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Auteur Sujet: sujet unique : les ours  (Lu 91916 fois)

10 octobre 2008 à 10:01:39
Réponse #75

Kilbith


Dans tous les cas, rien de fiable à 100%.  Au pays des ours, nous ne sommes PAS au sommet de la chaîne alimentaire.  Point barre.  Ceux qui ne sont pas prêts à accepter ça n'ont qu'à rester chez eux le cul devant leur ordi !

100% Tafdak avec ton message concernant la prévention. Un petit bémol sur le dernier point. Si on n'est pas au sommet de la chaîne alimentaire dans le pays de Martin, c'est du fait de notre volonté. L'ours ça se chassait et ça se mangeait du moins l'espèce pyrénéenne, c'est certain.


Pierrauspitz :

Je relevais juste ce que l'on peut lire dans les forums US. Il est possible que le biotope arctique et l'ours blanc impliquent des méthodes différentes.
Je confirme et tout ceux qui ont un minimum d'expérience vous le diront, arrêter une masse de plus de 50kg lancé à 40km/h avec une vision de moins de 30m et déboulant s'en prévenir....n'est pas un truc facile, même avec un super entraînement, même quand vous êtes sur vos gardes, même quand vous êtes équipés en prévision de cela, même quand vous êtes plusieurs...... SI le "projectile" fait 150kg, que vous avez une vision de 10 m, que les branchages empêchent les mouvements amples, que votre arme a une bretelle et que le projectile veux vous envoyer ad patres.... :o

FAIRE REPOSER SA PROTECTION SUR UNE ARME DE CIRCONSTANCE AISEMENT TRANSPORTABLE QUE L'ON CONNAIT MAL : C'EST UNE METHODE A TOTALEMENT OUBLIER POUR CEUX QUI NE SONT LA QUE POUR SE BALLADER OU POUR BOSSER. PORTEZ UN GRELOT A LA JAMBE.
« Modifié: 13 octobre 2008 à 22:55:29 par Did »
"Vim vi repellere omnia jura legesque permittunt"

10 octobre 2008 à 10:04:57
Réponse #76

DavidManise


100% Tafdak avec ton message concernant la prévention. Un petit bémol sur le dernier point. Si on n'est pas au sommet de la chaîne alimentaire dans le pays de Martin, c'est du fait de notre volonté. L'ours ça se chassait et ça se mangeait du moins l'espèce pyrénéenne, c'est certain.

C'est vrai.

On est au sommet de la chaîne alimentaire si on a l'avantage de la surprise et qu'on a le temps de viser et de tirer.

Pour le reste, tu as parfaitement bien épinglé et disséqué le problème : pas facile de tirer vite et bien sous stress.  Ca s'apprend, ça s'entraîne.

Ciao ;)

David
"Ici, on n'est pas (que) sur Internet."

Stages survie CEETS - Page de liens a moi que j'aimeu

10 octobre 2008 à 10:16:44
Réponse #77

Pierr


Ca court à quelle vitesse un ours? Apparement 50km/h  ^-^ ? Et en plus ils sont plus endurants à tous les coups. Et ils nagent mieux, et ils grimpent mieux ... Pas de chance.

10 octobre 2008 à 11:23:11
Réponse #78

rapin thierry


tirer à l'arme de poing sur un ours qui déboule trés vite en sous bois ,
et un exercice vraiment tres risqué  :o
déja sur une cible qui bouge pas ,sans aucun stress et avec une vue bien dégagée tirer "correctement" n'est pas aussi
facile que certains le croient( je sais à la télé les gars sortent leurs flingues,et tuent 20 méchants sans les regardés d'une balle entre
les deux yeux sans même recharger,c'est magique  ::) mais ce n'est que du CINEMA !!!!)

je penses qu'il faut surtout prendre en compte les deux premiéres solutions de DAVID .



c'est en forgeant qu'on devient forgeron

10 octobre 2008 à 14:15:45
Réponse #79

sath


Vous vous rappelez du sketch de la chauve-souris enragée ?

pour les conseils
http://www.mrnf.gouv.qc.ca/faune/securite/ours-responsabilite.jsp

 ;)
Ils en viennent à la dague, Dieu leur vienne en aide !

10 octobre 2008 à 15:00:04
Réponse #80

Dox


Bonjour,

Tout frais inscris à l'instant en ces lieux
que je parcoure depuis quelques temps avec interêt,
je profite donc de ce fil pour poster ce lien :
Là ici
trouvé il ya quelque temps.
Je passe en coup de vent, reviendrai me présenter plus tard.

