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Auteur Sujet: A quoi vous servent vos couteaux ?  (Lu 11529 fois)

11 janvier 2007 à 12:38:45
Réponse #25

Baltardive


Merci pour vos réponses qui me font comprendre meux, votre petit monde sympatique (et très proche du mien en fait)

11 janvier 2007 à 13:20:04
Réponse #26

Diesel


Je me demande si ce fil n'as pas pris le tournant de la confession et de la résignation lol ^^
Pas du tout, c'est juste un éclair de lucidité.   ;D
Merci pour vos réponses qui me font comprendre meux, votre petit monde sympatique (et très proche du mien en fait)
Evidemment. ;)

11 janvier 2007 à 13:39:23
Réponse #27

Nimbus


Personnellement j'ai du mal à comprendre l'usage d'une hache:
[...]
 grande... ben... j'y pense pas puisque c'est le poids d'un sac de couchage grand froid avec tapi de sol et tarp inclus.
La Gransfors "small forest axe" (ou Iltis, ou Wetterling... 50cm de long), environ 1kg et avec ça t'est déjà très très confortable. Sachant qu'un gros schlass pèse un bon 400-500g...

11 janvier 2007 à 16:46:17
Réponse #28

kazar


En France le GR10 je ne l'empruntais qu'éventuellement au retour si j'étais trop en retard sur mon timing ou vraiment trop fatigué. Moi mon truc, quand je me ballade, c'est de sortir des sentiers battus. Le pied suprême ce sont les forêts profondes, inextricables, les vallées encaissées, difficiles d'accés : à peine quelques sentes d'animaux pour t'indiquer une éventuelle direction. Pour l'orientation tu te démerdes, c'est selon l'inspiration. Personne pour t'emmerder, pour te juger, t'évaluer, sympathiser ou t'aimer. Pas de bruit de machine. Juste le silence assourdissant de la Nature. Pas de papiers gras, de sachet de "Mars et ça repart". Juste de la terre, de la pierre, de l'humus, des herbes, du bois, des feuilles et du Ciel qui te fait peur tellement il est grand et toi tout petit. La végétation est parfois trés dense. Il faut donc jouer avec une longue lame et en chier pour se frayer un chemin. Il n'y a que ça : une bonne et forte lame bien tranchante.
Et parfois, au moment où tu t'y attends le moins, la récompense est au bout de l'effort : tu atteins des lieux "magiques" qui t'envoutent l'âme parce que tu les jurerais inchangés depuis de milliers d'années... Ce peut-être une petite clairière, un torrent, une formation rocheuse, un paysage, une perspective ou un simple arbre centenaire aux racines noueuses. C'est dans ces endroits là et à ces moments précis que je me sens le plus relié à l'Univers. Dans ma vie rien n'égale cela. C'est comme ça.

Stéphen.
« Modifié: 11 janvier 2007 à 17:06:20 par kazar »

11 janvier 2007 à 20:40:28
Réponse #29

Irys


Moi mon truc, quand je me ballade, c'est de sortir des sentiers battus. Le pied suprême ce sont les forêts profondes, inextricables, les vallées encaissées, difficiles d'accés : à peine quelques sentes d'animaux pour t'indiquer une éventuelle direction. Pour l'orientation tu te démerdes, c'est selon l'inspiration. Personne pour t'emmerder, pour te juger, t'évaluer, sympathiser ou t'aimer. Pas de bruit de machine. Juste le silence assourdissant de la Nature. Pas de papiers gras, de sachet de "Mars et ça repart". Juste de la terre, de la pierre, de l'humus, des herbes, du bois, des feuilles et du Ciel qui te fait peur tellement il est grand et toi tout petit. La végétation est parfois trés dense. Il faut donc jouer avec une longue lame et en chier pour se frayer un chemin. Il n'y a que ça : une bonne et forte lame bien tranchante.
Et parfois, au moment où tu t'y attends le moins, la récompense est au bout de l'effort : tu atteins des lieux "magiques" qui t'envoutent l'âme parce que tu les jurerais inchangés depuis de milliers d'années... Ce peut-être une petite clairière, un torrent, une formation rocheuse, un paysage, une perspective ou un simple arbre centenaire aux racines noueuses. C'est dans ces endroits là et à ces moments précis que je me sens le plus relié à l'Univers. Dans ma vie rien n'égale cela. C'est comme ça.

