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Auteur Sujet: Enterrer/cacher des objets perso dans un lieu public  (Lu 26208 fois)

02 décembre 2009 à 08:39:17
Lu 26208 fois

Lorka-85


Bonjour,

Je ne sais pas si ça peu servir souvent, mais peu être que des fois dans la vie, en milieu urbain ou rural, on peu être contraint a cacher des objets perso hors de son habitation, dans un lieu public, pour je ne sais qu'elles raisons pour je ne sais qu'elle motifs.

Qu'elle méthode pour bien enterrer un ou des objets sous terre incognito (remettre l'herbe pour reboucher, profondeur, etc)? qu'elle lieux idéaux ? (parc, cimetière, etc) ou qu'elle endroit insolite urbain ? (en hauteur, briques, pots de fleur, etc..).

Merci    8)

02 décembre 2009 à 09:07:00
Réponse #1

ACORN


Sorry mais je n'en vois pas trop bien le but sauf en cas de "boîte aux lettres morte"
C' est un emplacement permettant à des personnes de s'échanger secrètement des messages ou des objets sans avoir besoin de se rencontrer physiquement. C'est de ça dont tu veux parler ?

02 décembre 2009 à 09:18:58
Réponse #2

ACORN


Ci dessous, un extrait du "Dossier_Rens_apprentissage"

Citer
Souvent réduite au trigramme " BLM " par les " services ", la boîte aux lettres morte est une cache géographiquement située en un endroit précis, connu en principe de seulement deux personnes : celui qui espionne dans son pays pour le compte d'une puissance étrangère (l'agent, ou la " taupe ") et le correspondant de ce dernier pays chargée de faire parvenir l'information à ses chefs. Sous peine d'être interpellés, interrogés, gardés à vue, parfois même torturés et arbitrairement emprisonnés, ces deux complices doivent limiter leur rencontres et leurs rapports directs au stricte nécessaire. Pour ce faire, ils communiquent en déposant des messages, des micro-films, des objets ou plus simplement de l'argent dans des caches sûres et peu susceptibles d'êtres découvertes. Le choix du lieu et la forme des BLM doivent à une des indispensables qualité de l'agent secret : l'imagination.
L'histoire de l'espionnage et du contre-espionnage nous rapporte de nombreux exemples de boîtes aux lettres mortes. Curieusement, l'usage de cet accessoire incontournable du monde du renseignement semble avoir totalement échappé aux cinéastes ayant tournés des films d'espionnage. Même les romanciers la boudent. Ces artistes lui préfèrent la rencontre physique, moins réaliste mais si propice au suspens et à l'entretien d'une atmosphère de conspiration. Et ça ne loupe d'ailleurs pas : à tous les coups l'un des deux conspirateurs -pas le héros, bien sûr- se fait liquider sitôt après avoir transmis sa précieuse information.
Parler de cinéma n'était pas inutile puisque cela nous a permis d'attirer votre attention sur les dangers que l'on court à ne pas vouloir utiliser la technique des BLM.
Revenons à nos moutons... Quoi ? Mais non, il n'est pas question des " moutons " aujourd'hui.

Le choix de l'emplacement.