1/5
Comportement à adopter en cas de rencontre d’un ours
Il y a de nombreux endroits sur terre où l'ours et l'homme cohabitent. Les recommandations
ci-après s'inspirent des expériences faites dans ces régions. Elles ont valeur universelle.
Elles entendent aider à éviter le risque d'accident avec un ours. Il ne faut jamais oublier que
l'ours est un animal sauvage, donc imprévisible.
Toute rencontre faite avec un ours doit absolument être signalée aux autorités, surtout si
l'animal a un comportement agressif.
Comportement général dans une zone à ours
• Effectuez si possible des randonnées en (petits) groupes.
• Manifestez votre présence en faisant un peu de bruit, par exemple parlez, chantonnez ou
frappez régulièrement le sol, une pierre ou un tronc d’arbre avec un bâton. L’ours
remarquera ainsi votre présence et ne sera pas surpris. Il aura assez de temps pour se
retirer. Mais ne soyez pas trop bruyant et ne chantez pas à tue-tête, ne faites pas de
tapage inutile dans la nature.
• N’accrochez pas de cloches à votre sac à dos si vous vous promenez dans les Alpes:
l’ours pourrait croire qu’il s’agit de bétail et donc de nourriture potentielle. Les cloches ou
les cloches à ours ont une fréquence analogue à celle de certains oiseaux ou
ressemblent à des bruits que l'on entend dans la nature. Elles ne suffisent donc pas
nécessairement à éloigner les ours.
• Faites preuve d’une grande prudence le long des torrents dont le bruit couvre souvent les
autres sons.
• Les chiens doivent être gardés sous contrôle, si possible tenus en laisse. Un chien
circulant librement peut conduire un ours vers vous.
Rencontre d’un ours à grande distance (> 100m)
• Vous pouvez rester immobile afin de profiter un peu de cet instant rarissime pour
observer l’ours.
• Ne vous approchez de l’ours en aucun cas, même si voulez pouvoir mieux l’observer ou
le photographier.
• Décidez de la poursuite ou non de la randonnée. Attendez que l'ours s'éloigne, étudiez
les possibilités de contournement, ou faites demi-tour et éloignez-vous lentement.
• En tous les cas, manifestez votre présence si l’ours s’approche de vous ou si vous
voulez continuer dans sa direction.
Rencontre d’un ours à petite distance (< 80m)
• Ne vous approchez de l’ours en aucun cas; ne faites pas de mouvement brusque.
• Ne vous enfuyez pas en courant: l’ours courra toujours plus vite que vous.
• Gardez votre calme, observez le comportement de l’ours; parlez avec une voix calme
afin que l'ours vous identifie comme un être humain. Manifestez votre présence en
faisant du bruit.
• Si l’ours se dresse sur ses pattes arrière, ce n'est pas un signe d'agressivité. Il cherche
simplement à vous identifier. Ce moment se prête bien pour manifester votre présence.
• Vous approcher de l’ours à moins de 10 ou 20 mètres peut être compris par l’ours
comme une menace, le rendre agressif et le pousser à l’attaque.
• Éloignez-vous lentement sans perdre l'animal du regard. Ne le regardez toutefois pas
directement dans les yeux.
• Parlez avec une voix calme pendant toute la rencontre avec l'ours.
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Rencontre d’un ourson
• À moins de 50 mètres, la rencontre d'un ourson peut être dangereuse car sa mère est
très certainement dans les parages et pourrait défendre sa progéniture.
• Éloignez-vous lentement en faisant des mouvements lents; en tous les cas, manifestez
prudemment votre présence sans faire trop de bruit.
• Adoptez le même comportement si la distance est de plus de 50 mètres. Votre
comportement doit montrer à l'ourse que vous ne représentez aucun danger pour elle ou
ses petits.
Recommandations spécifiques
Dans la nature, ne suivez jamais des traces d'ours. Cela peut être particulièrement
dangereux lorsque les traces d’un ours adulte sont accompagnées de traces de jeunes ou
lorsqu’elles se trouvent à proximité d’une grotte ou d’un cadavre d’animal (de rente ou
sauvage).
Travailleurs forestiers et gardes forestiers
• Ne laissez pas en forêt les bidons d’huile biologique pour tronçonneuses ou suspendez-
les entre deux arbres à au moins 3 m du sol. L’huile biologique est un aliment apprécié
des ours.
• Manifestez votre présence en faisant du bruit (p. ex. avec une tronçonneuse) avant de
pénétrer dans une zone de chablis ou un fourré.
• Ne laissez jamais en forêt un sac contenant de la nourriture et des boissons ni des restes
de nourriture.
Agriculteurs et bergers
• N’entreposez jamais de fourrage devant des bâtiments ou dans des granges aisément
accessibles.
• Évacuez et éliminer les déchets organiques et les déchets d’abattoir dans les règles de
l’art.
• Si un ours entre dans une étable ou attaque des animaux de rente, n’essayez pas de le
chasser avec un bâton, avec des pierres ou en l’éblouissant: cela peut le provoquer et
l’inciter à s’en prendre à vous.
• Déclarez les dégâts dus à l’ours à l’autorité compétente.
Chasseurs
• Lors de l’approche, faites preuve d’une grande prudence et de beaucoup de précautions
pour repérer à temps la présence éventuelle d’un ours et ne pas surprendre ce dernier.
• Un ours peut approcher jusqu’à quelques mètres d’un affût (au sol); il faut alors
manifester votre présence le plus tôt possible.
• Ne tirez jamais sur un ours: un ours blessé est très dangereux.