+1 est vivre ça, c'est formidablement bon.  :doubleup:

11 janvier 2007 à 23:40:04
Réponse #30

Wla


Je pense qu'il est inutile de rappeler que le couteau est un outil irremplaçable.
On s'en sert à la cuisine, au jardin, à la peche ou même au bureau pour ouvrir son courrier.
Toujours agréable, il peut aussi devenir nécessaire voire indispensable.

Je n'ai eu a utiliser un couteau en situation d'urgence que 2 fois.
Dans les deux cas c'était en rivière.

La première fois, il m'a servi a dégager une personne, retenue par une corde entre son bateau et le bord alors que le courant plaquait le tout avec force.

Le deuxième fois, c'était en canoe.
Un pecheur qui avait lancé sa cuillère sur la rive d'en face, n'avait rien trouvé de mieux que de couper le fil au niveau de sa canne, laissant le fil en travers de la rivière et la cuillère au bout.
Lorsque une personne en canoe est passée, le fil s'est entortillé autour de son bras, la cuillère s'est décroché de la rive opposée, et a commencé a se rapprocher de son bras. Si cette fois là, je n'avais eu de couteau à porter de la main, je crois bien que la cuillère se serait plantée dans le bras de la malheureuse, et aurait fait de gros dégats.
J'avais déjà pour habitude de toujours porter un couteau, mais une telle situation n'a fait que conforter mon opinion :
un couteau est un élément de sécurité que l'on devrait toujours avoir à portée de la main.

Dernièrement encore, un gamin est mort dans un ascenseur, étranglé par son écharpe, qui s'est prise dans la porte. Si la personne qui l'accompagnait avait eu un objet tranchant (je ne parle même pas de couteau...), peut-être que le petit serait encore vivant.
Je pourrai siter d'autres situations d'urgences où un couteau a tiré d'affaires des gens bien mal engagés.

Le couteau est donc quelque chose que je fais suivre, AU CAS OU, en espérant ne jamais avoir à m'en servir.

Ceci dit, je choisit le couteau du moment un peu comme d'autres choisissent leur cravatte.

En ce moment, je porte systématiquement un modèle de chez Kershaw, que je présenterait dans un autre post.

Wla


Dans l'urgence, la première chose négligée est la sécurité.
Je ne suis responsable que de mes paroles, pas de leur interprétation

12 janvier 2007 à 00:35:56
Réponse #31

Corin


Je vais me ranger dans la même catégorie que Peyo. Ceux qui y sont venus en randonnant, un peu comme une évidence.

J'ai plein de couteaux de poche, notamment des Opinel, parce que c'est typiquement l'objet que j'oubliais d'emporter. Alors, à destination, j'étais obligé d'en acheter un nouveau... ; D.

Pour différentes raisons (familiales, sociales ou d'intérêt personnel), jamais je n'aurais acheté de lame fixe. D'autant plus que lorsque je me suis retrouvé en kaki, soit c'était un truc de mytho interdit, soit c'était vraiment fait pour tuer, et c'était pas mon job.

Puis en lisant certains posts, j'ai fini par me demander si ça ne viendrait pas compléter la scie que j'emporte depuis une dizaine d'années.

Une lame fixe de 10 cm (4 ou 5", je crois) est largement suffisante et ça permet surtout d'éviter l'Opinel ou le Laguiole elbow. Surtout, elle est très utile pour préparer rapidement son campement en sous-bois. Finalement, entre couteau de poche, lame fixe et scie, celui dont je me sers le moins désormais, c'est le canif.

A+
« Modifié: 14 janvier 2007 à 09:20:46 par Corin »

12 janvier 2007 à 09:12:35
Réponse #32

kai


Je crois que j'ai toujours aimé les couteaux, mais par éducation j'ai boudé ce genre d'outils, sauf l'opinel et le couteau suisse bien sûre. Avec le recul, je me rappelle concrètement m'être arrêté à de nombreuses reprises devant les vitrines de coutelliers pour admirer ces outils fascinants. Maintenant j'ai de véritables raisons d'en employer et c'est cool ;).

12 janvier 2007 à 12:36:59
Réponse #33

emmuel


Je vais me ranger dans la même catégorie que Peyo. Ceux qui y sont venus en randonnant, un peu comme une évidence.

J'ai plein de couteaux de poche, notamment des Opinel, parce que c'est typiquement l'objet que j'oubliais d'emporter. Alors, à destination, j'étais obligé d'en acheter un nouveau... ; D.

