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Auteur Sujet: Récuperer un peu d'écorce sur un arbre  (Lu 13368 fois)

19 novembre 2009 à 22:53:10
Lu 13368 fois

magiccerbere


Bonsoir all,

Je me demandais quelle était la meilleure façon pour récuperer de l'écorce sur un arbre, sans habiller ledit arbre? Apparement, du moment qu'on atteind pas le bois, cela ne fait rien. Mais où l'écorce est la meilleur pour des infusions et autres préparations mystique ;# ?


Merci  :)

EDIT: Que signifie le terme "passer" dans une préparation? Par exemple:
faire bouillir [...] dans 3 litre d'eau pendant 15minutes, verser dans un bassin, laisser tiedir, ne pas passer; ...
« Modifié: 19 novembre 2009 à 23:01:12 par magiccerbere »
"J'ai la nostalgie d'une de ces vieilles routes sinueuses et inhabitées qui mènent hors des villes... une route qui conduise aux confins de la terre... où l'esprit est libre..." H.D Thoreau

19 novembre 2009 à 22:56:12
Réponse #1

jbc


hum vaut éviter de prendre l'écorce sur du bois vivant !! sinon au coutal une belle coupe longitudinale et delicatement avec un poussoire fait en bois a bout rond, tu releve et pousse l'écorce

20 novembre 2009 à 06:55:48
Réponse #2

Captain Kucek


Salut

Tout dépend de ce que tu appels "bois"
Juste sous l'écorce se trouve une couche de cellules +- épaisse qui conduit la sève(Aubier, si je ne dis pas de bêtise).
Blesser cette couche (écoulement de sève ) est toujours dommageable à l'arbre car on le prive d'une partie des vaisseaux qui allimentent le végétal en matière nutritive. Cela freine son développement. C'est d'ailleur une technique pour freiner la croissance des arbres fruitiers qui fillent trop vite. On pratique sur le tronc un enlèvement d'une bande d'écorce et de l'aubier située en dessous jusqu'au bois dur(Duramen) pouvant aller jusqu'à 50% de sa circonférence sans le tuer.(j'ignore à quelle saison celà se fait)
Enlever une bande tout le tour du tronc signifie la mort irrémédiable de tout ce qui se trouve au dessus.
Il y a toujours moyen d'enlever le Suber ( écorce "morte") avec précaution sans atteinte de l'aubier sans dommage pour l'arbre.

Il est évidament toujours possible de prélever l'écorce sur une branche; ce qui limite les dégats.

J'ignore quelles parties de "l'écorce" et de quelles essences on a besoin pour les infusions auquelles tu fais allusion. Mais je sais que les bourgeons fin de l'hivers début printemps sont extrêmement riche en matière nutritives ...( à creuser )

J'espère avoir pu faire avancer le chmilblik

Kucek

20 novembre 2009 à 07:53:13
Réponse #3

camco


EDIT: Que signifie le terme "passer" dans une préparation? Par exemple:
faire bouillir [...] dans 3 litre d'eau pendant 15minutes, verser dans un bassin, laisser tiedir, ne pas passer; ...

Est-ce que ne le terme "passer" ne serait pas synonyme de filtrer ?  Ce qui voudrait dire que dans certaines infusions on laisserait l'écorce (ou autre) infuser pendant qu'on se délecte de cette boisson chaude.

Mes deux cents en espérant aider.  ;)

Cyril

20 novembre 2009 à 09:07:09
Réponse #4

jbc


Salut

Tout dépend de ce que tu appels "bois"
Juste sous l'écorce se trouve une couche de cellules +- épaisse qui conduit la sève(Aubier, si je ne dis pas de bêtise).
Blesser cette couche (écoulement de sève ) est toujours dommageable à l'arbre car on le prive d'une partie des vaisseaux qui allimentent le végétal en matière nutritive. Cela freine son développement. C'est d'ailleur une technique pour freiner la croissance des arbres fruitiers qui fillent trop vite. On pratique sur le tronc un enlèvement d'une bande d'écorce et de l'aubier située en dessous jusqu'au bois dur(Duramen) pouvant aller jusqu'à 50% de sa circonférence sans le tuer.(j'ignore à quelle saison celà se fait)
Enlever une bande tout le tour du tronc signifie la mort irrémédiable de tout ce qui se trouve au dessus.
Il y a toujours moyen d'enlever le Suber ( écorce "morte") avec précaution sans atteinte de l'aubier sans dommage pour l'arbre.

