Les sacs de couchage en duvet (ébauche wiki) :
Je poste cette ébauche afin de connaître vos réactions, remarques, critiques et desiderata. De plus cela permettra de rassurer Manitou David et l’incitera, je l’espère, à ne pas lâcher trop vite ses Mohhawks affamés sur les pauvres contributeurs potentiels du wiki. En attendant je vais glisser un plomb de .69 dans mon Charleville mdle 77. 1. introduction
Le duvet est le matériaux possédant le meilleur rapport poids chaleur du marché. A l’heure actuelle aucun substitut synthétique atteint sa performance. Pour être plus exacte certains synthétiques sont compétitifs vis à vis du duvet de qualité inférieure. C’est la raison pour laquelle on ne trouve plus de sac de couchage avec du duvet bas de gamme.
Les avantages.
Le confort. Le duvet absorbe l’humidité. C’est un avantage et un inconvénient. C’est un avantage dans la mesure ou il est plus confortable car on ne ressent pas une sensation de moiteur. Ceci lui donne une plus grande plage d’utilisation. Un duvet -10°C est supportable à +10°C alors que l’équivalent en synthétique serait une étuve. Cela permet de mieux dormir et de ne pas devoir adapter les couches durant la nuit. De même, si vous mettez des vêtements humides dans un sac en duvet, ils seront secs le lendemain. Evidemment, cela veut dire que le duvet à absorbé l’humidité et qu’il isole moins, c’est une pratique qui doit être réservée aux situations dans lesquels il existe une importante marge de sécurité.
Le duvet est très agréable et vous enveloppe parfaitement et de façon agréable. Il n’est pas raide comme le polarguard et rêche comme le thinsulate. Cela veut dire qu’il y a moins de pertes par convection lorsque vous bouger dans le sac (effet soufflet) que dans un sac synthétique. Les mesures de performances réalisées par des mannequins thermiques, sont toujours statiques et ne prennent donc pas en compte cet avantage.
La compacité. C’est l’avantage principal du duvet. Comparez en magasin la compacité d’un duvet -10°C confort et l’équivalent synthétique : ite missa est ! Cela veut dire un sac à dos moins gros, plus de place dans le sac, rien a l’extérieur donc un sac résistant à la pluie pas besoin de se traîner un « sac de compression » lourd, remettre le sac dans sa housse n’est plus une corvée,.....que du bonheur. En revanche, il faut prévoir une bonne isolation du sol car le duvet est tellement compressible que l’isolation du dessous est nulle. C’est vrai d’un point de vue thermique mais aussi confort.
Le poids. Plus le sac est performant, plus l’écart avec le synthétique se creuse. C’est normal, ce qui pèse lourd dans un sac duvet ce n’est pas le duvet mais la construction complexe de l’enveloppe. Avec un sac de 500 gr. de duvet vous avez 0°C ; 800 gr. -10°C ; 1000 gr -20°C. La différence de poids totale du sac n’est pas énorme. En revanche dans un sac synthétique la construction est simple, ce qui pèse c’est l’isolation. Un sac qui fait du -20°C pèse un âne mort et rempli votre sac à dos. On gagne aussi sur le sac de compression qui est inutile et sur la taille du sac à dos qui est plus petit donc plus léger.
Attention, sur plusieurs jours, le duvet se charge d’humidité et augmente en poids. Mais, ce phénomène existe aussi pour les sacs de couchage synthétique.
La durabilité. Un duvet de qualité bien entretenu dure une vie. Ce n’est pas le cas du synthétique. S’il est de qualité, vous pourrez le laver sans problèmes en suivant les recommandations du fabricant. Ce n’est pas le duvet qui craint le lavage, ce sont les coutures.
Les défauts :
Le duvet est cher. Il peut causer des allergies . Il peut moisir à l’humidité. Il met plus de temps à sécher s’il est trempé qu’un duvet synthétique. Attention je dis bien trempé c’est à dire quand les plumules sont agglomérées en boule...ce qui est très rare sauf au lavage. Si le duvet est humide, il sèche aussi vite que du synthétique tant qu’il n’est pas aggloméré, c’est une question de surface exposée à l’air.