Pour différentes raisons (familiales, sociales ou d'intérêt personnel), jamais je n'aurais acheté de lame fixe. D'autant plus que lorsque je me suis retrouvé en kaki, soit c'était un truc de mytho interdit, soit c'était vraiment fait pour tuer, et c'était pas mon job.

Puis en lisant certains posts, j'ai fini par me demander si ça ne viendrait pas compléter la scie que j'emporte depuis une dizaine d'années.

Une lame fixe de 10 cm (4 ou 5", je crois) est largement suffisante et ça permet surtout d'éviter l'Opinel ou le Laguiole elbow. Surtout, elle est très utile pour préparer rapidement son campement en sous-bois. Finalement, entre couteau de poche, lame fixe et scie, celui dont je me sers le mois désormais, c'est le canif.

A+

Exactement pareil pour moi. Dans ma famille un lame fixe, on appelait ça un poignard. M'a fallu du temps pour me décoincer…

Le pied suprême ce sont les forêts profondes, inextricables, les vallées encaissées, difficiles d'accés : à peine quelques sentes d'animaux pour t'indiquer une éventuelle direction. Pour l'orientation tu te démerdes, c'est selon l'inspiration. Personne pour t'emmerder, pour te juger, t'évaluer, sympathiser ou t'aimer. Pas de bruit de machine. Juste le silence assourdissant de la Nature. Pas de papiers gras, de sachet de "Mars et ça repart". Juste de la terre, de la pierre, de l'humus, des herbes, du bois, des feuilles et du Ciel qui te fait peur tellement il est grand et toi tout petit. La végétation est parfois trés dense. Il faut donc jouer avec une longue lame et en chier pour se frayer un chemin. Il n'y a que ça : une bonne et forte lame bien tranchante.
Et parfois, au moment où tu t'y attends le moins, la récompense est au bout de l'effort : tu atteins des lieux "magiques" qui t'envoutent l'âme parce que tu les jurerais inchangés depuis de milliers d'années... Ce peut-être une petite clairière, un torrent, une formation rocheuse, un paysage, une perspective ou un simple arbre centenaire aux racines noueuses. C'est dans ces endroits là et à ces moments précis que je me sens le plus relié à l'Univers. Dans ma vie rien n'égale cela. C'est comme ça.
Stéphen.

Et quand t'as tout bien tranché dans la végétation, les autres n'ont plus qu'a suivre.  :-\

12 janvier 2007 à 17:25:23
Réponse #34

kazar


Et quand t'as tout bien tranché dans la végétation, les autres n'ont plus qu'a suivre.  :-\

Juste ce qu'il faut pour me frayer un chemin Emmuel. Ni plus ni moins. Qu'imagines-tu? Que je vais tout droit sans contourner les obstacles?
L'aspect "quantitatif" de la végétation coupée est uniquement proportionnel à la durée de la balade.

Stéphen.

12 janvier 2007 à 17:38:34
Réponse #35

emmuel


Non non je me suis enflammé pour une broutille. C'était juste la contradiction entre "se frayer un chemin au couteau dans la végétation" et "apprécier les endroits ou personne n'avait l'air d'être allé" qui m'avait frappée, mais je suppose que je devais être d'humeur pinailleuse à cet heure là. Pas de quoi fouetter un chat.
Tourner 7 fois son doigt dans son c*l avant de parler…

12 janvier 2007 à 19:56:41
Réponse #36

Frolboll


Salut !

J'ai un couteau dans ma poche depuis mes six/sept ans , quand j'ai décidé de ne plus embêter mon "Pépé" en lui demandant de tailler une perche, des flèches ou un arc, de creuser un p'tit bateau, de couper un bout de ficelle, d'éplucher une pomme,...
Comme beaucoup, mon grand-père avait toujours dans sa poche un Pradel qu'il utilisait surtout pour manger (souvent dans les champs), pour couper les ficelles des bottes de paille, pour cueillir de l'herbe pour les lapins et pour se distraire  :). Il sortait un vieux couteau de cuisinier, la hache, la serpe ou la faucille pour les gros travaux.
Ma grand-mère avait son fixe, toujours à portée de la main : le redoutable petit couteau d'office, tueur de poules, écorcheur de lapin, éminceur d'oignons et éplucheur de patates  :o
A la campagne, comme ailleurs, le couteau est vraiment autre chose qu'un truc avec un bout rond et des dents que l'on pose à droite de la fourchette et qu'on frotte sur la viande pour en arracher quelques morceaux.


Vient le moment où l'on se rend compte que le pliant n'est guère plus qu'un demi-couteau qui se referme trop souvent sur les doigts, et où l'on commence à lorgner sur les fixes... On en achète un avec sa première paie (un Mora, il y a une vingtaine d'années), et puis...

