Salut,
Je ne savais pas pour les fruits sur les chevesnes. Tu as déjà testé? pas trop galère pour escher une mûre? et tout se qui est "gratte-cul"?
Pour le sang et le carné on peu faire des "ravages" sur les chats.
Dès que j'ai un peu de temps j'irais faire des essais.
Bonjour,
Oui j'ai perso testé il y a longtemps la cerise sauvage sur le chevesne dans une petite rivière en RP, l'Ecole qui se jette en Seine près de Melun, ça avait bien marché.
Les mures aussi , une fois, par contre les gratte cul jamais mais pourquoi pas?
Les poissons ont parfois des comportements étonnants, j'ai vu un mois d'avril lors d'une chute de neige de printemps, des truites en folie qui gobaient les flocons
A propos de chevesnes qui sont des poissons méfiants mais de bons gobeurs, un petit bricolage qui marche bien.
Souvent ces poissons sont planqués sous les branches qui surplombent l'eau et quasi impossibles à prendre à la mouche sans taper les feuilles.
Un truc simple: une canne de 3/4m bien raide, en tête de canne une crosse roubaisienne en métal, accroché dessus un élastique roubaisien puis un corps de ligne solide (16 ou 18 /100) et un hameçon un peu gros type 14 OU 12.
En guise d'appât un asticot, mouche, sauterelle etc....
On procède comme suit: pincer l'ameçon entre deux doigts (gaffe à la pointe) et sans abimer l'appat, on tire en restant parallèle à la canne et en direction du but et on lache.
Faut juste régler la tension pour trouver la force ni trop, ni trop peu.
Généralement quand ça frappe l'eau le poisson engame, reste juste à ferrer, et parfois un peu acrobatique pour le sortir des branches.
Valable sur tous les gobeurs: truites, vandoises, chevesnes , ablettes, rotengles
A+
Gérard
ps: ça marche aussi en eau dégagée, c'est un bon sustitut à la pêche à la mouche sèche, plus précis que la simple technique à la volante et surtout permettant de "taper" des poissons lointains.
Et une crosse roubaisienne + élastique ça ne pèse rien en poche, avec un jet de noisetier ça faiT une canne de sustitution correcte.
les vieilles mains qui pêchaient à la volante avaient une baleine de parapluie (pleine donc flexible) à la place de la roubaisienne.