Bonjour, je découvre le sujet et le déterre peu par la même occasion ;
Après le visionnage de cette vidéo on peut s’apercevoir d’une desinhibition vis-à-vis de l’arme à feu, dans cette situation c’est non seulement la désinhibition de l’arme à feux volée à laquelle viens s’ajouter la volonté de tuer. Détails importants ont apprends dans l’article du Parisien que le BG possédait un couteau et que le policier n’à pas fait état de sa qualification.
Sur ce dernier point on peut penser que les BG se doutait certainement qu’il s’agissait d’un membre des forces de l’ordre eu égard à sa façon d’intervenir et qu’ils sont habitués à côtoyer souvent les forces de l’ordre en civil dans ce milieu.
Concernant la LD il est toujours intéressant de visionner la vidéo de Me Thibault de Montbrial un des spécialiste de se sujet en France :
https://www.youtube.com/watch?v=h0l1EYgeH8MCette vidéo illustre certain disfonctionnements du droit qui aboutissent, il faut bien l’avouer, à certaines jurisprudences qui laissent parfois à désirer.
Les forces de l’ordre en ont consciences et cela influe directement sur leurs comportement et décisions (et par extension à leurs vies) à ne sortir qu’en cas d’extrême nécessité (je cite) leurs armes à feu.
Ajouté un manque d’entrainement et de manipulation de l’arme (je rejoins à 100% le post d’Hurricane en page 2)
Il faut savoir que certains policiers sont autorisés à rentrer cher eux avec leur arme. Il s’agit d’une mesure d’autoprotection visant à éviter une agression violente de la part de BG qui l’aurait reconnu un FO (polémique des policiers qui était obligé de raccompagné leurs collègues à leurs domicile de banlieue il y à quelques années après l’agression de l’une des leurs).
A noter que dans ce cas la ils ne sont équipés le plus souvent que de leurs PA et non des équipements intermédiaires (matraque, gaz, Taser…) Certainement par souci de discrétion ou de confort.
Dans sa situation nous sommes d’accords pour dire que personne n’a la solution idéale et ce n’est pas l’objectif du fil.
On peut se rejoindre sur le fait qu’il est évident de donner l’alerte par tph avant d’éventuellement intervenir ensuite :
-Tirer l’alarme déclenche une sonnerie et l’arrêt du train, pas certain que cela apaise la situation.
-Une intervention à main nue ou avec impact tool improvisé, avec 3 BG dont un armé d’un couteau n’est définitivement pas la bonne option à choisir pour préserver sa vie.
-Arme au poing, pour répondre au titre du post non, l’arme à feu n’intimide plus (du moins dans le cas présent)
-Solliciter l’aide des autres voyageur, à moins de tomber sur de bon samaritain (ça arrive des fois
) mais ici la victime elle-même n’à pas aider son sauveur.(Plus aberrant encore elle ne témoigne même pas au procès.)
-Ne pas intervenir, et éventuellement prendre des photos/vidéo de la scène est une autre solution.
Dans le cas d’un membre des FO il doit être particulièrement difficile de ne pas intervenir sachant que c’est son job le reste du temps (parfois sa vocation) et qu’il à été formé pour ça.
Un peu comme un pompier qui assisterait à un départ de feu…
Enfin comme cité plus haut le comportement de la police US est incomparable face à la police française le droit, la mentalité, le rapport vis-à-vis des armes et les méthodes d’interventions changent.
La pyramide de l’usage des armes est inversée outre atlantique :
M4-PA- Taser- gaz- bâton-dialogue
On sort ce qu’on à de plus offensif et si la situation est « safe » on range, la doctrine française c’est l’inverse
J’agirais certainement avec les mémés précautions à leurs places, quand dans certains états la population se promène revolver à la ceinture et que certaines substances sont autorisées…
On peut aussi citer les chiffres : 300 millions d’armes à feu en circulation et un policier abattu par semaine en moyenne.
En espérant avoir contribué de manière utile.
Merci de m’avoir lu.