Et puis s'écoulent les années tranquilles de la vie d'Avant le Forum, un Thiers à manche en buis dans la poche et un scandinave Paaso dans le sac... jusqu'à ce que ...  ::)


Frol






12 janvier 2007 à 20:22:03
Réponse #37

kodiak


Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours eu un couteau sur moi, pliant d'abord (opinel), dés que je me baladais en nature,

J'ai opté pour les fixes à partir du moment ou j'ai eu l'âge de me les payer moi même, parce qu'ils m'apparaissaient plus solides, lors de mon service je me suis fait traiter de "rambo" parce que j'avais un 5", puis arrivé sur le lieu de bivouac tous le monde voulait me le taxer, même les cadres   ::)pour monter leurs abris

Une lame de petite taille suffit amplement 10-12cm (3"-4"), c'est un outil indispensable dont le poids et l'emcombrement ne sont pas suffissants pour me dissuader d'en glisser un dans mon paquetage lors de randonnées ou sortie serieuses ;)

 
Mon passe-temps favori est la conversation coupée de silences. Les autres fournissent la conversation, moi les silences.

12 janvier 2007 à 20:23:12
Réponse #38

Irys


Comme beaucoup, mon grand-père avait toujours dans sa poche un Pradel qu'il utilisait surtout pour manger (souvent dans les champs), pour couper les ficelles des bottes de paille, pour cueillir de l'herbe pour les lapins et pour se distraire  :). Il sortait un vieux couteau de cuisinier, la hache, la serpe ou la faucille pour les gros travaux.
Ma grand-mère avait son fixe, toujours à portée de la main : le redoutable petit couteau d'office, tueur de poules, écorcheur de lapin, éminceur d'oignons et éplucheur de patates  :o
C'est vrai, ils étaient et sont toujours comme ça. :)


Vient le moment où l'on se rend compte que le pliant n'est guère plus qu'un demi-couteau qui se referme trop souvent sur les doigts, et où l'on commence à lorgner sur les fixes... On en achète un avec sa première paie (un Mora, il y a une vingtaine d'années), et puis...

Et puis s'écoulent les années tranquilles de la vie d'Avant le Forum, un Thiers à manche en buis dans la poche et un scandinave Paaso dans le sac... jusqu'à ce que ...  ::)

Tu ne fini jamais tes phrases ???
« Modifié: 12 janvier 2007 à 20:51:01 par Irys »

13 janvier 2007 à 12:45:30
Réponse #39

Renaud


J'ai un couteau dans ma poche depuis mes six/sept ans , quand j'ai décidé de ne plus embêter mon "Pépé" en lui demandant de tailler une perche, des flèches ou un arc, de creuser un p'tit bateau, de couper un bout de ficelle, d'éplucher une pomme,...
Comme beaucoup, mon grand-père avait toujours dans sa poche un Pradel qu'il utilisait surtout pour manger (souvent dans les champs), pour couper les ficelles des bottes de paille, pour cueillir de l'herbe pour les lapins et pour se distraire  :). Il sortait un vieux couteau de cuisinier, la hache, la serpe ou la faucille pour les gros travaux.
Ma grand-mère avait son fixe, toujours à portée de la main : le redoutable petit couteau d'office, tueur de poules, écorcheur de lapin, éminceur d'oignons et éplucheur de patates  :o
A la campagne, comme ailleurs, le couteau est vraiment autre chose qu'un truc avec un bout rond et des dents que l'on pose à droite de la fourchette et qu'on frotte sur la viande pour en arracher quelques morceaux.

Frolboll,

ton récit eveille en moi pleins de choses et de souvenirs, tu dois savoir oh combien , puisque tu as vecu sensiblement la meme chose. J'ai passe toute ma tendre enfance chez mes grands parents paysans, dans la region de Thiers dans la montagne bourbonnaise, pas trés loin de Palladuc. De plus, mon grand-pere pendant les longues periodes d'hiver était aussi remouleur, et j'ai encore les odeurs et bruits de forge at autre qui me remontent à la mémoire, non sans verser une petite larme...  :'(

