riche en expérience et pauvre en information.
Aujourd’hui, nous sommes riches en information, mais au seuil de pauvreté de l’expérience réelle.

12 juin 2017 à 18:30:12
Réponse #7

Gulo


Ce n'est pas ce qui se fait de plus pratique car encombrant par rapport au système de lingette je pense. L'idéal étant de pouvoir trouver une protection naturelle dans la verte. J'aime bien l'idée du chiffon imprégné car ça reste léger et peu encombrant tout en ayant apparemment l'air efficace.
“Une mauvaise herbe est une plante dont on n'a pas encore trouvé les vertus.” (Ralph Waldo Emerson)

13 juin 2017 à 09:31:59
Réponse #8

Arnaud


Le suif c'est le nom qu'on donne au gras de certains grand animaux qu'on a fait fondre et débarrassé de ces "impuretés", ça peut se préparer sur un feu de camp et se trimballer dans un petit contenant.

Sinon comme il a été dit, un peu d'huile ou de saindoux si tu en utilises pour la cuisine ou plus simplement le gras des aliments fait généralement très bien l'affaire.
« When the last tree is cut, the last fish is caught, and the last river is polluted; when to breathe the air is sickening, you will realize, too late, that wealth is not in bank accounts and that you can’t eat money. »

13 juin 2017 à 09:46:25
Réponse #9

Kilbith


connaissez-vous un moyen naturel de protéger nos lames lors d'un séjour prolongé dans la verte ?

Au plus simple, on peut penser d'abord aux bonnes pratiques :

- Avoir une lame parfaitement polie (on diminue la surface d'échange acier/oxygène)
- Lui laisser prendre une légère patine (qui est une oxydation de surface homogène offrant une légère protection). Cela se fait naturellement quand on prépare la cuisine chez soi.
- Essuyer sa lame après chaque utilisation.
- Avoir un étui en cuir tanné végétal (et non au chrome) ou mieux en bois.
- Avoir à se servir souvent de son couteau.

Pour le reste : en coupant dans un aliment gras, on apporte une relative protection. A défaut on peut emmener un bout de lard vieux. Dans la verte, si on chasse, pas trop compliqué de trouver du gras.

Personnellement je préfère pour un usage en zone pluvieuse (ou marais) un couteau avec une lame un peu résistante à l'oxydation (D2, CPM3V...) ou même "inox" si vraiment c'est nécessaire.

Un peu pour l'entretien et surtout parce que le fil rasoir d'une lame est souvent rapidement ruiné par l'oxydation. Or, j'aime avoir des couteaux qui coupent rasoir (je peux me permettre ce luxe qui implique une certaine perte de temps ou des sorties courtes, je ne suis pas un pro).

Mais je comprend tout a fait que l'on puisse préférer une lame "carbone" pour le fun. Sachant que le choix d'un couteau dans la verte (ou la chasse) c'est tout de même 90% de fun si on évite les bouses.

Dans ce cas le ballistol ou le marine tuf cloth on fait leur preuve (au niveau alimentaire). On peut toujours emporter un morceau de tissu pour lunette imprégné de ces produits dans un ziploc. En revanche les huiles végétales peuvent parfois piquer le métal (elles sont acides). Je pense qu'un simple lubrifiant "silicone" c'est aussi OK, mais il peut y avoir des additifs  :down:.

Le gras c'est pas bon pour la santé, mais au moins on le sait.  :lol:
« Modifié: 13 juin 2017 à 10:38:16 par Kilbith »
"Vim vi repellere omnia jura legesque permittunt"

13 juin 2017 à 12:10:50
Réponse #10

Patoruzu


Pour le reste : en coupant dans un aliment gras, on apporte une relative protection. A défaut on peut emmener un bout de lard vieux. Dans la verte, si on chasse, pas trop compliqué de trouver du gras.
Est-ce que récupérer un peu de graisse de canard dans un petit ustensile (style boîte à cachou), qui pourra servir à graisser la lame (et éventuellement d'accélérant pour le feu) ne ferait pas sens?

