Bon... faut que je me bouge là, et prioritairement sur le Carcajou.
Le carcajou No. 4 va être un numéro d'automne/hiver, mais bon avec le dossier froid de Guillaume en gros article, ça fera pas si tache que ça au final. Il y a assez peu de contenus spécifiques "été" dans ce numéro. Donc ça restera cohérent (en tout cas pas plus incohérent qu'un dossier froid en juillet
).
Tout ça a été ralenti uniquement à cause de moi, et j'en suis vraiment désolé. Je pourrais invoquer les 90 heures de taf par semaine, je pourrais invoquer plein de trucs mais les excuses c'est comme les trous du cul, tout le monde en a.
Je rends mes articles pour la fin de la semaine.
Après ce numéro là, on va être un moment sans Carcajou parce que concrètement je suis enterré vivant dans la paperasse et les stages... je n'aurai pas le temps ni l'énergie de chapeauter un autre numéro
correctement d'ici quelques mois au moins (faire de la m*rde comme j'ai fait là on a toujours le temps mais bon... je trouve ça moyen au vu des super articles qui ont été pondus et du travail admirable de relecture/correction qui a été fait).
Après, si quelqu'un genre un Karto on un CK a envie de faire mieux que moi, ce qui ne serait pas difficile pour le coup, c'est bien volonté que je passe le chapeau de directeur de publication. Je pourrai même pondre un ou deux articles, avec plaisir. Mais il ne faut clairement pas que la sortie du magazine soit autant dépendante de moi pour le moment.
Le Carcajou, il a pour but de diffuser des infos avant tout. Plein de gens ici ont de bonnes infos utiles à diffuser, y'a pas forcément d'utilité à ce que ça soit moi le chef de ce truc... même si au final ça sera une publication du CEETS, qu'on l'hébergera et que c'est le CEETS qui en portera la responsabilité, ça reste un ouvrage collectif en mode open source qui ne doit pas, à mon sens, dépendre d'un seul gars pour sortir dans les temps (la preuve, je suis overbooké et ça bloque tout).
Voili.
Bon bref...
Je torture un comptable, je noircis trois papiers, je signe trois chèques et je me remets à écrire.
Allez ciao !
David