2. Le Duvet.
On utilise le duvet de canard et d’oie. Auparavant on a aussi utilisé le duvet de cygne et celui du canard de la variété eider. Le duvet de canard eider est prélevé à la main directement dans les nids : sont pris est astronomique. Il a l’avantage de rester aggloméré car les plumules ont de petits crochets. De ce fait, même avec une construction simple il n’y a pas de points froids dans le sac. C’est un gain en poids et en confort.
Le principe de base est le suivant : plus l’animal est gros meilleure est la qualité du duvet. La qualité de la nourriture intervient aussi. Il semble que contrairement à ce qui est dit souvent le climat n’intervient pas de façon significative. Si vous relisez le début de paragraphe, vous venez de comprendre pourquoi le duvet français est l’un des meilleurs du monde...En France, on n’élève pas les palmipèdes gras pour les manger ou pour le duvet mais pour le foie gras. Les bêtes sont bien nourries (sur le plan quantitatif) et vivent longtemps : elles deviennent grosses et ont le temps de faire du duvet. Celui-ci est ramassé dans les exploitations quand il tombe naturellement...Les autres pays producteurs de foie gras sont la Hongrie, la Tchéquie et la Pologne...pas la Chine. Dans ce dernier pays ce sont principalement des oies plus jeunes qui sont abattues d’où une qualité de duvet moindre.
L’intégration de la chaîne de production allant du producteur au fabricant de sac de couchage en passant par le transformateur, c’est le secret de la qualité d’une maison comme Pinel. Tout est basé sur la connaissance des sources et la confiance. Ce n’est pas le genre de chose qu(il est possible de développer à distance.
Qualité du duvet.
Le duvet doit être préparé selon des normes sanitaires strictes, vérifiez les étiquettes. En France, la qualité du duvet était appréciée par l’obligation de mentionner l’origine (canard ou oie) et la composition respective de plumules et de plumettes (70/30 par exemple). Un duvet doit avoir au moins 80% de plumules (duvet). De nos jours pour être compétitif vis à vis du synthétique c’est souvent 90 à 95%.
Depuis quelques années la mesure du gonflant (Loft) d’origine américaine s’est imposée sur le marché. Initialement, il s’agissait de mesurer l’épaisseur totale du sac de couchage une fois étendue. Puisque la capacité isolante est très fortement corrélée à l’épaisseur de duvet, il s’agissait d’une bonne indication. De nos jours on mesure le volume d’un échantillon de duvet (une once) soumis à un poids donné. En mesurant le volume en « pouce cube » ou CUIN (cubic inches) on obtient un chiffre. Il y a quelques années un duvet expédition devait faire au moins 550 cuin désormais en dessous de 700 voir 750 cuin vous êtes un rigolo...bizarre bizarre.
Il existe deux méthodes pour estimer le filling power des échantillons de duvet, l’européenne d’origine allemande et l’américaine. La différence se trouve dans le volume des éprouvettes de test et dans le poids utilisé pour la compression. En Europe, méthode Lorch, le diamètre est de 284 mm (soit une base de 633,1 cm2) alors qu’il est de 241,3 mm (base de 457,1 cm2). La hauteur du cylindre est de 500 mm. Sur cette éprouvette, un disque perforé est disposé avec un poids sur le dessus. Le poids est de 94,25 gr. En Europe et de 68,3 gr. Aux Etats Unis. Dans les deux cas le pression est de 0,149 gr. par centimètres carrés à la base de l’éprouvette.
Le duvet est préparé en étant fortement remué et en contrôlant le degré d’hygrométrie, plusieurs échantillons sont testés. Les variations peuvent être importantes au cours du test d’un même échantillon. Au final, on trouve dans la littérature que la mesure américaine donne un indice Cuin d’au moins 4% supérieur en moyenne par rapport au système européen. Plus loin dans le post, on trouvera les indications de la société Rab pour les deux normes concernant ses propres produits. Marmot signale aussi cette différence dans certains de ses catalogues.