Aussi, avoir un "coating" (comme pour les ESEE) sur la lame est un plus j'imagine...
There's a whisper on the night-wind,
there's a star agleam to guide us,
And the Wild is calling, calling. . .
let us go.

13 juin 2017 à 12:31:01
Réponse #11

Ghjallone


Quitte à emporter un produit compatible avec un usage alimentaire, une boite étanche avec un coton bien tassé imbibé d'huile de vaseline, ca fonctionne pas mal. Et ca fait un allume feu d'urgence.
En revanche niveau protection contre la corrosion... Il faut en remettre souvent, et ca part de suite quand on utilise l'outil.

Les graisses animales rancissent, et l'odeur est bien pire que celle du Tuf Cloth.
j'ai toujours pardonné a ceux qui m'ont offensé.
mais j'ai la liste.

13 juin 2017 à 13:33:05
Réponse #12

Kilbith


Est-ce que récupérer un peu de graisse de canard dans un petit ustensile (style boîte à cachou), qui pourra servir à graisser la lame (et éventuellement d'accélérant pour le feu) ne ferait pas sens?

Aussi, avoir un "coating" (comme pour les ESEE) sur la lame est un plus j'imagine...

Ghjallone a répondu pour le gras et les inconvénients. A cela s'ajoute le fait que la vaseline peut servir (à minima) d'allume feu, même si ce n'est pas naturel.

Pour le coating : Il y a pas mal d'inconvénients aux "coatings" certains évidents, d'autres subtils. Et puis il me semble que si on aime les "aciers carbones" c'est souvent pour le coté rustique.

A cela s'ajoute que le coating ne protège pas le fil de la lame, or c'est ce qui rouille en premier et pose un problème fonctionnel.
« Modifié: 13 juin 2017 à 16:57:07 par Kilbith »
"Vim vi repellere omnia jura legesque permittunt"

13 juin 2017 à 16:04:12
Réponse #13

lambda


Petit coucou en passant! :)

Plein de bonnes choses dites là dessus...

Dans un contexte de ballade à la journée ou sur 2/3 jours, meme bien humide, niveau entretien couteau,
le fait de l'utiliser fréquemment dans la journée et de l'essuyer soigneusement avant de le remettre à l'étui, surtout à la jonction lame/manche, suffira à le maintenir fonctionnel et relativement exempt d'oxydation.

Pour de plus longs séjours dans la verte, un petit truc qui va vite et bien et qui ne necessite aucun emport particulier:

* l'utilisation de ses huiles corporelles... *

Je precise:

- le "gras de nez", ou encore le "gras de cheveux"... en gigotant dehors, au fil de la journées, et des jours suivants, modulo une hygiene de camp normale matin et/ou soir, notre peau produit des huiles corporelles tout au long de la journée (effet protecteur de la peau contre le froid, l'assêchement... c'est bien foutu, le corps humain...).

Bref:

Après avoir essuyé votre lame, simplement frotter votre index sur les côtés de votre nez, et gentiment frotter votre doigt graissé sur votre lame (attention au tranchant évidemment).... ca marche pour le bois des manches aussi.

Perso, je fais carrément ça en faisant glisser le dos de ma lame directo sur les ailes de mon pif, pour récolter le "gras"...

Ou alors:

En passant le dos de votre lame le long du cuir chevelu, 2 ou 3 fois (attention au tranchant, évidemment), et après en répartissant avec votre doigt le "gras" récolté, ca le fait aussi.

Bref, Cela fait après un essuyage standard régulier avec un bout de chiffon quelconque, avant rangement à l'étui, ca va très bien.
La lame se patine légèrement sur plusieurs jours, de temps en temps un affutage sur votre pierre préférée ou une bien plate rencontée sur votre chemin, avec un coup de flotte/salive dessus, pour raffraichir le fil, et roulez jeunesse.

Méthode minimalistique suffisante (AMHA) en elle même, mais parfaitement combinable à toute autre façon de faire de votre choix (cf les posts ci-dessus...).

Lors du retour à la maison, entretien plus soigné habituel...