• Renoncez aux affûts de nuit au renard et au sanglier dans les zones à ours. Vous
pourriez confondre la silhouette de l’ours et celle du sanglier.
• Ne chassez pas avec des chiens, qui peuvent provoquer l’ours et, en cherchant à se
protéger, le conduire directement à vous.
• Tenez les chiens en laisse pour la recherche des proies et ne les lâchez pas. Les chiens
signalent la présence d’un ours. Ne recherchez jamais des proies seul, de nuit ou au
crépuscule.
• Déposez les viscères le plus loin possible des cabanes, routes et chemins pédestres. Il
n’est pas nécessaire de les évacuer.
• Les ours peuvent être attirés par les tirs, car ils les associent parfois avec les animaux
morts et les viscères. La prudence est donc également de mise lors de l'enlèvement des
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animaux morts. Si un ours devait atteindre la dépouille avant vous ou s'approcher
lorsque vous la retirez, ne tentez pas de lui disputer la proie.
• Ne répandez pas de nourriture pour détourner, appâter ou alimenter le gibier, car l’ours
s’y habitue.
• La nécessité de répandre de la nourriture doit être évaluée. Dans tous les cas, ne pas
entreposer de nourriture dans la forêt.
Pêcheurs
• Faites preuve de prudence le long des torrents dont le bruit couvre souvent les autres
sons.
• Faites du bruit si vous devez contourner les obstacles dans la rivière car on trouve
souvent des ours dans les bosquets voisins, surtout au printemps (recherche de gibier
tombé en hiver ou de végétation précoce).
• Pour ne pas attirer les ours, jetez les viscères dans l’eau, en particulier si vous continuez
à pêcher au même endroit. Lavez-vous bien les mains car l’odorat des ours est très
développé.
Champignonneurs, promeneurs et cueilleurs de baies
• Manifestez votre présence en faisant du bruit, notamment dans les endroits offrant peu
de visibilité, avant les bosses, les tournants, etc.
• Emportez les restes de nourriture, ne déposez pas de déchets comestibles dans des
poubelles ouvertes.
• Tenir les chiens en laisse: d’une part, les chiens en laisse signalent la présence d’un ours
par des grognements et, d’autre part, les chiens en liberté peuvent provoquer l’ours et,
en cherchant à se protéger, le conduire directement à vous.
Sportifs (jogging, vélo)
• Évitez de courir ou de faire du vélo au crépuscule ou de nuit.
• Évitez les petits chemins dans les fourrés ou les endroits offrant peu de visibilité, car les
semelles en caoutchouc et les pneus ne font presque pas de bruit et vous pourriez
surprendre un ours.
• Il est conseillé de porter un objet faisant un peu de bruit à la ceinture ou sur le vélo.
Photographes et cinéastes animaliers
• N’utilisez pas d’appâts.
• Ne vous approchez jamais d’un ours.
Campeurs
• Évitez le camping sauvage dans les zones à ours et ne vous installez que sur des
terrains officiels offrant des équipements à l’épreuve des ours.
• Plantez votre tente à un endroit visible, loin des chemins pédestres.
• Suspendez la nourriture et les autres sources d’odeurs (p. ex. parfum, dentifrice) entre
deux arbres à au moins 3 m du sol et 100 m de votre tente, dans des boîtes
hermétiquement fermées.
• Installez les foyers à au moins 50 m de votre tente.
• Brûlez complètement les déchets comestibles.
Spéléologues
• Prenez contact avec le garde-chasse avant toute activité dans une grotte.
• Quittez immédiatement la grotte si vous y trouvez des traces d’ours ou même un ours
(endormi).
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Comportement à adopter en cas d'attaque d’ours
En général, un ours n'attaque l'homme que s’il est provoqué ou qu’il se sent en danger. Il se
sent provoqué p. ex. si vous vous approchez trop près ou si vous vous approchez pendant
qu’il mange. Il se sent en danger p. ex. si vous vous approchez de ses petits ou s’il n'a pas
de possibilité de fuir.
Comportement de l'ours lorsqu'il se sent menacé:
• Attaque d’intimidation: l’ours commence par grogner ou feuler avant de se précipiter sur
l’homme, de s’arrêter à quelques mètres, de se retourner et de s'enfuir. Il peut répéter de
telles attaques d'intimidation à plusieurs reprises. Elles se produisent le plus souvent
lorsque l'ours est surpris.
• Avant l’attaque d’intimidation, vous pouvez essayer de détourner l’attention de l’ours en
posant quelque chose sur le sol (veste, panier mais pas de sac à dos) avant de reculer
de quelques pas.
• Comportement à adopter lors d'une attaque d'intimidation: ne bougez pas et continuez à
parler d'une voix calme. Évitez de perdre l'ours de vue mais ne le regardez pas
directement dans les yeux. Les attaques d'intimidation se terminent généralement sans
contacts physiques.
Si l'ours attaque quand même, couchez-vous rapidement sur le sol à plat ventre, les
mains croisées sur la nuque pour protéger le mieux possible les parties du corps les plus
vulnérables. Tirez votre sac à dos sur la tête. Gardez les jambes écartées pour que l'ours
ne puisse pas vous retourner et atteindre la région du ventre. Ensuite, attendez. L’ours
viendra vous identifier et constater que vous ne représentez aucun danger pour lui.
Restez allongé plusieurs minutes après le départ de l'ours; relevez-vous tout doucement
et partez.