2. Les matières
Afin d’assurer une utilisation optimale des propriétés isolantes du duvet, un sac de couchage doit respecter un certain nombre de contraintes.
Premièrement, le duvet doit être protégé par une enveloppe extérieure de tissu qui assume plusieurs rôles. Elle doit empêcher le duvet de s’échapper de l’enveloppe. Auparavant cela était obtenu grâce à l’utilisation de coton de type percale tissé très finement (120 fil/cm). Avec l’apparition du nylon, le coton a été remplacé tout d’abord pour l’extérieur du sac puis pour l’intérieur. Les raisons de la substitution sont le poids, le prix et une meilleure résistance.
Les premiers tissus en nylon n’étaient pas agréables au toucher et assez peu étanches au duvet. Pour obtenir cette dernière propriété, les tissus étaient calandrés c’est à dire passé entre deux rouleaux chauffés. On obtenait un nylon laqué, plus étanche mais moins souple, moins respirant et moins solide. Il y a une vingtaine d’années, Perseverance Mills une société anglaise a mis au point une qualité de tissu, le Pertex, au tissage très fin et régulier. Il s’est avéré convenir très bien au duvet. Par la suite, une version avec des fils de renforts (ripstop) s’est diffusée. Notons au passage que l’utilisation d’un tissu ripstop (armuré en français) ne renforce pas la résistance à l’abrasion, au contraire. L’intérêt de ce tissus est une meilleure résistance à la traction (utile pour un parachute) et surtout une moindre propagation des déchirures (utile pour le parachute et le sac de couchage).
L’enveloppe extérieure doit aussi protéger de l’humidité extérieure tout en laissant la vapeur d’eau s’évaporer. Pour cette raison le nylon est traité avec un produit déperlant (résine fluorée ou silicone). Le traitement appliqué en surface ne résiste pas longtemps. Il est rendu inopérant par la saleté, la fumée, l’abrasion, les détergents....Mais les fabricants ont travaillés dur et ont mis au point des traitements de plu en plus efficaces résistant à 5 lavages, puis 20 puis 100. Les derniers traitements imprègnent chacune des fibres et sont assez résistant et très déperlant (EPIC de la société Nextec :
http://www.nextec.com/ ). Au passage, notons que certains traitements rendent le tissu glissant ce qui est très énervant car le duvet glisse toute la nuit dans le sens de la pente. Les microfibres (Versatech) ont aussi été utilisées mais elles sont lourdes et souvent fragiles à l’abrasion.
La société goretex avait proposé il y a quelques années une version de sa membrane spécialement adaptée au duvet. Elle était totalement coupe vent et presque imperméable (1500 Schmerber). En fait ce produit ressemblait au windstopper avec les mêmes avantages (haute respirabilité) et les mêmes inconvénients (coutures ne pouvant être étanchées). Il y a eu des sacs en Goretex mais, outre le prix, les commentaires sont mitigés : La vapeur d’eau est retenue dans le duvet, c’est lourd, bruyant et le pouvoir isolant baisse de jour en jour. De plus , les coutures sont rarement étanchées. Des sociétés comme Rab ou Mountain Hardwear, proposent des sacs en duvet avec un tissu imperméable.
En ce qui concerne l’intérieur du sac, le coton plus agréable, a résisté longtemps au synthétique. Mais le poids et le prix de la percale de qualité ont eu raison du coton. La soie a pu être employée, mais elle résiste très mal à l’abrasion. Actuellement, depuis une dizaine d’année la qualité des tissus Pertex (et équivalent) est-elle qu’elle a supplantée les concurrents. Au passage, il existe des tissus nylon d’autre fabricants satisfaisant comme par exemple le Meryl.
