Sujet voisin, solution voisine, qui a été traité par un gendarme motard (homonyme de celui qui a été assassiné avec sa famille dans un règlement de comptes au S.A.C.), qui courait des rallyes, donc des heures de jour et de nuit au guidon, à bourrer.
Il s'est gréé un petit tuyau autour du zizi, qui débouchait dans le pantalon à côté de la botte. Jamais vu, jamais pris, et pas de perte de temps en rallye...
Lu autrefois dans Moto-Verrue.
Je sais un collègue prof qui aurait bien aimé avoir ce genre de gréément, aboutissant à une bouteille au sol, au volant de sa voiture dans de longs embouteillages parisiens. Cocalcolique sans modération, il n'est jamais arrivé à destination, est retourné honteux chez lui, se laver et lessiver entièrement le siège de sa voiture.
J'ignore si la pente de la cuisse, OK pour le motard, aurait été bonne pour l'automobiliste en bouchons. Détails, détails, détails, une réalisation est faite de détails, à condition que le principe de départ soit correct.
Au temps où ma prostate me faisait souffrir le martyre, où je devais calculer chaque déplacement dans Lyon en fonctions des pissotières qu'on pouvait trouver, j'aurais bien voulu avoir le cartahu à urine de JM, pour pouvoir uriner propre là où on risque le PV, un quai de Saône fréquenté, par exemple. Impraticable en kayak, ni en aviron sportif (toujours les lois de la gravité), mais praticable sur un voilier, et même un dériveur. Une tempête en mer, ce sont plein de sales souvenirs, y compris de pisser sur soi : on lutte pour sa vie, alors au diable de tels détails...