L'emplacement de la BLM doit généralement être un endroit calme où il y a peu de passage. Mieux vaut qu'il ne soit pas situé dans le creux d'une plaine d'où l'on pourra vous voir et vous photographier avec un puissant matériel optique.
Par exemple, les cimetières se prêtent assez bien à la cache de boîtes aux lettres mortes (ainsi qu'a la dissimulation des cadavres, tant il est moins choquant de les trouver là que dans un canal ou une décharge publique).
Si le cimetière est assez grand, les nombreuses croix, caveaux de famille et petites chapelles qui s'y trouvent formeront une épaisse "forêt grise" empéchant d'éventuels observateurs de vous observer de loin. Une fois que vous avez repéré le cimetière " qui va bien ", reste à vous trouver un cher vieil oncle défunt. Le choix ne manque pas, pourvu que Tonton ne se trouve pas à proximité d'une entrée ou d'une allée principale très passante. Enfin, il faudra choisir un caveau ou une tombe odieusement abandonnée, ceci pour dissiper tous risques que la vraie famille tombe maloncontrusement sur vos précieux colis. C'est d'ailleurs pour cette dernière raison qu'il vaux mieux également éviter que votre BLM soit garnie le jour de la fête des morts nationale. En France, c'est à la Toussaint (CQFD).
La cache idéale est une pierre cassée ou descellée ; celles-ci ne manquent pas dans les cimetières. Evitez d'arriver sur place avec votre propre vase ou un bouquet de violettes qui pourraient éventuellement être subtilisée par une de ces vieilles radines hypocrites qui fauchent les bricoles mortuaires des voisins de cavaux. En outre, se déplacer ouvertement avec un bouquet de crysanthèmes ou une couronne mortuaire renseigneraient à coup sûr des éventuels " filocheurs " sur votre destination finale lors de l'indispensable parcours de sécurité qui précède votre dépôt de message.
Les cimetières présentent deux autres avantages : ceux-ci sont toujours nombreux et souvent vastes (C'est fou ce que les gens meurent, vous ne trouvez pas ? Quel manque de savoir vivre.). On les trouve dans de nombreux pays. De plus, les visiteurs que vous croiserez dans un tel endroit ne prêteront jamais attention à vos allées et venues puisque, tout comme vous, ils n'habitent pas là.
L'exemple du cimetière est évidemment très prisé par les services de renseignement qui affectionnent le calme et la discrétion pour travailler. Nous l'avons choisi parce qu'il montre assez bien les conditions idéales propices à l'installation d'une BLM.
La pierre descellée dans un mur est un autre grand classique, pour autant que celle-ci ne se trouve pas à hauteur des mains d'un enfant. Mais pour êtres certains que des passants ou des enfants ne puissent tomber par hasard sur leurs colis, les espions redoublent parfois d'imagination. Une grosse pierre placée sous l'eau, dans un ruisseau, est une excellente cache. A vous de vous confectionner le petit container robuste et parfaitement étanche qui se trouvera dessous.

Comment avertir qu'il y a du courrier dans la boîte ?

Se rendre à une BLM représente toujours un risque, c'est pourquoi la visite est toujours précédée d'un parcours de sécurité. Nous ne débattrons pas aujourd'hui du parcours de sécurité car celui-ci fera l'objet d'un autre article traitant de la filature en général. En revanche, voici quelles sont les règles d'usage d'une BLM.
L'agent traitant et son espion conviennent toujours de signes qui permettent de prévenir que la BLM est " chargée ". Ces signes sont souvent visibles tout en étant anodins, c'est à dire matérialisés par des croix ou des graffitis dessinés sur toutes sortes de supports : arbre, réverbère, mur, etc. Le signe peut également être une simple petite pastille de couleur fortement adhésive de taille " confetti ", ou une " tamponnette ", ce qui permettra plus de discrétion. Il n'est pas nécessaire que ce signal visuel soit de grande taille puisque ceux qui le cherche sont censés savoir exactement où il se trouve. Quoiqu'il en soit, les espions n'utilisent jamais de moyens indélébiles pour ne pas engendrer la confusion lors des livraisons suivantes. Les "torches" et autres "Posca" à l'usage des tagueurs sont donc à proscrire.
Le marquage et la BLM ne sont pas nécessairement situés à proximité l'un de l'autre. Une marque à la gare de Perpignan peut fort bien signifier qu'il y a un message dans une tombe du cimetière de Montauban. Eh oui, les agents secrets mettent parfois des distances considérables entre leurs messages et leurs BLM. Rien ne s'y oppose, et un long trajet en voiture sur des routes de campagne rendent les éventuelles filatures facilement repérables.
Evidement, le système des marques prévenant du remplissage d'une BLM implique que l'agent traitant et son espion se débrouillent pour passer à proximité -parfois quotidiennement- du lieu convenu du marquage. C'est pourquoi celui-ci doit être judicieusement choisi, en un endroit où l'on ne puisse pas facilement surprendre l'un des deux protagonistes en train de le réaliser ou de l'éffacer. Méfiez vous des grandes artères urbaines qui sont souvent largement pourvues de caméras de surveillance.
Les binômes traitant/espion, alimentent parfois alternativement plusieurs boîtes aux lettres, ceci afin de semer la confusion chez les éventuels filocheurs. En effet, si vous vous rendez toujours et régulièrement à la même BLM, on finira, quoique vous fassiez, par découvrir votre cache.