3. Les normes d’isolation
4. fabrication
Je ne reviendrais pas ici sur la forme du sac de couchage. Nous ne traiterons que de sacs sarcophages dit aussi sac norvégiens. Il faut se souvenir que l’objectif d’un sac de couchage c’est de conserver le mieux possible la chaleur du dormeur tout en assurant l’évacuation de l’humidité consécutive à la transpiration. Afin d’obtenir ce résultat, le duvet doit être enfermé entre deux couches de tissu pour le stabiliser. La stabilisation a pour but de répartir de façon harmonieuse le duvet sur l’ensemble du corps du randonneur et d’éviter les points froids. Il s’agit donc de créer des compartiments. Plus il y a de compartiment, plus il y a de coutures, plus on crée d’opportunité de défauts. Si l’on ne fait pas attention, chaque couture est à l’origine d’un pont thermique. La grande supériorité du duvet d’eider, c’est qu’il reste agrégé grâce à la présence de petits crochets sur les flocons de duvet. De ce fait, les compartiments sont moins utiles et peuvent être moins nombreux.
Il existe deux types de fabrication pour les duvets. La première, la plus ancienne consiste à réaliser des coutures traversantes. Dans ce cas à chaque couture il y a un pont thermique. C’est acceptable pour les duvets ne devant pas affronter des conditions gélives. Mais de nos jours, on peut douter de l’intérêt d’utiliser de tels duvets dans ces conditions. Les fibres synthétiques (Polarguard 3D) ont fait de tels progrès que la différence de poids ne justifie plus l’utilisation de duvet. En effet, un sac en duvet ayant plus de coutures il sera aussi lourd.
Pour maximiser les qualités de gonflant du duvet, il faut lui permettre de prendre du volume et éviter les ponts thermiques. Deux possibilités :
Cloisonnement :
Il s’agit de mettre deux sacs à couture traversantes l’un dans l’autre. Les coutures ne se chevauchant pas entre les deux sacs, c’est très efficace thermiquement et assez simple à réaliser. Comme il y a beaucoup de tissu c’est lourd. Un avantage toutefois : si l’enveloppe d’un des sacs se déchire, le duvet de l’autre sac reste efficace. Cette façon de faire a disparue dans le commerce. Si vous êtes nostalgiques : mettez deux sacs en duvet l’un dans l’autre, en espérant que le duvet intérieur ne sera pas compressé.
Alvéoles :
Le duvet est maintenu dans des alvéoles formées des deux épaisseurs extérieures du sac et de cloisons en tulle très fin perpendiculaire aux deux épaisseurs précédentes. Chaque alvéole ainsi constituée est remplie séparément de duvet et jamais une couture ne traverse de part en part le sac. En conséquence le duvet est réparti de façon stable. Un avantage de cette construction c’est que la chaleur (l’air chaud en fait) peut traverser les parois de tulle et se diffuser sur tout le corps là où le besoin s’en fait sentir. Pour juger de la qualité de votre sac vérifiez s’il existe une continuité des alvéoles pour les pieds, la collerette d’épaule, la protection de l’ouverture...C’est à ces détails que l’on juge de la qualité d’un sac.
Si l’enveloppe extérieure est plus grande que l’enveloppe intérieure, la coupe est dite différentielle. Dans ce cas le duvet vous « enveloppera » mieux.
Les alvéoles sont le point faible des sacs. C’est ici que la qualité des coutures et des matériaux (tulles) fait la différence. C’est malheureusement ce que l’on ne voit pas.
4. critères de choix
Un sac de couchage doit être à votre taille. S’il est trop grand, il sera moins efficace pour vous maintenir au chaud. En revanche vous pourrez dormir avec des vêtements dedans et stocker des affaires. Il faut signaler qu’un sac en duvet est rarement trop grand du fait de la propriété du duvet de prendre du volume, y compris vers l’intérieur.
En revanche, un duvet trop petit est inconfortable et inefficace. Inconfortable car vous êtes serrés. Inefficace, car vous compressez le duvet, et vous avez froid. C’est particulièrement le cas au niveau des pieds. Un conseil : allongez vous dans le duvet avant de l’acheter ! Il doit être conforme à votre anatomie. Au passage, il existe des duvets de différentes taille, pour femme et pour hommes.