Le couteau à la campagne était vraiment un outil indispensable, à tout faire...
Quand aux couteaux d'office de ma grand-mere, quand il etait necessaire que la volaille atterrisse dans la casserole, j'aiguisais de maniere rituelle tous les couteaux de cuisine (en carbone uniquement) sur la vielle meule à eau en gres (et elle existe encore), pendant que l'eau bouillante fremissait sur le poele à bois pour les volailles, ou bien que le vin rouge marinait avec quelques herbes ad'hoc pour le sang des lapins pour la sanguette, ou le civet, ou bien si le coq chantait trop tot le matin
D'ailleurs, évolution naturelle oblige, les seuls qui vivaient vieux avec elle étaient ceux qui avaient compris que le cocorico devait etre pas trop fort (ou pas du tout) avant 8, 9 heures du matin, sinon ils etaient cordialement invités le dimanche à midi, avec beaucoup de vin dans le faitout en fonte

Bon ok, je suis HS, mais j'avais envie d'en parler

Moi aussi, j'ai eu mon premier pliant à tout faire dans la poche des l'age de 5 ans eniron, et cette foutue lame s'est repliee un nombre incalculable de fois sur mes doigts

C'est dommage qu'en France, la loi n'autorise pas les fixes (même les petits modeles), mais bon c'est comme cela, il faut l'accepter et s'adapter

 :) Renaud
La voie du milieu permet de retrouver sa voix

Mes photos de randonnées

13 janvier 2007 à 15:46:09
Réponse #40

Corin


ton récit eveille en moi pleins de choses et de souvenirs, tu dois savoir oh combien , puisque tu as vecu sensiblement la meme chose. J'ai passe toute ma tendre enfance chez mes grands parents paysans, dans la region de Thiers dans la montagne bourbonnaise, pas trés loin de Palladuc.
Bon ok, je suis HS, mais j'avais envie d'en parler
Bien au contraire... ;). Toi, tu étais dans le Forez, moi dans le Livradois... pour les vacances.
Ceux qui ont eu la chance de passer une partie de leur enfance ou de leurs vacances à la ferme ont la même expérience que toi (nous), je suppose.

C'était synonyme de liberté, d'initiatives et les cicatrices sur mes mains témoignent de mon apprentissage  ;D ;D ;D. J'ai appris les grandes lignes auprès des vieux et le reste tout seul. Je suppose que c'est là, comme beaucoup dans la même situation, que j'ai attrapé le virus du Bushcraft (euh! de la vie en plein air en français).

A+

14 janvier 2007 à 00:40:11
Réponse #41

Baptiste


J'ai beau être plus jeune que vous, je me retrouve entièrement dans votre vision de la campagne... C'était vraiment une époque formidable !
La vie est étrange parfois, on ne veut pas partir loin de ceux que l'on aime mais on ne veux pas non plus revenir en laissant ceux que l'on a appris à aimer...   Moi

14 janvier 2007 à 00:59:14
Réponse #42

piedsnussurlaterresacrée


idem j'ai un couteau depuis l'age de 6,7 ans opinel,SAK
mon fils 6 ans coupe sa viande a table et en camping avec un opinel, je porte a la ceinture un leatherman super tool et generalement un couteaux a lame fixe a porté de mains (pour le travail)
il me servent a manger,tailler mon crayon..........................

14 janvier 2007 à 11:31:05
Réponse #43

emmuel


Ah bon ? les Ingals ils ont l'air heureux pourtant…

C'estmarrant, j'ai randonné pendant peut être 13 ans sans avoir besoin de la me fixe. Vraiment. Même sur de la grosse rando de 2 semaines ou plus. Et il semblerait que le forum ait créé un besoin chez moi. Ca a l'air d'être le cas pour un certain nombre ici non ?

14 janvier 2007 à 15:07:45
Réponse #44

the grinch


je ne parlerais pas de "besoin" mais de "dépendance" ! MDR !  y'a des patchs ?  :D :D :D :D :D

14 janvier 2007 à 16:26:10
Réponse #45

pops


 Je viens de m'acheter un patch :  BOKER subcom.... ;D ;D ;D

14 janvier 2007 à 17:51:46
Réponse #46

the grinch



14 janvier 2007 à 18:01:08
Réponse #47

pops


Ben c'est tout nouveau, alors ça va marcher quelques jours... après on risque la rechute....   ::) ::)

 


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Bienveillance, n.f. : disposition affective d'une volonté qui vise le bien et le bonheur d'autrui. (Wikipedia).

« [...] ce qui devrait toujours nous éveiller quant à l'obligation de s'adresser à l'autre comme l'on voudrait que l'on s'adresse à nous :
avec bienveillance, curiosité et un appétit pour le dialogue et la réflexion que l'interlocuteur peut susciter. »


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