Hope it helps  ;)

02 décembre 2009 à 09:19:54
Réponse #3

François


Les clés, c'est sous le paillasson, ou dans le premier pot de fleurs à droite de la porte  ;D
Blague à part, cela dépend de la taille de l'objet à cacher, mais le plus dur, d'expérience, ce n'est pas de cacher, mais de retrouver ce qu'on a caché plusieurs mois/années auparavant. Prévoir des points de repères facile à mémoriser, et de précision centimètrique.
Espérer le meilleur, prévoir le pire.

02 décembre 2009 à 09:33:57
Réponse #4

Lorka-85


merci des infos ACORN, super intéressant ! oui ça peu etre une boite au lettre clandestine, comme autre chose dont on serrait le seul a connaitre l'emplacement, pour revenir plusieurs mois/années apres comme l'a dit François, et ne pas stocker ça chez sois.

02 décembre 2009 à 09:52:02
Réponse #5

josephcurwen


Etant seul où je suis, je me suis souvent posé cette question, pour planquer un jeu des clés d'appart et de voiture quelque part, car le jour où je perds mon trousseau, je suis pas dans la m....

02 décembre 2009 à 09:54:10
Réponse #6

kikou92


Salut,

Que veut-on cacher, où, quand et pourquoi ? Ca en fait des questions à se poser...

Moi, ça me fait penser direct à Jason Bourne ton truc : on planque des passeports, de la tune, un mobile à carte prépayée, un flingue... ;D  :D

Moi, je suis plus modeste : un jour, j'ai caché temporairement un couteau que j'avais laissé au fond de mon sac dans un parterre de fleurs de préfecture pour aller chercher une carte grise.
Ca déchire, hein ??...   :lol:

Le post de ACORN est sympa, tu as un ouvrage sur ce thème ?

Plus sérieusement, en période de crise, c'est une idée intéressante pour un BOB ou un escape cube pas loin de chez soi. Un peu la cache au fond des bois de Woodrunner. Reste à définir la notion de "crise".

Le coup du cimetière est pas mal. J'étais au Père Lachaise à Paris récemment : Y'a des ruines fantastiques, genre concessions à perpétuité qui se prêterait bien à cela. sauf qu'il y a bcp de monde dans celui-là, c'est presque un musée...

On devrait pouvoir trouver un juste milieu entre le gros escape cube et le kit d'agent secret.

question : y'en a sur ce forum qui cachent des trucs (à part woodrunner  ;))

A+
Alexis

edit : pour les clefs, c'est aussi une bonne idée, faudra que j'y songe...


02 décembre 2009 à 10:02:27
Réponse #7

éclipse


… and all that is now, and all that is gone, and all that's to come… and everything under the sun is in tune. But the sun is eclipsed by the moon.

02 décembre 2009 à 10:05:46
Réponse #8

Wapiti


Bonjour.

D'accord avec François. Oui, je l'avais mis sous le grand chêne là. Ah ! Bon ! Et bien, mon bon Monsieur, maintenant, il y a une autoroute !

Ah, oui ! La mercerie, mais on l'a rasée pour construire une résidence Pikpognon.

Pour ce genre de caches, il faut être sûr de la permanence des lieux dans le temps. Les cimetières sont de bons exemples, on ne les déplace pas souvent et ça se sait.

À +

02 décembre 2009 à 11:26:38
Réponse #9

ACORN


http://mysterie.fr/esprit/text/armee/-%20Intelligence%20-%20Dossier%20Compilation%20Web%20Renseignement.pdf

300 pages de lecture !
(mais tout n'est pas du même niveau).

Merci Acorn  :up:
'clips

Oui, l'extrait vient de là. J'ai survolé le document. Tout n'est, en effet, pas du même niveau  :glare:

02 décembre 2009 à 12:10:54
Réponse #10

Corin


Le post de ACORN est sympa, tu as un ouvrage sur ce thème ?

En son temps, l'excellente Encyclopédie du Renseignement et des Services secrets du Colonel (suisse) Jacques Baud, aux éditions Lavauzelle. La dernière édition date de 1998. Autant dire qu'elle est dépassée mais un certain nombre d'articles sur le cycle du renseignement, histoire des différents services ou autres restent lisibles.