• Opposer une résistance à un ours qui se défend (p. ex. femelle dominante) est inutile.
Votre attitude l'excite et le rend encore plus agressif. Une attaque ne dure généralement
que quelques secondes (une minute au maximum). Si l'attaque se prolonge, l'ours vous
considère comme une proie. Dans ce cas, défendez-vous avec tous les moyens
possibles (cris, jets de pierre, etc.). Le nez de l'ours est particulièrement sensible.
• Ne vous enfuyez pas en courant. Ne grimpez pas non plus à un arbre. La fuite n’a de
sens que si vous êtes à proximité immédiate d’une maison ou d’un véhicule. L’ours
courra toujours beaucoup plus vite que vous.
Recommandations en matière de déchets organiques
La négligence et le manque de soin dans le traitement des déchets organiques peuvent
inciter les ours à se spécialiser sur cette source de nourriture anthropique et donc à pénétrer
dans les localités, à ouvrir les poubelles et à dévorer le bétail. La population vivant dans les
zones à ours doit être sensibilisée à ce problème. Le travail de sensibilisation doit faire l’objet
de stratégies propres à chaque région.
Mesures
• Les petites localités, hameaux, fermes isolées et cabanes de montagne situés dans des
zones à ours doivent adopter des conteneurs à ordures à l’épreuve des ours au lieu des
poubelles traditionnelles.
• Les poubelles situées le long des chemins pédestres, sur les aires de pique-nique, etc.
doivent être remplacées par des modèles à l’épreuve des ours.
• Ne pas jeter les restes de nourriture en forêt (p. ex. aires de pique-nique), même en
petites quantités: l’ours peut se spécialiser sur cette nourriture.
• Les composts privés et les installations commerciales de compostage doivent être
entourés d’une clôture résistante à l’ours.
• Toujours éliminer les déchets d’abattoir dans les règles de l’art.
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• Entreposer dans des bâtiments fermés le fourrage du bétail ou les aliments de
pisciculture.
• Ne pas utiliser d’appâts.
• Ne pas ajouter de marc ou de concentré au fourrage pour gibier. N’utiliser que du
fourrage brut pour nourrir le gibier en hiver.
• Ne pas laisser à l’extérieur des écuelles remplies en permanence pour les animaux
domestiques; ceux-ci ne devraient d’ailleurs pas être nourris dehors et leur écuelle
devrait être nettoyée systématiquement.
• Renoncer à nourrir volontairement des ours, notamment comme attraction touristique
dans un restaurant, car cela met en danger d’autres personnes.
« Modifié: 10 octobre 2008 à 15:07:41 par Dox »