Il est évidament toujours possible de prélever l'écorce sur une branche; ce qui limite les dégats.

J'ignore quelles parties de "l'écorce" et de quelles essences on a besoin pour les infusions auquelles tu fais allusion. Mais je sais que les bourgeons fin de l'hivers début printemps sont extrêmement riche en matière nutritives ...( à creuser )

J'espère avoir pu faire avancer le chmilblik

Kucek
+10
il est préferable de prelever sur une souche morte ou u arbre tomber a terre

20 novembre 2009 à 09:57:15
Réponse #5

Pit


Est-ce que ne le terme "passer" ne serait pas synonyme de filtrer ?  Ce qui voudrait dire que dans certaines infusions on laisserait l'écorce (ou autre) infuser pendant qu'on se délecte de cette boisson chaude.

Tout  juste, tu peux remplacer par filtrer (sauf qu'on passe avec une passette, non ? :D)

Citation de: un_site_de_cuisine
Faire passer un aliment au travers d'une passoire, d'un chinois, d'un tamis ou d'une étamine, soit pour l'égoutter, soit pour éliminer les parties non consommables.

*edit* pour chercher des définitions, on peut utiliser la fonction "define" de Googoole : define:mon_mot

http://www.google.com/search?q=define%3Apasser&ie=utf-8&oe=utf-8&aq=


20 novembre 2009 à 15:01:07
Réponse #6

Captain Kucek


+10
il est préferable de prelever sur une souche morte ou u arbre tomber a terre


Oui si on peut s'abstenir de vandaliser un arbre c'est toujours mieux, certes; mais l'idée quand on fait une infusion c'est d'en retirer le principe actif. Or avec l'écorce dont l'arbre est mort ou tombé depuis on ne sait quand, ces principes actifs ne se sont-ils pas dégradés avec le début de la décomposition du bois?
Je l'ignore. En tout cas les milieux humides comme les sous bois ne sont pas l'idéal pour la conservation du bois en tout cas; ça c'est sûr.
Avec des végétaux sec (thé par exemple) la plante a été cueillie vivante, séchée et enfin stockée dans de bonnes conditions pour justement en préserver: le gout d'abord puis les principes actifs comme la théine. Peut-être doit-il en être de même pour le reste des végétaux lorsqu'on veut en conserver les principes???
J'avoue que là; la maitrise du domaine m'échappe et je préfère laisser les questions ouvertes et passer la main à plus calé que moi plutôt que de raconter n'importe quoi!...

Kucek

20 novembre 2009 à 15:52:04
Réponse #7

Wapiti


Bonjour.

Extrait d'un de mes ouvrages (à paraître).

Structure du bois

Sans détailler les différences qui existent entre les résineux et les feuillus, le bois se compose de cellules dont la taille varie avec les saisons (bois de printemps et bois d’été) et les espèces.
La coupe transversale d’une tige montre successivement de l’extérieur vers l’intérieur.

Le liège ou écorce, composé vers l’extérieur de cellules mortes. Ayant perdu son élasticité, il se fissure, se crevasse ou se craquelle plus ou moins avec l’âge. Chez certaines espèces, il s’en va par plaques (platane).

Le cambium de l’écorce, il génère celle-ci.
 
Le liber ou phloème. Partie profonde de l’écorce, il assure la conduction de la sève élaborée.