à+,
Lambda



"I want to live in a society where people are intoxicated with the joy of making things." William S. Coperthwaite

13 juin 2017 à 16:50:18
Réponse #14

Kilbith


 :up:

On est en plein bushcraft :

Paul Provencher, dans un ouvrage sur la trappe que j'ai parcouru il y a plus de 40 ans, signalait que l'on pouvait utiliser ces "réserves de gras" pour lubrifier la drille pour faire un feu.

 ;)

J'en profite pour ajouter une couche au niveau entretien roots :
- On peut fabriquer une pâte à polir assez efficace pour les aciers standards en mélangeant de la cendre avec de l'eau et en frottant. La cendre peut venir du feu (il faut tamiser...etc) ou bien encore de la cendre de cigarette. C'est ce que l'on employait pour briquer les boutons des uniformes par le passé. La cendre c'est basique au niveau du pH.

- Un abrasif doux qui peut aussi être utile de connaitre et qui marche bien sur les métaux non ferreux ou le fer doux : la poudre constituée par les coquilles écrasées des escargots. Procédé utilisé (entre autre) par nos ancêtres les gaulois.
« Modifié: 13 juin 2017 à 16:56:43 par Kilbith »
"Vim vi repellere omnia jura legesque permittunt"

13 juin 2017 à 16:59:13
Réponse #15

Ghjallone


Oui, c'est une technique très utilisée par les fumeurs de pipe, pour faire briller le bois.
Ca fonctionne, dans une certaine mesure mais pour l'acier, sur le court terme uniquement: j'ai essayé, et les lames virent au gris... Il faut nettoyer par la suite quoi.

Ca fonctionne aussi pour aider à planter un clou dans du bois dur, c'est mon grand père qui m'a montré la combine. Il suffit de frotter le clou dans les cheveux, le clou rentre plus facilement et il y a moins de chances de le tordre.
j'ai toujours pardonné a ceux qui m'ont offensé.
mais j'ai la liste.

13 juin 2017 à 17:02:04
Réponse #16

Kilbith


Ca fonctionne aussi pour aider à planter un clou dans du bois dur, c'est mon grand père qui m'a montré la combine. Il suffit de frotter le clou dans les cheveux, le clou rentre plus facilement et il y a moins de chances de le tordre.

On peut peut être rappeler que certains lubrifient leurs lames pour faciliter le "bâtonnage" dans le bois dur.

De même, une lame "polie miroir" en plus d'être plus résistante à l'oxydation offre moins de résistance par frottement. C'est utile dans certaines tâches.
"Vim vi repellere omnia jura legesque permittunt"

13 juin 2017 à 18:06:39
Réponse #17

lambda


D'accord avec toi, Ghjallone, sur le principe de ta remarque.

Après, le coup du gras de corps, ca reste une methode minimalistique, un pis aller, mais qui va bien, même sur du long terme en fait: le gris de lame, pour moi, équivaut à une forme de patine qui ne nuit pas vraiment à la fonctionalité du couteau qui est de toute façon utilisé dans ce contexte plusieurs fois par jour...

Il est vrai qu'à la longue en effet, sans nettoyage plus prononcé, le goût des aliments peut être altéré  (sans toxicité particulière me semble t'il) mais en combinaison avec l'astuce de polissage à base de cendre indiquée par Kilbith, on se retrouve au final avec une methode globale applicable au long terme, plusieurs jours/semaines d'affilé, ne nécessitant aucun artifice extérieur additionnel.

On a aussi la plupart d'entre nous l'image d'un ancien coupant sa pomme à l'opinel au bord d'un champ, suivi d'un va et vient rapide d'essuyage sur le fut avant de le replier au fond d'une poche...prêt pour le prochain casse dale... :)


En addition, pour peu qu'on ait un bout de savon au fond du sac, rien n'empêche de faire une "vaisselle" au bord d'un ruisseau de temps à autre... Le savon servant entre autre à d'autres choses bien utiles au camp ;) .... perso, le must étant d'utiliser une paire de chaussettes sales de la veille (par ex...) comme loque/éponge à vaisselle improvisée, et ensuite de transformer ma "vaisselle" une fois finie en session finale de "lessive" pour ladite paire de chaussettes...