11 octobre 2008 à 11:47:50
Réponse #81

Patrick


En cas de mauvaise rencontre (nature humaine ou surtout Ours mal léché), je lui ai préconisé un 357 modèle 629 es 3 ou 4 pouces de chez S&W ou un 45 colt 1911...Qu'en pensez-vous? Sachant qu'elle connaît les armes à feu et que le calibre ne la dérangerait pas du tout...
Alors au risque de me faire rappeler à l'odre par El Manitou, un S&W 629, n'est pas un 357 mag mais un 44 mag (qui peut aussi tirer du 44 spl comme les 357 mag euvent tirer du 38 spl)

Avant de dire que cela ne la dérangerait pas du tout, essaye de lui faire tirer un dizaine de 44 mag pleine charge dans un 3 ou 4", elle t'en dira des nouvelles affectueuses. Je ne parle même pas de la taille peu adaptée de la poignée et du poids du bestiau.

Comme alternative au 44 mag, je choisirais pour une copine entraînée et décidée, le 25 toujours de chez S&W en 45 long colt, qui présente un excellent stopping power et une bonne pénétration (sur certaines manufacturées), alors que le 357 mg ne chatouillera pas l'ours qui mourra peut-être de lésions internes, après avoir dépecée vive ta copine.

Mais dans tous les cas :
  • entraînement au tir en mouvement
  • et au déploiement avant de partyir dans les bois

Bien sur si tout cela est autorisé là où elle va, mais dans ce cas les collègues ont bien mieux précisés la conduite à tenir.
« Modifié: 11 octobre 2008 à 11:58:38 par Patrick »

11 octobre 2008 à 13:24:08
Réponse #82

lawrence





Surtout pas se laisser aller avec ce genre de kit "rassure" beaucoup plus que "secure"
http://www.smith-wesson.com/wcsstore/SmWesson/upload/images/firearms/163463_case_lg.jpg


En ce qui me concerne, j'ai pour devise absolu de toujours prendre une arme longue si j'en est la place, donc je serais plutôt partant pour un fusil à pompe avec 2 organes de visée et de la brenneke, ou autre munition à balle.

L'arme ne devrait pas coûter bien cher dans ce coin du monde, ça pèse plus lourd certes, mais à mon sens, cela ne devrait pas être un frein pour quelqu'un qui recherche une protection efficace.
"La sécurité trop parfaite des habitants du monde supérieur les avait amenés insensiblement à la dégénérescence, à un amoindrissement général de stature, de force et d'intelligence." - The Time Machine ; H. G. Wells

11 octobre 2008 à 15:51:06
Réponse #83

xzh


dans tout les cas d'attaque par un animal sauvage ,pour etre  plus général,on ne saura jamais quoi faire car les animaux on autent de personnalité, d'états(fatigué , affamé ,etc) et d'autre truc qu un homme .les choses a faire varie  d'une situation a l'autre.

en bref rien ne vaut l'experience meme si on connait des centaines de milliers de chose a faire en situation réel on aura toujour une part d'instinct qui nous aidera ou nous foutra dans la m*rde comme quand on se barre en courant et que l'ours nou prend pour une proie


j'ai du mal a expliqué ca  donc si vous comprennez bravo

11 octobre 2008 à 15:58:45
Réponse #84

Bison


Personne n'a l'expérience.
Point barre.

Et les conseilleurs ne sont pas les payeurs ...
Un enfant qu'a pas une paire de bottes, une canne à pêche et un lance-pierre, c'est pas un vrai. (A. Gavalda)

11 octobre 2008 à 16:03:36
Réponse #85

DavidManise


En ce qui me concerne, j'ai pour devise absolu de toujours prendre une arme longue si j'en est la place, donc je serais plutôt partant pour un fusil à pompe avec 2 organes de visée et de la brenneke, ou autre munition à balle.

Encore faut-il être entraîné à viser...  donc à prendre le temps de viser, même si on tire vite et par surprise...  

Une vraie charge d'ours, typiquement, ça se produit à courte distance dans des endroits touffus.  C'est un machin qui déboule brusquement à pleine vitesse, t'as 0-3 secondes pour placer ton coup.  Donc déjà si on parle d'arme longue, ça veut dire une sangle et le truc devant toi tout le temps, en position patrouille...  au moins dans les coins touffus où tu ne vois pas l'ours arriver de loin...  

Les guides de randos en alaska ils se balladent avec le pompe à la main et ils gueulent "HEY BEAR" toutes les 20 secondes...

"Alors là sur la droite vous avez le glacier machin -- HEY BEAR !!! -- qui culmine à 1200m seulement, mais dont les -- HEY BEAR !! -- lèvres ont une forme très particulières et -- HEY BEAR !!!! -- on pense que c'est dû au -- HEEEYYY BEEEAAAAAR..." :)

Pour l'anecdote, la plupart beaucoup d'entre eux ont des remington 870 en inox (modèle Marine) et ils les chargent avec alternativement un 00, une balle, un 00, une balle...  

Ciao ;)

David

P.S.: Bison...  si, quand-même, quelques personnes sur ce forum ont déjà vu des ours de près hein ;)
« Modifié: 11 octobre 2008 à 16:13:17 par DavidManise »
"Ici, on n'est pas (que) sur Internet."

Stages survie CEETS - Page de liens a moi que j'aimeu

11 octobre 2008 à 16:47:24
Réponse #86

pierauspitz


+1 avec David ;)

Et en ce qui concerne le chargement grenaille/balle, avec des 12, en effet, c'est ce qui est préconisé au Spitz aussi :up: (ou allors grenaille/grenaille/balle/balle/balle... ou encore caoutchouc/caoutchouc/caoutchouc/balle/balle...).
Mais le milieu arctique  est différent : il est rare que l'on soit gêné par la végétation, et la visi est généralement bonne. Mais dès que les conditions se dégradent (relief "sérré", brouillard, blizzard, nuit...) on avait la consigne de garder l'arme à accès immédiat (bretelle).
Et perso, j'ai eut à sortir le fusil une seule fois, chargé prêt à tirer, mais tout c'est bien passé, et l'ours à fuit après quelques fusées.  8) Mais je peut vous dire que j'étais pas fier... Pendule à 200, et adrénaline qui pompe bien ; il était pas petit le bestieau, et je suis pas un mauvais tireur, mais avec le stress, je n'était ABSOLUMENT PAS sur de l'avoir mouché! et encore, on avait eutle temps de le voir venir... :glare:

MAis j'ai des connaissances qui ont eut des confrontations directes qui se sont soldé par la mort de l'ours ( :'(, mais plutôt lui que mes potes), et une carabine fontionne très bien, pas de soucis  :(Une autre connaissance a eut à faire à un gros mâle de 500kg : charge de l'ours, il chope son calibre (un S&W .50 pour l'histoire) et tire 2 bastos sur la bête à 1,2m ( :o !), croisement façon toréador et l'ours s'abbat 10m plus loin... Et je peut vous dire une chose, c'est que c'est l'épisode le plus trajique de sa vie. Il a vécu pendant 20 ans au SPitz et il adore les ours, et il vit cette incident comme une trajédie (d'ailleur, il n' a accepté d'en parler que lors d'une soirée disons bien arrosées...)

Donc bon.. Y'a quand m^me des gens qui ont eut malheureusement à ce servir de ce genre d'équipement, et là, il est vrai que l'entrainement et le respect de la bête (ne pas lui tirer dessus dè qu'il montre son nez, il est peut être venu que pour jeter un coup d'oeil, et puis on est chez lui!)  fait toute la différence...

11 octobre 2008 à 16:53:07
Réponse #87

Bison


D'accord David ... C'était un peu provoc.

Quelques personnes ont vu quelques ours de près. Certaines personnes ont même vu pas mal d'ours sans doute ... ;)

Une ou deux personnes se sont fait charger de près sans arme, une fois ... deux fois ?

Ce n'est pas ce que j'appelle "avoir de l'expérience" ... au sens de pouvoir se dire :
- "Je sais comment cela se passe, parce que j'ai expérimenté les cas généraux et vécu pas mal d'exceptions, j'ai reçu l'enseignement de maîtres eux-même expérimentés, je connais les subtilités de la chose, les tenants et les aboutissants"
- "J'ai confiance en cette expérience pour pouvoir gérer la prochaine rencontre, et les suivantes"

Il y a quand même des chasseurs professionnels qui se sont fait avoir par des lions et par des buffles ... probablement par des ours aussi.
Un enfant qu'a pas une paire de bottes, une canne à pêche et un lance-pierre, c'est pas un vrai. (A. Gavalda)

11 octobre 2008 à 16:57:23
Réponse #88

Woodrunner


Je n'ai pas d'expérience avec les ours, mais avec les FFM un peu, Perso j'aurai plutôt tendance à sous charger mon fusil (par ex. 4 cps au lieu de 6) et d'avoir les gomme cogne à porté de main,... comme ça pas d'erreur possible! Une seul sorte de cartouches dans le fusil (tout 00 ou balle).

Si j'ai le temps de me dire gomme cogne ou cartouche c'est que j'ai le temps de charger une cartouche gomme,... car si la bête charge le temps de faire trois mouvement de charge afin d'arriver à du lourd, je suis mal barré,...

Mais bon c'est mon avis,....

Une arme une sorte de munition!


Every citizen should be a soldier. This was the case with the Greeks and Romans, and must be that of every free state.
Thomas Jefferson
3rd president of US (1743 - 1826)

WOLWERINES!!!!!!!


"Une pomme par jour éloigne le médecin… pourvu que l'on vise bien."    

Winston Churchill

11 octobre 2008 à 17:39:47
Réponse #89

pierauspitz


Salut!
Bon... je sens la dérive "claibre" venir (et ça me saoule), mais bon, c'est plus ou moins le sujet...
LE panachage de munition a ses avantages et inconvénients.
Alors je suis d'accord que si on a deux cartouche de non ou sub-létal avant les balles, c'est prendre un risque pour sois-même, car on peut tomber nez à nez avec la bestiole, et on va se faire au mieux une bonne chaleur. Par contre, cela permet d'avoir une "escalade" dans le conflit avc l'animal, et de ne pas en venir de suite à l'abattre. Une ou deux balles en caoutchouc peuvent lui faire comprendre qu'il vaut mieux arrêter, mais de ton côté, tu as toujours la "sécurité" d'avoir le matos derière, si l'ours ne veux pas comprendre.
En gros, la méthode du chat :
-on évite la bagarre si on peut mais si ça commence à plus aller :
-on feule à coup de fusées éclairantes
-le coup de patte c'est les gommes-cogne (le top  :up:) ou grenaille de petit calibre à longue portée (mais vraiment pas une méthode désirable, car on risque serieusement blesser gravement la bestiole, ce qui conduira soit à sa colère, donc plus de problèmes, soit à son abattage ultérieur car infection etc etc...)
-et si besoin on mort et on griffe : balles
 Un peu simpliste, mais j'aime bien l'idée de laisser ses chances à l'animal, et qu'il aprenne qu'il faut ps faire braire les humains, car un ours mort ne sert à rien... :'(

11 octobre 2008 à 18:14:30
Réponse #90

Madudu


A ce que j'ai compris la vrai solution c'est de pas de retrouver nez à nez avec la bête.
Sinon, même armé, y a 90% de chance qu'on y reste...