A+

02 décembre 2009 à 13:07:08
Réponse #11

Corin


Ce sujet, ça ressemble plus à L'année Sainte (1976, de Jean Girault avec Jean Gabin et Jean-Claude Brialy http://fr.wikipedia.org/wiki/L'Ann%C3%A9e_sainte) qu'à Rock (1996 avec Sean Connery et Nicolas Cage http://fr.wikipedia.org/wiki/Rock_(film)).

Planquer des trucs dans les murs de sa maison (http://www.an1000.org/actualite-medievale-221.html), ou dans son jardin (http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_VA-OM), c'est déjà risqué alors dans un lieu dont on ne maîtrise absolument pas l'avenir, c'est suicidaire, notamment pour des objets de valeur ou un back-up essentiel.

Ensuite, placer des objets dans un lieu public en se disant, je m'assurerai qu'il ne leur arrive rien, c'est surveiller ou passer régulièrement dans le lieu et augmenter le risque de se faire repérer.

Une manière simple de procéder, c'est de placer son back-up en famille (chez papa-maman - même si c'est le premier endroit qui sera surveillé -, chez tonton ou sa vieille gouvernante ;)). Vous êtes le seul à savoir où c'est. Vous y avez accès 24/24. S'il faut que ce soit plus discret, on choisit un vieux pote qu'on ne voit pas souvent. Ca donne une longueur d'avance en cas de pb et en cas de difficulté à se déplacer, le back-up peut venir à vous.

A+

02 décembre 2009 à 13:46:12
Réponse #12

nicogala


Bonjour.

D'accord avec François. Oui, je l'avais mis sous le grand chêne là. Ah ! Bon ! Et bien, mon bon Monsieur, maintenant, il y a une autoroute !

Ah, oui ! La mercerie, mais on l'a rasée pour construire une résidence Pikpognon.

Pour ce genre de caches, il faut être sûr de la permanence des lieux dans le temps. Les cimetières sont de bons exemples, on ne les déplace pas souvent et ça se sait.

À +

C'est pour ça qu'à chaque fois qu'on en parle (car il y a déjà des sujets là-dessus hein) je ressort l'idée des espaces "morts" des noeuds d'autoroute... ça c'est un lieu où personne ne va, qui ne bouge pas, où l'on ne fait rien et dont on sait longtemps à l'avance si des gros travaux vont être faits (déplacement de voies d'autoroute c'est pas rien) et où le début des travaux est trèèès long...
"Les grand-mères, c'est comme le mimosa, c'est joli, ça sent bon, mais ça ne dure qu'un temps..."

02 décembre 2009 à 14:09:57
Réponse #13

Corin


C'est pour ça qu'à chaque fois qu'on en parle (car il y a déjà des sujets là-dessus hein) je ressort l'idée des espaces "morts" des noeuds d'autoroute... ça c'est un lieu où personne ne va, qui ne bouge pas, où l'on ne fait rien et dont on sait longtemps à l'avance si des gros travaux vont être faits (déplacement de voies d'autoroute c'est pas rien) et où le début des travaux est trèèès long...
Pour du court terme, peut-être mais il faut faire attention que les espaces autoroutiers sont parmi les endroits où il y a potentiellement le plus de monde qui passe, dépose des choses (tas de sable,...) et où la présence d'une personne non autorisée à toutes les chances de ne pas passer inaperçu.

Pour aller dans ton sens, il pourrait être intéressant d'essayer d'identifier les lieux qui bougent le moins.
Pour commencer, je vois les espaces forestiers dans un parc national (peu de monde, peu de risque de coupe, peu de risque de plantation ou labourage, peu de risque de travaux d'équipement).

A+

02 décembre 2009 à 14:19:06
Réponse #14

DavidManise


Dites, les mecs...  est-ce que c'est bien pertinent de discuter de tout ça publiquement ?

Je laisse jusqu'à ce soir, et ensuite ça s'autodétruira.

David
"Ici, on n'est pas (que) sur Internet."

Stages survie CEETS - Page de liens a moi que j'aimeu

02 décembre 2009 à 14:21:05
Réponse #15

onc roger


je ressort l'idée des espaces "morts" des noeuds d'autoroute... ça c'est un lieu où personne ne va, qui ne bouge pas, où l'on ne fait rien ...