Le cambium : c’est une couche très mince ; quand on écorce une tige encore vivante, il est généralement vert clair. Il génère le bois ou xylème.

Le bois. Il se compose d’une partie claire appelée aubier et d’une plus sombre appelée bois parfait, bois de cœur ou duramen. Chez certaines espèces, le contraste de teinte entre l’aubier et le duramen est peu marqué. Elles comportent toutes deux des cercles concentriques : ce sont les cernes annuels. Leur couleur est différente, la plus claire est le bois de printemps à grosses cellules, plus tendre que le bois d’été. La plus colorée à petites cellules est le bois d’été, plus dur que le bois de printemps. Le bois présente également des rayons appelés rayons ligneux ou rayons médullaires. Ils favorisent la fente si le séchage se fait trop rapidement.

Au centre de la tige se trouve la moelle ; chez les vieux arbres, elle a disparu, laissant la place à un canal vide.

L’aubier est inférieur en qualité au bois de cœur. Chez certaines espèces, il est très peu durable : on le supprime en scierie.

Le contraste de teinte des cernes annuels entre le bois de printemps et le bois d’été est parfois peu perceptible à l’œil nu : exemple, le bouleau.
Le comptage des cernes annuels permet de déterminer l’âge d’un arbre ou d’une branche.

La croissance se fait de l’intérieur vers l’extérieur. Il y a évidemment plus de cernes annuels à la base du tronc que sur les rameaux sommitaux. Cette croissance oriente le fil du bois. Il se couche lorsqu’il est frotté dans le sens de la pousse. Il accroche dans l’autre sens. On peut comparer la pousse à l’enfilage, l’un dans l’autre, de tubes de diamètres croissants et de longueurs décroissantes.
La structure n’est pas homogène : on y trouve des défauts comme les nœuds (ce sont les départs de pousse des branches), qui l’affaiblissent.
Les conditions climatiques, le lieu de pousse et les agressions diverses modifient la qualité du bois : notamment les agressions animales (insectes xylophages, oiseaux perceurs, ongulés qui mangent l’écorce), végétales (gui, lierre, champignons) ou humaines (exploitation de la résine ou du liège), qui le dégradent. L’intervention humaine peut aussi l’améliorer (culture, greffes, traitements fongicides, etc.).

Les bois poussant sur les versants ombragés ou au nord ont une structure interne plus serrée. Quoique plus malingres d’aspect, ils sont plus durs et de meilleure qualité.
Moins hauts que ceux poussant en forêt, les arbres isolés ont une couronne plus étalée et un tronc plus court et trapu.

____________
Quand on prélève le liège qui est plus ou moins fin selon les essences, il faut prendre garde de ne pas « blesser » le cambium, la vie de l'arbre en dépend.

Les principes actifs des plantes (vitamines et alcaloïdes) se dégradent très vite à l'air, à la lumière et à la durée. C'est pourquoi les écorces aux vertus médicamenteuses connues sont recueillies le plus vite possible après l'abattage et autant que faire ce peut au printemps, lors de la montée de la sève.

À +

20 novembre 2009 à 20:13:53
Réponse #8

magiccerbere


Merci pour toutes vos réponses...

Pour vous remercier, je vais tout de même vous dire ce que je veux faire... (entre autre, hein. C'est pas mauvais pour la culture générale de toute maniere de savoir enlever une écorce... Eh pis, faut bien que je commence par quelque chose).

Bon, le principal souci est qu'apparement, c'est mieux de prélever l'écorce au printemps, pour la montée de la seve (merci Wapiti!)

Gerçures des mains:
Baigner les mains 3 fois par jour dans:
Décoction de chenes, 60g d'écorce pour 1 litre d'eau, bouillir 30min, passer; faire réchauffer au moment du bain.


Voilà, c'est pour une copine, je vous tiendrais au courant si cela marche...