Ce fil est-il vraiment utile ? Un fil sur "comment éviter la bête" serait beaucoup plus approprié

11 octobre 2008 à 18:35:05
Réponse #91

enzo


L'expérience est une lanterne qui éclaire le chemin parcouru.........

11 octobre 2008 à 18:57:05
Réponse #92

pierauspitz


Madudu

Petite correction :
Avec un humain armé, entrainer à manipuler son arme, "trigger happy", et se foutant de la vie d'un ours, une rencontre "raprochée", dans 90% des cas, c'est l'ours qui va trinquer (plusieurs centaines d'ours flingués pour quoi 5-6 mecs tués par ans, les chiffres parlent d'eux même). Il est rare qu'un ours agresse une personne direct, sans avertisements (à moins qu'il soit en mode "chasse" et qu'on lui semble comestible, ou bien qu'une ourse qui protège ses petits). C'est le cas des ours polaires, donc dites moi si j'me trompe en ce qui concerne les ours bruns, noir, à collier, ou à banane elvisienne...
Donc bon...

AMHA la petite cloche à ours suspendue au fut' ou au sac est une bonne garantie pour éviter les rencontres fortuites. Aussi, tenir son chien en laisse anfin que l'ours ne se sente pas pisté par un c** de clébard des villes qui "sniffe un truc good qu'il connait pas". et pui un petit signal-pen avec trois fusées détonantes et trois rouges dans la poche, ça pèse rien et c'est toujours utile (pas que contre un ours... si on se casse un patte, c'est cool de pouvoir se signaler ;) )

11 octobre 2008 à 19:50:18
Réponse #93

Madudu


plusieurs centaines d'ours flingués pour quoi 5-6 mecs tués par ans, les chiffres parlent d'eux même

Il me semble qu'aux USA la chasse à l'ours est légale, mais limitée ; ça explique peut-être ce chiffre.
Pour ce qui est des chances de survivre à une charge, je n'ai aucune expérience mais dégainer, viser et tirer en l'espace de quelques secondes en conditions de stress intense c'est pas donner à tout le monde.

11 octobre 2008 à 20:18:53
Réponse #94

pierauspitz


C'est vrai qu'au US on peut chasser l'ours (ainsi qu'au Groenland, Canada, Russie, Slovénie etc.. et de manière réduite dans les pays nordiques). Mais le fait est que nous sommes un plus grande menace pour eux qu'ils le sont pour nous. Parce que bon, etre un ours chassé par des humains (courant), et un ours abattu car lui était en chasse d'humains (plutot rare), le resultat est trajiquement le même...

Et même hors du cadre "chasse", au Spitzberg, il y a au moins un ou deux ours chaque années qui se font dégommer pour "self defence" (situation qui est enquêté par la police comme un meurtre au passage) , alors que les pertes humaines sont très très rares et dues à un comportement et/ équipement inaproprié (j'ai entendu parler de 3 cas mortels, un trappeur avant WW2, cas fameux du la "balle coincée", une jeune fille non armée "qui voulait s'approcher du 'renne', qui était en fait un ours " et un guide qui avait laissé le fusil dans le bateau et se baladait avec un pistolet en 22LR). Et encore, le cas du trappeur, c'était lors d'une chasse à l'ours. Or cette chasse est interdite depuis 1975... Donc 2 ours par ans depuis presque 35 ans, contre 2 humains dans la même période.Calcul vite fait pour savoir qui a l'avantage.  ;)
Et puis les chances de tomber sur THE OURS, vicieux comme la mort façon "The Edge", sont tellement ridicules que ça fait presque sourire (mais plus trop quand on réalise le genre d'idée que le public se fait de ce bel animal)...  ::)
Comme l'ont rabaché le Manitou, ainsi que plusieurs autres forumistes, la question vrai question est Comment éviter le conflit?.
Donc clochettes, sifflets, cris de guide qui prennent la tête, les mômes qui hûrlent (un petit animal qui gueule fort, ça peut être intimidant ;D), une connaissance et un respect de l'animal et ça devrais bien se passer
Après, question calibre, imaginez ce que vous pouvez trouver de plus attroce, et, en étant entrainé et pas en panique, ça marchera très bien...

11 octobre 2008 à 21:12:48
Réponse #95

DavidManise


D'accord David ... C'était un peu provoc.

Soit, mais t'avais pas tort ;)

Citer
Quelques personnes ont vu quelques ours de près. Certaines personnes ont même vu pas mal d'ours sans doute ... ;)

Une ou deux personnes se sont fait charger de près sans arme, une fois ... deux fois ?