Un sac en duvet devrait être foncé, au moins une des faces. C’est indispensable pour le faire sécher au soleil.
Les points de construction à surveiller sont les suivants :
La fermeture est-elle bien isolée sur toute sa longueur. Le compartiment le long de la fermeture est-il assez volumineux ?
Ne coince-t-elle pas trop
La capuche est-elle confortable, réglable de l’intérieur et alvéolée ?
La collerette d’épaule est-elle confortable, réglable de l’intérieur et alvéolée ?
La partie concernant les pieds est-elle ample, confortable et alvéolée ?
La fermeture est-elle de marque (YKK, Salmi...)
Vérifiez la qualité des coutures : régularité, si le duvet ne passe pas à travers les coutures, points d’arrêt
Le duvet.
Vérifier la composition. Un duvet doit comporter au moins 80% de duvet de canard ou d’oie. 90 c’est mieux, 95 c’est très bien. 98 % c’est l’exception qui ne peut être obtenu que par triage manuel.
Vérifier qu’il respecte les normes d’hygiènes : stérilisation, lavage...
Faites rouler un peu de duvet dans votre main. Si vous sentez des plumules piquantes, ce n’est pas bon. La qualité des plumules est aussi importante que celle du duvet.
Compresser un coin du sac dans votre paume : le duvet reprend-t-il sont gonflant rapidement quand vous relâchez la pression ?
Observez les compartiments : sont-ils un peu bombés ? Il faut que le duvet mette en tension chaque compartiment pour éviter les points froids. C’est un point délicat qui révèle le savoir-faire des bonnes maisons. Il ne s’agit pas de fabriquer des enveloppes de sac de couchages et de remplir de 600gr, 800gr ou 1000gr. Il faut prévoir un volume du sas différent et adapté à chaque poids de garnissage. Cela demande de l’expérience.
Regarder la qualité de gonflant (cuin). MAIS cela ne doit pas être votre seule critère. En effet, selon la méthode de test et les machines employées il y a de grandes différences. Disons qu’au dessus de 700 c’est bien (si c’est mesuré avec la méthode européenne et que tout les lots font au moins 700 cuin c’est très bien). Voic l'avis de Rab (très bonne marque d’outre manche) sur ses trois qualités de duvet :
85/15 (85% duvet/15% plumettes) duvet de canard européen avec un pouvoir gonflant de au moins 560+ cuin selon norme EU et 610+ cuin selon norme US
90/10 duvet d’oie blanche hongroise avec un pouvoir gonflant de au moins 660+EU/725+US
96/4 duvet d’oie blanche polonaise avec un pouvoir gonflant de au moins 750+EU/850+US
Le signe « + » veut dire que tout les échantillons testés font au moins cette valeur. Si c’est indiqué seulement 700 cuin, cela peut être une moyenne.
Il est préférable de choisir du duvet d’oie. Il est plus gros et il est réputé mieux résister à l’humidité que le canard. MAIS, je préfère DE LOIN un duvet de canard 650 cuin Valandré au duvet d’oie « 700 cuin » de ma veste North Face !
5. Les marques :
Je possède du Pinel (
http://www.triplezero.fr/) et du Valandré (
http://www.valandre.com/ ), ainsi qu’un sac Trak mais dans ce cas il y a prescription. Si vous pouvez vous procurer l’une de ses marques vous ne le regretterez pas. Dans la gamme de ces marques, plus c’est cher, mieux c’est.
D’autres marques existent.
Celles que je connais bien :Rab, marque anglaise me paraît très bien (
http://www.rab.uk.com/). North face, la qualité est très variable mais ce n’est jamais nul.
Celles que je ne connais pas : Feathered friends. Très bon site, semble être du bon matériel.
http://www.featheredfriends.com/. Marmot (
http://marmot.com/) société américaine, fait des sacs de couchages très réputés (le Cwm par exemple).
Did