P.S: Tirée d'un livre trouvé dans la bibliotheque familiale : http://www.amazon.fr/Secrets-vertus-plantes-m%C3%A9dicinales-Delaveau/dp/2709800179/ref=sr_1_2?ie=UTF8&s=books&qid=1258744283&sr=8-2 (désoler pour le lien commercial, je ne l'ai pas trouvé autre part...)
"J'ai la nostalgie d'une de ces vieilles routes sinueuses et inhabitées qui mènent hors des villes... une route qui conduise aux confins de la terre... où l'esprit est libre..." H.D Thoreau

20 novembre 2009 à 20:55:49
Réponse #9

Wapiti


Bonjour magiccerbere.

Si c'est pour l'écorce de chêne (riche en tanin) tu peux aussi prendre celle du châtaignier. Même l'arbre coupé depuis longtemps l'écorce conserve une bonne richesse en tanin.

Attention à une décoction trop riche, l'acide tannique brûle la peau à trop forte concentration : irritation.

À +

20 novembre 2009 à 21:15:23
Réponse #10

magiccerbere


Ah, je savais que l'écorce de chênes était irritante pour le tube digestif, mais je ne pensais pas que, à forte concentration, c'était irritant pour la peau. Mais de toute manière, l'excès est presque toujours mauvais! L'écorce de chaîtaignier contient aussi du tanin, mais il semblerait que les feuilles aussi. (Bon, d'après Wikipedia, on le "trouve dans pratiquement tous les végétaux, et dans toutes leurs parties (écorces, racines, feuilles, etc.)".

Je vais néammoins suivre ce qui est écrit dans le livre, et trouver du chêne... sans oublier que au cas ou, je pourrais essayer avec du chaîtaignier.

Merci Wapiti pour ton savoir!
"J'ai la nostalgie d'une de ces vieilles routes sinueuses et inhabitées qui mènent hors des villes... une route qui conduise aux confins de la terre... où l'esprit est libre..." H.D Thoreau

20 novembre 2009 à 21:22:14
Réponse #11

Wapiti


Tu as aussi les noix de galles ou galles (gargalles dans le Sud-ouest) du chêne, ce sont des boules brunes de la taille d'une balle de ping-pong dont l'arbre entoure la larve d'un insecte (le cynips) pondue dans les feuilles et les jeunes pousses, afin de s'en protéger. Ces boules sont très riches en tanin.

À +
« Modifié: 21 novembre 2009 à 17:44:33 par Wapiti »

04 décembre 2009 à 16:47:44
Réponse #12

Aske


Il faut éviter de prendre de l'écorce sur le tronc pour un arbre vivant.
Éviter de prendre sur une vieille souche (puisque ça peut être pourri et surtout parce que les principes actifs de la plante n'y seront plus)

Après il ne reste que sur les branches ;)

04 décembre 2009 à 17:03:41
Réponse #13

lambda


... C'est un peu une histoire de dosage, quelque part...
que ce soit pour prélever de l 'écorce, ou la résine d'un arbre...

Typiquement dans le cas des résiniers landais, ils arrivaient à prélever de la sève pour en faire de l'essence de térebenthine ou de la gomme sans crever l arbre.

http://www.mediaforest.net/article533-a-la-decouverte-du-gemmage.html

Autre exemple, en Finlande, ils récoltent l intérieur de l'écorce du pin afin d'en faire de la farine. actuellement, c'est apparament utilisé pour faire du pain avec une touche "production locale" qui plaît au touriste. mais c'était une vraie ressource alimentaire qui fut utilisée pendant la famine de 1694-1697, et qui faisait souvent partie du quotidien alimentaire des foyers ruraux jusqu au siécle dernier.




Ces prélèvements ont au moins quelques années, d'après moi, et les arbres n'étaient pas morts.

C'est vraiment une histoire de modération dans la pratique qui compte, enfin je crois...

a+,
Lambda
"I want to live in a society where people are intoxicated with the joy of making things." William S. Coperthwaite

04 décembre 2009 à 19:07:37
Réponse #14

JMD


Bonjour.