Il y en a sans doute où personne ne va mais ici en zone fortement urbanisée tous ceux que je connais sont déjà régulièrement "utilisés". Le plus grand sert de terrain de moto-cross sauvage, d'autres de lieu de rendez-vous, celui a coté de chez moi (un petit triangle de bois coincé entre l'A6 et 2 voies d'accès où il y avait des renards, fouines, etc) s'est transformé récemment en bidonville ...

02 décembre 2009 à 15:34:23
Réponse #16

Rouri


Source ouverte de Paladin Press:

HOW TO HIDE THINGS IN PUBLIC PLACES
by Dennis Fiery

Did you ever want to hide something from prying eyes, yet were afraid to do so in your home? Now you can secrete your valuables away from home, by following Dennis Fiery's eye-opening instructions. The world around us is filled with cubbyholes and niches that can be safely employed . . . and this former Loompanics book identifies them. Illustrated with numerous photographs, and including an index of hiding places, appendices of Simplex lock combinations and appropriate vendors, and a bibliography, this is the most comprehensive and informative book ever written about public hiding spots. Eliminate the risks involved with hiding your possessions at home by utilizing the techniques described in this book.
http://www.paladin-press.com/product/298/Hiding_and_Smuggling
*Un classique => étudié par les gangs de rue et les policiers ;)

HOW TO BURY YOUR GOODS
The Complete Manual of Long Term Underground Storage
by Eddie The Wire
http://www.paladin-press.com/product/834/Other_Survival


02 décembre 2009 à 17:02:37
Réponse #17

Patrick


Etant seul où je suis, je me suis souvent posé cette question, pour planquer un jeu des clés d'appart et de voiture quelque part, car le jour où je perds mon trousseau, je suis pas dans la m....
C'est pour cela qu'il faut toujours avoir une deuxième clé de bagnole dès fois que tu les paumerais ou qu'on te vole le sac où se trouvait tes clés, à 800 bornes de chez toi. Pour les clés de la baraque famille ou proches fiables habitant à proximité devrait suffire.

02 décembre 2009 à 17:06:02
Réponse #18

nicogala


Pour les clés de la baraque famille ou proches fiables habitant à proximité devrait suffire.
Citation de: josefcurwen
Etant seul où je suis

Hélas, c'est là qu'est l'os...
"Les grand-mères, c'est comme le mimosa, c'est joli, ça sent bon, mais ça ne dure qu'un temps..."

03 décembre 2009 à 00:40:49
Réponse #19

josephcurwen



03 décembre 2009 à 01:44:57
Réponse #20

Thanos



L'inavisé         
Croit qu'il vivra toujours        
S'il se garde de combattre,
Mais vieillesse ne lui
Laisse aucun répit,
Les lances lui en eussent-elles donné.

Hávámál

A vaincre sans péril, on gagne !             http://www.dailymotion.com/video/x61nne_frankland-vs-excalibur_webcam
Le courage, c'est pour les morts.           http://www.frankland.fr

TACTICAL GEAR: If I Hear One More Tactical Gear Manufacturer say “Our Gear is Used by Special Forces” I am Going to Kick a Kitten in the Head

03 décembre 2009 à 07:26:36
Réponse #21

éclipse


Plutôt étrange ce document quand même  :huh:

On dirait un amateur qui aurait compilé sa bibliothèque de manière un peu euh… sauvage  :D
C'est plutôt disparate, clairement obsessionnel, pas inintéressant parfois.
 ;)
'clips
… and all that is now, and all that is gone, and all that's to come… and everything under the sun is in tune. But the sun is eclipsed by the moon.

03 décembre 2009 à 09:42:39
Réponse #22

josephcurwen


Comme quoi les choses sorties de leurs contextes ne reviennent pas de suite à l'esprit: il y a des caches tout autour de vous, et des pros pour les placer

suffit d'aller voir du coté du Géocaching: http://www.geocaching-france.com/

Une activité bien sympa qui fait découvrir des coins auxquels nous ne penserions pas forcément  :)

 


Keep in mind

Bienveillance, n.f. : disposition affective d'une volonté qui vise le bien et le bonheur d'autrui. (Wikipedia).

« [...] ce qui devrait toujours nous éveiller quant à l'obligation de s'adresser à l'autre comme l'on voudrait que l'on s'adresse à nous :
avec bienveillance, curiosité et un appétit pour le dialogue et la réflexion que l'interlocuteur peut susciter. »


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