A+,
Lambda

Faire plus avec moins...
« Modifié: 13 juin 2017 à 18:23:45 par lambda »
"I want to live in a society where people are intoxicated with the joy of making things." William S. Coperthwaite

13 juin 2017 à 19:21:57
Réponse #18

Ghjallone


D'accord avec toi, Ghjallone, sur le principe de ta remarque.

Après, le coup du gras de corps, ca reste une methode minimalistique, un pis aller, mais qui va bien, même sur du long terme en fait: le gris de lame, pour moi, équivaut à une forme de patine qui ne nuit pas vraiment à la fonctionalité du couteau qui est de toute façon utilisé dans ce contexte plusieurs fois par jour...

Il est vrai qu'à la longue en effet, sans nettoyage plus prononcé, le goût des aliments peut être altéré  (sans toxicité particulière me semble t'il) mais en combinaison avec l'astuce de polissage à base de cendre indiquée par Kilbith, on se retrouve au final avec une methode globale applicable au long terme, plusieurs jours/semaines d'affilé, ne nécessitant aucun artifice extérieur additionnel.

On a aussi la plupart d'entre nous l'image d'un ancien coupant sa pomme à l'opinel au bord d'un champ, suivi d'un va et vient rapide d'essuyage sur le fut avant de le replier au fond d'une poche...prêt pour le prochain casse dale... :)

Oui bien sûr, ca ne gène pas l'utilisation. :)
Je pensais plus au stockage, une fois revenu à la maison. Je pense que la présence d'un corps gras acide risque de faire rouiller la lame, plus sérieusement.
Sinon, le gout de métal et les taches noires ne me dérange pas plus que ca... Je ne pense pas non pls que ce soit toxique, c'est juste de la rouille...
j'ai toujours pardonné a ceux qui m'ont offensé.
mais j'ai la liste.

13 juin 2017 à 20:38:10
Réponse #19

Arnaud


Justement, la rouille est toxique.
« When the last tree is cut, the last fish is caught, and the last river is polluted; when to breathe the air is sickening, you will realize, too late, that wealth is not in bank accounts and that you can’t eat money. »

13 juin 2017 à 21:10:47
Réponse #20

piero


Justement, la rouille est toxique.

Je ne crois pas non  ;) et toujours moins que n'importe quel traitement de surface ou autre huile qui pue  ;D

13 juin 2017 à 21:31:05
Réponse #21

François


Oui, toutes les études que j'ai lues concluent à l’innocuité du fer. Il n'y pas très longtemps l'une d'entre elles citait même les récipients en fer et en fonte comme étant les seuls récipients polyvalents sans aucun risque pour la santé, même si cela donne un drôle de gout à la nourriture quand il y a des traces de rouille ou qu'on cuisine des ingrédients un peu acides.
Espérer le meilleur, prévoir le pire.

13 juin 2017 à 22:13:41
Réponse #22

Chill


Justement, la rouille est toxique.

"Rien est poison, tout est poison : seule la dose fait le poison."  (c)
E172 est un oxyde de fer ... alimentaire.   ;)
Consulter cette documentation.

    Chill.
« Modifié: 13 juin 2017 à 22:34:17 par Chill »
"Un sauveteur isolé est en mauvaise compagnie."

13 juin 2017 à 22:47:44
Réponse #23

Loriot


L'oxyde de cuivre est toxique pas l'oxyde de fer
Quand Pourine veut la lune tu lui baises les pieds

13 juin 2017 à 23:12:34
Réponse #24

Arnaud


Trouvez moi une étude sérieuse qui dit que la rouille n'est pas toxique pendant que je vous cherche un étude sérieuse qui dit le contraire ;)

Le fait que l'oxyde de fer soit utilisé en additif alimentaire ne veut pas dire qu'il est inoffensif, ça serait pas la première fois qu'on nous ferais bouffer de la m*rde ;#
« When the last tree is cut, the last fish is caught, and the last river is polluted; when to breathe the air is sickening, you will realize, too late, that wealth is not in bank accounts and that you can’t eat money. »

 


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