Extrait d'un de mes ouvrages (à paraître).

Structure du bois

Sans détailler les différences qui existent entre les résineux et les feuillus, le bois se compose de cellules dont la taille varie avec les saisons (bois de printemps et bois d’été) et les espèces.
La coupe transversale d’une tige montre successivement de l’extérieur vers l’intérieur.

Le liège ou écorce, composé vers l’extérieur de cellules mortes. Ayant perdu son élasticité, il se fissure, se crevasse ou se craquelle plus ou moins avec l’âge. Chez certaines espèces, il s’en va par plaques (platane).

Le cambium de l’écorce, il génère celle-ci.
 
Le liber ou phloème. Partie profonde de l’écorce, il assure la conduction de la sève élaborée.

Le cambium : c’est une couche très mince ; quand on écorce une tige encore vivante, il est généralement vert clair. Il génère le bois ou xylème.

Le bois. Il se compose d’une partie claire appelée aubier et d’une plus sombre appelée bois parfait, bois de cœur ou duramen. Chez certaines espèces, le contraste de teinte entre l’aubier et le duramen est peu marqué. Elles comportent toutes deux des cercles concentriques : ce sont les cernes annuels. Leur couleur est différente, la plus claire est le bois de printemps à grosses cellules, plus tendre que le bois d’été. La plus colorée à petites cellules est le bois d’été, plus dur que le bois de printemps. Le bois présente également des rayons appelés rayons ligneux ou rayons médullaires. Ils favorisent la fente si le séchage se fait trop rapidement.

Au centre de la tige se trouve la moelle ; chez les vieux arbres, elle a disparu, laissant la place à un canal vide.

L’aubier est inférieur en qualité au bois de cœur. Chez certaines espèces, il est très peu durable : on le supprime en scierie.

Le contraste de teinte des cernes annuels entre le bois de printemps et le bois d’été est parfois peu perceptible à l’œil nu : exemple, le bouleau.
Le comptage des cernes annuels permet de déterminer l’âge d’un arbre ou d’une branche.

La croissance se fait de l’intérieur vers l’extérieur. Il y a évidemment plus de cernes annuels à la base du tronc que sur les rameaux sommitaux. Cette croissance oriente le fil du bois. Il se couche lorsqu’il est frotté dans le sens de la pousse. Il accroche dans l’autre sens. On peut comparer la pousse à l’enfilage, l’un dans l’autre, de tubes de diamètres croissants et de longueurs décroissantes.
La structure n’est pas homogène : on y trouve des défauts comme les nœuds (ce sont les départs de pousse des branches), qui l’affaiblissent.
Les conditions climatiques, le lieu de pousse et les agressions diverses modifient la qualité du bois : notamment les agressions animales (insectes xylophages, oiseaux perceurs, ongulés qui mangent l’écorce), végétales (gui, lierre, champignons) ou humaines (exploitation de la résine ou du liège), qui le dégradent. L’intervention humaine peut aussi l’améliorer (culture, greffes, traitements fongicides, etc.).

Les bois poussant sur les versants ombragés ou au nord ont une structure interne plus serrée. Quoique plus malingres d’aspect, ils sont plus durs et de meilleure qualité.
Moins hauts que ceux poussant en forêt, les arbres isolés ont une couronne plus étalée et un tronc plus court et trapu.

____________
Quand on prélève le liège qui est plus ou moins fin selon les essences, il faut prendre garde de ne pas « blesser » le cambium, la vie de l'arbre en dépend.

Les principes actifs des plantes (vitamines et alcaloïdes) se dégradent très vite à l'air, à la lumière et à la durée. C'est pourquoi les écorces aux vertus médicamenteuses connues sont recueillies le plus vite possible après l'abattage et autant que faire ce peut au printemps, lors de la montée de la sève.

À +

Il me tarde de le lire. ;)

 


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