Un pote une fois s'est fait charger près de moi.  J'ai juste eu le temps de mettre un grand coup de hache sur la tête du machin, qui est parti en secouant la tête...  sans plus.  Pour le reste, j'ai buté un ours pour rien une fois aussi.  J'en culpabilise encore.  J'ai eu peur.  Sans raison en fait :(  Et toutes les autres fois où j'ai vu des ours, j'ai juste vu leur gros cul détaler à toute vitesse.  Ca me semble être leur option préférée.  Ou de temps en temps ils reniflent et s'en vont comme si on n'était pas là.  J'en entendu parler de "bluff charges" de la part de grizzlis.  Nombreux témoignages de ça...

Pour le reste, personnellement je me base sur l'expérience compilée d'autrui, et notamment sur les données du gouvernement canadien qui communique bien là-dessus (le lien est plus haut, c'est bien ;)).

Citer
Ce n'est pas ce que j'appelle "avoir de l'expérience" ... au sens de pouvoir se dire :
- "Je sais comment cela se passe, parce que j'ai expérimenté les cas généraux et vécu pas mal d'exceptions, j'ai reçu l'enseignement de maîtres eux-même expérimentés, je connais les subtilités de la chose, les tenants et les aboutissants"
- "J'ai confiance en cette expérience pour pouvoir gérer la prochaine rencontre, et les suivantes"

Il y a quand même des chasseurs professionnels qui se sont fait avoir par des lions et par des buffles ... probablement par des ours aussi.

Clairement.

Je comprends mieux ce que tu voulais dire.

On ne peut pas tirer de généralités, ni de règle réellement utilisable en ce qui concerne la défense contre les ours.  Ils sont complexes, assez imprévisibles quand on ne sait pas décoder leur langage...  il n'y a pas deux rencontres avec des ours identiques, comme il n'y a pas deux altercations/bastons entre humains identiques.  Donc pas de règle DETAILLEE facile à établir.  En revanche, on peut malgré tout tirer des principes généraux.  Le plus petit dénominateur commun à toutes les pistes pas trop mauvaises qu'on connait.

Et en fait si on analyse, ce sont exactement les mêmes qu'en self protection contre les humains ou les chiens :

0) détecter la présence de l'ours le plus tôt possible (préférer le terrain ouvert, se laisser de la distance)
1) respecter le territoire, les codes, et ne pas être inutilement menaçant, ou tentant (odeurs de bouffe, etc.) -- ne pas chercher la m*rde, quoi.
2) ne pas se comporter comme une proie non plus (courir, être seul) : préférer être à plusieurs et "tenir son bout de terrain" calmement...  -- se poser comme un adversaire potentiel sérieux mais non-hostile, et non pas comme une proie facile.
3) dans le doute, chercher l'évitement pacifique (reculer doucement, contourner au large) plutôt que l'affrontement inutile (contrairement aux humains, la plupart du temps c'est cette option que choisiront aussi les ours s'ils ont le choix / pas de motivation réelle à faire autrement) ;
4) mais ne jamais perdre l'avantage tactique pour autant (être prêt si tout le reste doit merder).

Mais comme tu le soulignes...  il n'y a pas de règle absolue, ni de garantie.  Malheureusement.

Ciao ;)

David
"Ici, on n'est pas (que) sur Internet."

Stages survie CEETS - Page de liens a moi que j'aimeu

11 octobre 2008 à 21:24:29
Réponse #96

DavidManise


"Ici, on n'est pas (que) sur Internet."

Stages survie CEETS - Page de liens a moi que j'aimeu

11 octobre 2008 à 23:20:00
Réponse #97

Bison


Un enfant qu'a pas une paire de bottes, une canne à pêche et un lance-pierre, c'est pas un vrai. (A. Gavalda)

12 octobre 2008 à 13:06:57
Réponse #98

xzh


oui le terme "experience n'etait pas trés adapté   un point  qui n'a pas était abordé c'est qu'il faut toujours laissé une porte de sortie à l'ours sinon c'est normal qu'il force le passage

ta synthese david,c'est ce que je voulait dire mais en mieu(meme beaucoup mieu)

12 octobre 2008 à 13:56:15
Réponse #99

the hunter


il y a une ville au usa qui compte enormément de passage d'ours polaire, il ont meme du creer une brigade spécialement pour eux.
Les hommes de cette brigade utilisent des armes qui tirent des projectiles explosifs, un peu comme un feu d'artifice ( sans les belles couleurs bien sur :D). Ils tirent en l'air quelques cartouches qui exploses et font fuir l'animal.

Je pense que tirer avec une armes a blanc suffit a les effrayés donc. Et pas besoin de viser dans le stress et de tuer non plus.

 


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Bienveillance, n.f. : disposition affective d'une volonté qui vise le bien et le bonheur d'autrui. (Wikipedia).

« [...] ce qui devrait toujours nous éveiller quant à l'obligation de s'adresser à l'autre comme l'on voudrait que l'on s'adresse à nous :
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